Les rumeurs et ragots sont rarement à prendre à la légère. D’autant plus lorsqu’une rumeur de plus en plus persistante laisse penser au grand public qu’un certain chef d’une entreprise de sécurité possède des liens plus étroits qu’on ne le pense avec des oragnisations mafieuses. Bien que ça ne encore qu’une simple rumeur, les clients y sont sensibles et certains commencent à etre particulièrement frileux. On s’interroge beaucoup…
Votre enquête vous a mené sur, déjà, de nombreuses planètes. Tel un chemin de petits cailloux, assemblant un faisceau d’indices, vous avez fini par obtenir une nouvelle information. Un simple message : « Ils vous connaissent. Ils savent exactement qui vous êtes. Ils attendent quelque chose de vous. » Vous avez pu découvrir que ce mesage avait été émis de la célèbre planète Naboo.
La capitale est égale à elle-même, en cette magnifique journée, chaude et ensoleillée. Les habitants, encore bien peu soucieux des forts troubles récents dans la galaxie, sont en préparatifs d’un grand festival culturel. Vous êtes arrivé au cœur d’une agitation sans pareille. Les stands se construisent, de larges banderoles colorées et si légères sont accrochées, les fleurs débordent de partout. C’est au beau milieu de la capitale, dans un quartier résidentiel très animé avec les préparatifs du festival, que vous parvenez. Les coordonnées ne sont pas très précises et vous vous retrouvez face à plusieurs grandes maisons et jardins, au milieu de dizaines de travailleurs et festivaliers très occupés.
Deux choix s’ouvrent à vous :
– Recherchez, dans le secteur, un nouvel indice, pouvant vous mettre sur la piste, comme un nouveau petit caillou. Jetez un dé. De un à cinq, vous réussissez à trouvez l’indice ouvrant l’accès à l’étape suivante. De six à vingt, vous ne trouvez rien et vos recherches ont attiré le regard des impériaux surveillant les préparatifs du festival. – Inspectez ces maisons, pour découvrir laquelle pourrait être celle qui vous intéresse. Jetez un dé. De un à cinq, vous avez la possibilité d’entrer discrètement dans un immeuble privé, en pierre et haut de trois étages, derrière vous. De six à neuf, vous parvenez à vous glisser dans un jardin résidentiel sans vous faire repérer et à entrer dans une maison plus dissimulée que d’autres, elle aussi en pierre, par l’arrière. De dix à quinze, vous ne parvenez à vous introduire dans ces lieux mais vous ne vous faites pas repérer. Vous pourrez alors retenter votre chance ou tenter une autre solution. De seize à vingt, votre tentative est repérée et les impériaux arrivent sur vous.
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Ven 18 Mar 2022 - 11:59
Aaah Naboo ! Un monde au peuple plutôt calme, cultivé, généreux. Ici, on enseigne aux enfants la solidarité et la responsabilité en leur confiant très jeune du travail parfois important. Après tout, ce peuple est capable d'élire des mineurs au poste de dirigeant ! Hélas, ce qu'on oublie de leur enseigner, c'est que la curiosité finit toujours par tuer le chat, et il y a un vilain chat qui me les brise menue, comme disait l'homme de la pampa, sur ce monde. D'où le fait que mon vaisseau, sous une fausse identité tout à fait légal bien sur, se pose dans le spatioport local.
Je n'aime guère que l'on colporte des rumeurs sur mon identité publique, surtout si elles sont vraies, et il est donc logique que je m'en occupe en personne. Ce petit chat est plutôt discret et doué mais on a remonté sa pelote de laine petit à petit, passant par Nar Shadda, Taanab, Ord Canfre, Bimmisaari et Rodia avant 'arriver ici, où j'ai bon espoir de trouver ce vilain petit animal.
Vêtus d'un bon costume, avec une sous-couche protectrice, d'un pardessus, de mon écharpe, de mes lunettes de soleil et avec mes deux pistolets à l'arrière de ma ceinture et de faux papiers tout à fait officiel, je descendis la rampe de mon appareil, suivis par trois de mes gardes personnels, eux-aussi bien équipés, quoi que sans écharpe ni lunettes de soleil. L'un d'eux portait une mallette à la main, attachée à son poignet car il serait un peu dangereux qu'on la lui vole. Il serait malvenu qu'un vulgaire tire-laine n'explose en cherchant à voir son contenu, n'est-ce pas ?
Après un passage auprès d'un indic local, nous nous rendîmes dans le quartier où l'on pourrait trouver le petit chat. En marchant dans les rues, on pouvait constater l'humeur joviale des habitants. Visiblement, Theed organise un de ces fameux festivals culturels. Cela tombe bien, un petit "feux d'artifice", cela agrémente toujours correctement un festival, pensais-je en roulant ma cigarette entre mes lèvres. Arrivés dans le quartier, je m'installais sur un banc, regardant les travailleurs monter quelques stands, certains devant servir de présentoir pour des oeuvres d'art, d'autres pour vendre de la nourriture et les derniers pour vendre des articles ou proposer des jeux. Mais je les comprend : il fait beau, c'est jour de fête.
Histoire de se montrer un peu fin et d'éviter de devoir fouiller les quelques immeubles et maisons du coin, je laissais un de mes sbires aller interroger quelques travailleurs, en leur donnant la description du petit chat. Si possible, j'aimerais limiter le nombre de témoins à faire taire, c'est mauvais pour les affaires, de laisser trop de cadavres.
On ne guère dire que vous avez été très discret. Votre manège a attiré l’attention des impériaux en patrouille. Ils vous ont repéré, tous les quatre, après s’être concertés brièvement entre eux, ils décident de s’approcher pour une petite discussion. Les festivaliers, eux, n’ont pas encore noté grand-chose de louche, trop occupés qu’ils sont à leur fête. En plus des stormtroopers, un officier, un lieutenant, vient à votre rencontre. S’il n’a pas encore l’air agressif, il se montre néanmoins méfiant et sur ses gardes.
"Votre nom et le but de votre visite sur cette planète, monsieur. C’est une fête civile, ici, nous ne voulons pas de perturbateurs."
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Deux choix s’offrent à vous :
– Vous pouvez tenter le bluff et détourner les attentions, en vous débrouillant pour endormir la méfiance, voire pour vous servir de ce contrôle. A jouer finement. – Vous pouvez couper court directement à cette conversation par des réponses plus enflammées ou explosives. Ce qui conduira à beaucoup d’ennuis supplémentaires et du chaos généralisé en ville. Des renforts arriveront.
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Sam 19 Mar 2022 - 22:04
Still se montra incapable d'obtenir des informations et attira l'attention de la "police" locale. Halala, c'est difficile d'avoir des hommes de main efficaces ! Dire qu'il fait parti de mes meilleures hommes. Enfin, c'est aussi vrai que la recherche d'information n'est pas vraiment dans leurs compétences. Je me levais en voyant le lieutenant impérial approcher. J'allais, encore, devoir m'occuper d'un truc basique. Ah, j'aime ça ! Mes confrères vigos ne peuvent comprendre le plaisir de s'occuper de tâches subalternes, trop occupés qu'ils sont à augmenter leur fortune, leur influence ou à comploter.
"Votre nom et le but de votre visite sur cette planète, monsieur. C’est une fête civile, ici, nous ne voulons pas de perturbateurs."
"Nous ne sommes que de simples notaires, lieutenant, venus pour régler un modestes litiges. Je m'appelle Stern Solaris."
Je lui tendis mes faux papiers, tirés de la poche intérieure de ma veste. Enfin, faux... ils sortent bien de l'administration impériale après tout, seul le nom est faux. Cela sert d'avoir été policier sur Coruscant pendant des années, et un bon, : on y gagne des relations, on sait qui n'aurait rien contre un extra. Sous le document, je tenais aussi un crédit-tube, d'une valeur de deux cents crédits, ce qui était une somme non négligeable pour un officier de si bas rang. Qui sait, peut-être que ce brave soldat accepterait d'améliorer ses revenus ce mois-ci ?
"Malheureusement, la personne que nous devons rencontrer, et qui ne nous attend pas, se cache sous un faux nom. Peut-être pourriez-vous nous aider ?"
Mes hommes étaient à mes côtés, l'air aussi inoffensif que moi mais tout aussi prêt à réagir si cet homme se montrait scrupuleux. Il y en a des comme ça dans l'empire, malheureusement. Enfin, il faut avoir foi en l'esprit égoïste humain !
Vous pouvez observer, dans les yeux de l’officier, une lueur sombre s’agrandir, votre tentative de corruption ne lui a visiblement pas plu du tout. Les choses vont se gâter. Mais alors que ses hommes pointaient leurs armes sur vos et votre petit groupe, un tir jaillit soudainement et frappe de plein fouet un des stormtroopers. Un tir, cependant, qui ne venait pas de vous, ni de vos hommes, mais d’un autre tireur, apparemment posté quelque part sur les toits. Un moment de stupeur passe, puis l’officier ordonne à ses hommes de vous stopper, vous et les autres rebelles sur les toits. Des renforts impériaux arrivent en vitesse et c’est bientôt la bagarre générale.
Les civils s’enfuient en paniquant et en hurlant. Les soldats sortent comme une nuée d’insectes et sur les toits, bien cachés, des individus ripostent à grands coups de blasters. La confusion est absolument totale.
Deux choix s’offrent à vous :
– Tenter de rejoindre et comprendre qui sont réellement ceux qui ont tiré sur les soldats impériaux. Jetez un dé. D’un à cinq, vous et vos hommes parviennent sans encombre à rejoindre le groupe des tireurs en embuscade. De six à dix, vous êtes blessé à la jambe en cours de route par un tir de blaster mais vos hommes parviennent à vous tirer à l’abri. De onze à quinze, un de vos hommes est tué, vous êtes blessé au bras et vous ne parvenez qu’à peine à vous abriter. De seize à vingt, deux de vos hommes sont tués, vous êtes blessé et votre dernier homme aussi. – Vous écarter vivement de cette bataille et laisser ces prétendus rebelles jouer avec les impériaux, puisque ça semble tant les amuser. Vous apercevez un homme suspect qui entre brusquement dans l’immeuble en pierre privatif, en parlant dans un comlink. Ça semble intéressant. Jetez un dé. D’un à six, vous arrivez tous les quatre à entrer dans l’immeuble à votre tour sans vous prendre de tirs. De sept à onze, vous réussissez à entrer mais vous prenez un tir perdu de blaster, au passage, qui vous transperce le bras droit. De douze à seize, un de vos hommes meurt durant le trajet jusqu’à l’immeuble et vous êtes blessé superficiellement à la hanche. De dix-sept à vingt, deux de vos hommes meurent avant que vous ne parveniez à atteindre l’immeuble et vous êtes gravement blessé à la jambe gauche.
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Mer 23 Mar 2022 - 18:27
J'ai vu son regard et, sincèrement, je n'ai pas aimé cela. Il me rappelle trop l'idéaliste que j'étais quand je me suis engagé dans la police. Franchement, j'ai bien compris, depuis, que les meilleurs flics ne sont pas ceux qui se battent pour faire régner scrupuleusement la loi : ce sont plutôt ceux qui comprennent quand ils doivent se retirer et laisser passer ceux contre qui la loi ne peut rien. Ceux qui vous aident à vivre et ne tuent pas à tout va. Bref, les types comme moi, qui ne voulait tuer qu'une seule personne sur cette planète et qui, par la faute de ce lieutenant, vient de décider qu'il y aura davantage de victimes.
Seulement, avant que je ne dégaine pour lui mettre un tir en pleine tête, voilà qu'un petit groupe d'insurgés attaque la patrouille. Je sors mes armes, tuant le lieutenant sans hésiter, tout en me mettant à couvert avec mes hommes, alors que la situation se fait plus explosive. Par contre, cela se passe très mal pour mon petit groupe : je me prend un tir perdu quasiment dès le début et là, il ne reste plus que Streg et moi de valides. Et encore, il est plus amoché que moi, mais il tient toujours la mallette. Bah, au pire, on la fera sauter si les stormtroopers prennent le dessus sur leurs assaillants. Pas question qu'un vigo se fasse mettre en cellule comme un vulgaire clochard.
N'empêche, cela faisait un moment que je n'avais pas participé à une fête aussi sympa. Dommage que je sois un brin rouillé : il faudrait que j'aille plus souvent sur le terrain, moi, pensais-je en me rallumant une cigarette d'une main, tirant avec un de mes pistolets de l'autre, après.
~~~~~~~ Jet de dé ~~~~~~~
Je fais quel choix )> obscurité, combat Jet demandé )> 16 Efficacité de Sagara )> 16
La fusillade bat son plein mais pile à ce moment-là, vous recevez un appel. Sur votre communicateur personnel… Un léger grésillement puis l’image d’une pièce s’affiche en hologramme. Elle tourne lentement sur elle-même, alors qu’une voix d’homme, à la fois légère et grave, s’élève.
"On ne puis dire que ça soit brillant… Vous êtes décevant… J’attendais bien mieux. Mais il vous reste une dernière chance. Faites au mieux ou il se pourrait que d’autres informations fuitent malencontreusement sur la place publique…"
La voix vous est familière, très familière, bien trop familière. La communication stoppe avant que vous n’ayez pu en savoir plus. Mais cet homme, vous le connaissez, vous connaissez sa voix. Vous l’avez déjà rencontré, elle vous rappelle de bien vieux souvenirs…
Trois choix s’offrent à vous :
– Décider d’abandonner et de quitter les lieux comme vous le pouvez, avec votre dernier homme encore en vie. Peut-être sera-t-il toujours temps de revenir, mieux préparé et soigné… – Poursuivez le combat coûte que coûte, pour en finir ici même. Jetez un dé de combat. D’un à six, vous parvenez, avec l’aide des rebelles, à abattre les impériaux mais vous devrez fuir au plus vite. De sept à quatorze, vous recevez une nouvelle balle à la jambe, votre dernier homme doit tenter de vous tirer de là au plus vite. De quinze à vingt, vous recevez un rude coup à la tête et terminez évanoui sur place. – Vous extirper de là et tentez de vous réfugier à l’intérieur de l’immeuble, le temps de vous soigner comme vous le pouvez et pouvoir réfléchir à la suite des opérations. Jetez un dé de combat. D’un à six, vous arrivez à aller vous cacher sans recevoir de nouvelles blessures. De sept à quatorze, réussissez à vous réfugier dans l’immeuble mais vous êtes grièvement blessé par un tir qui vous transperce le poignet gauche. De quinze à vingt, avec la tentative-mallette, vous décédez dans la tentative.
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Mar 29 Mar 2022 - 19:13
"On ne puis dire que ça soit brillant… Vous êtes décevant… J’attendais bien mieux. Mais il vous reste une dernière chance. Faites au mieux ou il se pourrait que d’autres informations fuitent malencontreusement sur la place publique…"
"Oh, j'ignorais avoir un fan ! Mais je crains, mon cher, que vous me connaissiez moins bien que vous ne le croyez. Tout se terminera aujourd'hui."
Vexé ? Oh, oui, totalement ! Je suis capable de bien mieux, je suis totalement d'accord. Par contre, penser qu'il peut me faire peur en balançant des menaces aussi puériles, c'est que ce type me connaît mal. Comme sa voix me dit vaguement quelque chose, cela veut dire qu'il fait parti de mes fréquentations, pourtant. S'il me connaissait mieux, il aurait compris une chose : quand je m'engage dans quelque chose, je vais jusqu'au bout. Ou je meurs. Ce qui fait que, pour lui, soit il meurt, soit ce qu'il a pu découvrir sur moi ne lui apportera rien du tout. Si je ne puis être gagnant sur tous les points, lui sera totalement perdant sur tout, estimais-je en souriant et en lâchant un brin de fumée. Je fis signe à mon dernier acolyte, rengainant un de mes pistolets blasters, pendant qu'il me rejoignis derrière le speeder contre lequel j'étais assis.
"Passe moi la mallette."
"Vous êtes sur, boss ?" demanda-t-il tout en obéissant.
"Bah, c'est la fête et ça manque de feu d'artifice. Je passe devants"
dis-je en me redressant, la mallette dans la main gauche et une de mes armes dans l'autre. Il hocha la tête et je jetais un oeil avant de balancer la mallette haut, droit vers ce foutu lieutenant intégrité. Puis je me lançais tout en tirant. L'officier fut un brin surpris par l'attaché-caisse noir qui atterrit à un mètre de lui et son abri, un stand en construction, mais ce fut bref car, tout en me déplaçant, je lâchais un laser sur l'objet, le touchant et déclenchant ainsi l'explosif se trouvant à l'intérieur. Je détournais le regard en atteignant l'intérieur de l'immeuble, non sans grimacer en sentant un tir me toucher, un truc ultra-chanceux qui passa par l'ouverture de ma manche au lieu d'être absorbé par la doublure de ma veste.
"Ca va, boss ?"
"Je suis vivant donc oui." Je le regardais avec un sourire un brin carnassier, avant de lui tendre mon poignet blessé pour qu'il fasse un bandage, et s'occupe un peu de lui-même ensuite. Je pris mon comlink, certain que l'autre m'écoute toujours. Qu'il parle, je saurais bien vite me rappeler qui il est. Et alors, je saurais où le trouver. "Alors, toujours déçu, gamin ?"
J'ignore pourquoi je lâchais ce surnom mais il me semblait aller naturellement avec cette voix. Et sinon, bah, c'était toujours bien d'asticoter les autres. Cela leur rappelle qu'ils n'ont pas le contrôle qu'ils pensent avoir sur moi. Ouais, j'ai un peu tendance à rendre les gens un peu fou, mais c'est peut-être parce que je le suis un peu, non ?
"Sinon, tu comptes rester planqué comme un neimodien ou tu veux qu'on règle ça en homme ?"
~~~~~~~ Jets de dé ~~~~~~~
Dé du choix
Spoiler:
Vous extirper de là et tentez de vous réfugier à l’intérieur de l’immeuble, le temps de vous soigner comme vous le pouvez et pouvoir réfléchir à la suite des opérations. Jetez un dé de combat. D’un à six, vous arrivez à aller vous cacher sans recevoir de nouvelles blessures. De sept à quatorze, réussissez à vous réfugier dans l’immeuble mais vous êtes grièvement blessé par un tir qui vous transperce le poignet gauche. De quinze à vingt, avec la tentative-mallette, vous décédez dans la tentative.
, avec lancé de mallette )> 7 Conséquence de l'explosion )> 9
Un rire amusé sort du comlink, puis vous entendez un autre rire, plus discret, venir de l’arrière. Votre interlocuteur n’est visiblement pas seul.
"On peut dire ça, je m’étais convaincu que vous passeriez facilement le test. Allez, nous avons assez rit. Si parler affaire vous intéresse, suivez ces coordonnées."
La communication se coupe une fois les coordonnées transmises. Laissant le silence retomber à l’intérieur de l’immeuble et le chaos se poursuivre à l’extérieur. Des renforts arrivent et même des machines plus grosses que vous ne pouvez en affronter.
Deux choix s’offrent à vous :
– Décider de vous rendre à l’endroit indiqué et découvrir enfin ce qui se trame. Jetez un dé de combat. D’un à six, vous y parvenez sans encombre et trouvez une pièce équipée d’appareils de communications récents, mais dont les écrans sont éteints, avec votre interlocuteur vous attendant à distance. De sept à quatorze, les renforts impériaux arrivent à entrer et vous foncer dessus avant que vous n’ayez pu vous éloigner et le combat reprend. Tous vos jets de dés seront frappés d’un malus de deux à cause de vos blessures. De quinze à vous, les renforts impériaux explosent littéralement la façade de l’immeuble et vous mourrez tous les deux dans l’impact. – Vous séparer et envoyer votre homme seul à ces coordonnées. D’un à huit, il y parvient, le temps que vous vous mettiez à l’abri et le contact peut se faire. De neuf à quinze, les renforts arrivent en masse et votre homme est tué dans la tentative, mais vous parvenez à vous échapper. De seize à vingt, vous et votre homme êtes tués par les renforts.
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Mer 30 Mar 2022 - 12:08
"On peut dire ça, je m’étais convaincu que vous passeriez facilement le test. Allez, nous avons assez rit. Si parler affaire vous intéresse, suivez ces coordonnées."
J'éclatais de rire. Un test ? Moi ? Ce mec a finalement quelque chose dans le pantalon. Faire passer un test à un vigo du Soleil Noir, il faut en avoir pour oser faire cela. Ou alors, il ignore réellement à qui il a affaire. C'est dommage de devoir tuer une telle personne mais j'ai des règles, que je me suis fixé, et je crains de devoir m'y tenir.
Je me levais sans cesser de rire, levant mon bras droit vers la porte, tirant comme un soldat en armure blanche tente de franchir le sol, lui perçant un trou dans le torse.
"En route."
Je me dirigeais vers le fond de l'immeuble, détruisant une serrure d'un coup de blaster, tellement Naboo ne ressemble pas à Coruscant. Ici, la vie est trop calme, les maisons n'ont pas de porte blindée ni de serrure bien solide. Bah, après, je ne fais que passer moi. Je n'ai même pas un regard envers les locataires planqués sous une table - ou est-ce les propriétaires ? - en tirant pour détruire leur vitre, afin de sortir de l'autre côté de la façade, pendant que, du côté de l'entrée, j'imagine les soldats impériaux tirer sur l'immeuble en appelant des renforts. Je ricanais en me demandant s'ils sont au point d'envoyer des bipodes ou même des quadripodes à mes fesses. L'Empire est parfois si pathétique.
Dans la rue, je pris la direction indiquée, croisant la route de trois soldats en armure blanche, les éliminant pour le principe, parce qu'ils m'ont vu et pourraient donc signaler ma présence. Et puis, là, c'est un ennemi, et une de mes règles est de ne jamais laisser un ennemi en vie derrière moi.
Jamais.
Je couvre mon homme de main le temps qu'il ouvre et démarre un speeder et nous filons dans le quartier voisin, où se trouve les coordonnées donnés par celui qui a déclenché une petite insurrection "pour me tester". Enfin, je dis "insurrection" mais il a du envoyer à peine quelques hommes, alors qu'en écoutant la radio locale, j'ai l'impression que l'Alliance Rebelle vient de lancer une attaque sur Theed. N'importe quoi. Bien sur, on laisse le speeder a un endroit où il sera dur à trouver : dans le fleuve, avant d'aller à un immeuble proche de celui-ci. On y entre, arme à la main, et allons à l'appartement indiqué, au premier étage.
Il est vide, bien sur. Ma proie n'a décidément aucun cran, à juste vouloir discuter à distance. Tsss... décidément, j'ai du mal à voir si ce gusse a réellement du cran ou s'il est un lâche téméraire.
She's angry that's all. In mourning. It's as old as the world. Amazement, guilt, anger. The Three-Time Waltz. The dance of those who remain.
@"Sagara Soyoku" & @"Maître des PNJs"
La fête des Lumières… Cette fête planétaire était l’occasion de passer une période de fête même en période de guerre. Initialement, elle était faite pour célébrer l’entrée de Naboo au sein de la République Galactique, mais elle a été détournée de son but premier en devenant la fête d’anniversaire de l’Empereur. Soit c’était cela, soit cette dernière aurait disparue dans les méandres de l’histoire. Les reines précédentes l’ont acceptée et tu ne peux pas faire autrement que de faire perpétuer cette fête sacrée. Car au-delà de ça, c’est une fête représente aussi le pacifisme de Naboo et sa forte amitié avec un autre peuple qui vit aussi sur Naboo : les Gungans. Les habitants jouent le jeu au même titre que la monarque. Tout le monde sait que la reine n’a plus aucun pouvoir de décision sauf les institutions civiles. C’est dans cette atmosphère que tu avais malgré tout décidé de maintenir cette distraction qui se veut interplanétaire. Depuis le palais où tu es censé régner et représenter les tiens, tu tenais une cession du Cabinet Royal en présence de tes dames de compagnie et des gouverneurs civils qui étaient là pour te seconder. Mais tout cela n’était que des titres qui n’avaient plus aucune valeur. Plus depuis que l’ancien Chancelier Suprême avait décidé de faire de Naboo une planète sous sa juridiction. Tu savais que la tranquillité de ta planète et de la Capitale ne tenait qu’à un seul fil. Pourtant, dans ton palais, tu redoutes toujours le pire. Les discussions étaient centrées sur la fête des Lumières qui se préparait, y compris au Palais. Comme chaque année, la monarque devait être présente et était garante de la bien-séance de cette dernière. Comme chaque année, tu devais accueillir des hauts dignitaires impériaux, mais aussi des officiers.
À tes yeux, c’est une hérésie d’inviter des officiers alors que la guerre circule au-delà de Naboo. La question est surtout pour combien de temps ? Cette question était sur toutes les lèvres de tes sœurs, de tes dames, de celles qui doivent veiller sur toi et qui doivent te remplacer lorsque cela est nécessaire. La séance se passe plutôt bien et le moral semblait au beau fixe pour une planète sous juridiction impériale. Mais depuis la trahison du bras droit de l’Empereur, les troupes impériales se sont renforcées sous les yeux de la reine que tu es, tiraillée entre tout faire pour ne pas que ton peuple en pâtit et devoir prendre les armes pour essayer de sauver ton monde. Tu n’es pas du genre indécise mais l’Empire savait se montrer convaincant quant à maintenir une planète et son monarque tranquille. Tu as été élue par vote, mais tu n’avais presque plus aucun pouvoir, hormis celui de représenter les tiens aux yeux de l’Empire. Mais tout le monde savait que l’Empire tirait les ficelles. Tout le monde se tait, espérant que tout se passe pour le mieux. Tu étais assise sur le trône qui est le tien alors que les derniers détails s’organisent au sein de ce Conseil de Cabinet. La séance allait être levée avant que tu n’entendes la lourde porte de la salle s’ouvrir. Levant les yeux et la tête vers ses dernières, tu aperçois une personne qui s’approche. Tu l’as reconnu. Il s’agit de ton chef de la sécurité du Palais. Restant assise, tu laisses tes yeux clairs sur lui alors qu’il s’approche de toi. Il s’arrête au milieu du cercle que forment les sièges des différents participants avant de s’incliner devant toi.
« — Majesté, une explosion a retenti au Centre-Ville. » « — Co...mment ? »
Ta voix semble soudainement s’effacer. Tu observes l’ensemble de tes sœurs d’armes alors que tu t’es manifestement levée de ton siège. Comme toute reine avant toi, tu sais que tu as obligation de porter une tenue propre à la maison royale de Theed. Chaque tenue diffère en fonction des monarques. Ta robe du jour porte une couleur majoritaire qu’est le bleu dans les mêmes tons que ce que tu as sur les épaules. Sans oublier, les éternelles coiffes qui font la notoriété des monarques de cette planète censée être tranquille et le maquillage qui te rend méconnaissable. Tu es debout et tu observes le chef de ta garde alors que tu affiches un regard dur et que tu serres les poings.
« — Que s’est-il passé ? »
Le ton était monté et tu avais pris la parole sur un ton autoritaire. L’ensemble des membres du Cabinet pose les yeux sur toi tandis que tu attends les explications. Tu attendais le rapport en sachant pertinemment qu’il est possiblement faussé par les Impériaux. Bien que tu n’aies plus tellement d’autorité depuis l’arrivée des Impériaux, tu sais que le gouverneur sait dissimuler des preuves de l’implication impériale. Tu te méfies donc.
« — Permettez-moi de répondre à cette question, Votre Altesse ! »
Tu redresses la tête et tes yeux se déplacent sur la personne qui venait de prendre la parole sans y être invitée. Plusieurs de tes sœurs s’apprêtent à bouger, mais tu leur fais un signe net, tranchant qui les rend immobiles. Non, tu ne les a pas ensorcelées, elles savent juste ce qu’elles doivent faire. La personne qui venait de prendre la parole était l’envoyé du Gouverneur, celui que tu refuses à l’ensemble des Conseils du Cabinet. Il n’y sera jamais le bienvenu. Celui-ci s’approche avant de s’incliner légèrement. Regard dur et yeux méfiants mais tout aussi vifs que par le passé, tu attends les explications.
« — J’attends vos explications, Lieutenant. »
Le Lieutenant se joue de la patience de la Reine et tu ne lui laisses pas ce plaisir. Jamais, tu ne fais que l’observer sans baisser le regard. On ne t’a élevée de cette façon. Sans même un mot, tu savais ce que tu devais faire. De toute façon, les principaux sujets étaient terminés. Tu restes debout portant l’ensemble de tes artifices qui peuvent devenir lourds sur le long terme. Mais tu ne céderas pas. Jamais. Tu ne feras pas les mêmes erreurs que la Reine précédente qui lui a valu un sacré rappel de la part du Seigneur Vador et de sa légion, la célèbre 501éme.
« — La séance est levée ! »
Sans plus un mot, les membres du Conseil se lève et quitte la pièce. Il ne reste que toi, tes dames de compagnie et le Lieutenant. Le ton était donné. Même si le Lieutenant demanderait que les Dames quittent la pièce, tu ne les empêcheras pas de faire leur travail, à savoir veiller sur toi et assurer ta protection. Une chose que l’Empire n’est pas capable de faire au vu des évènements. Le silence règne dans la pièce alors qu’un sourire se manifeste sur le visage du Lieutenant. Ce n’est pas le cas de la reine, ce n’est pas ton cas.
« — Les Rebelles ont lancé une attaque sur Theed… Le gouverneur fait ce qu’il peut pour assurer la sécurité du peuple en cette veille de l’anniversaire de l’Empereur. » « — Et ? »
Parce que tu sais qu’il y a toujours quelque chose. Surtout avec eux. Tu ne te méfies pas par hasard. Tu sais ce dont est capable l’Empire et c’est aussi pour ça que tu fais attention à ce que tu dises et ce que tu fais en leur présence et même en leur absence d’ailleurs. Tu as conscience qu’ils peuvent avoir les yeux partout. Tu veux savoir ce qu’à fait le gouverneur pour soi-disant protéger ton peuple. Tu le fixes tout comme tes sœurs ont le regard posé sur toi. Tu étais en train de réfléchir et il devait bien faire attention à ce qu’il allait dire. Mais tu ne baisses pas le regard pour autant. Dans ton palais, tu es en position de force. Ou on te le fait croire.
« — Il traque le responsable… » « — Ah parce qu’en plus, vous le laissez filer… Disparaissez. Hors de ma vue ! »
Hors de question que cela se termine comme ça. Tu veux savoir ce qu’il se passe et tu as les meilleures personnes pour ça. Tu patientes, tu peux rester ainsi des heures. Le Lieutenant semble hésiter puis il fait demi-tour. Une fois, les portes fermés, tu t’approches de tes sœurs et tu devais prendre une décision. Tu prends plusieurs inspirations et tu te diriges vers une autre pièce, adjacente à la salle du trône. Tu as besoin de réfléchir mais avant tout, tu devais savoir.
« — Myra, Syra, vous savez ce qu’il vous reste à faire… »
Myra était la plus âgée, mais aussi la plus expérimentée. Syra était la plus jeune, mais elle aime faire les diversions afin de soutenir Myra. Tu n’as pas besoin de leur dire, elles le savent déjà. Elles hochent la tête toutes les deux et tu leur montres un sourire en coin. Ton peuple est probablement en train de se faire massacrer et tu ne prévois pas de rester sans rien faire. Dans l’immédiat, tu es coincée jusqu’à demain en raison de la fête des Lumières. Mais tu sais ce qu’il te reste à faire. Tu fais plus confiance à tes dames pour l’enquête qu’aux impériaux. Retirant ton attirail avec l’aide des dames restantes, tu avais besoin de voir de tes yeux ce qui se passait. Alors, tu quittes tes quartiers pour prendre de la hauteur en te rendant sur les balcons les plus hauts du palais. Tu auras probablement une meilleure vue. Tes dames te suivent de près, se mêlant même à toi afin qu’on ne puisse pas t’identifier. Tu n’avais pas d’autre choix que d’attendre le rapport de tes protectrices… Même si tu en as le cœur serré. Profondément serré.
- La reine apprend qu'une explosion a eu lieu au centre-ville de la Capitale. -> Un des hommes du gouverneur, Lieutenant, se permet d'entrer dans la salle du trône en plein Conseil sans permission. -> Il annonce que c'est le fruit d'une attaque rebelle. -> Il annonce aussi que le gouverneur fait ce qu'il peut pour protéger le peuple mais que le responsable est en fuite. -> Après avoir congédier le Lieutenant, elle demande à deux de ces dames de compagnie d'aller enquêter sur ce qui se passe. -> Inquiète, elle préfère observer ce qui se passe depuis les balcons du palais. -> Elles n'interviendront pas dans la mission, elles sont juste là pour déterminer la véracité des paroles du Lieutenant vu que Autumn se méfie de lui et de son supérieur. Elles auront un impact sur les décisions à venir de la monarque. La mission peut donc continuer normalement sauf si le MJ souhaite employer ces deux PNJs.
Remerciements:
Merci à Sagara et au MJ de m'avoir autorisé à poster. Bonne mission !
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Ven 1 Avr 2022 - 12:10
"Un Vigo est censé comprendre vite qu’il n’est pas toujours nécessaire de rencontrer ses interlocuteurs face à face, ne vous rendez pas ridicule."
Cette fois, la voix laisse entendre un ton aussi blasé, lançant cette première réponse comme la plus parfaite des évidences, celle qui devrait à vous aussi vous crever les yeux.
"Parlons plutôt affaire… vous savez que l’étoile noire a été détruite et que de nombreuses dissensions internes existent dans l’Empire. Même l’Alliance Rebelle est divisée en son sein. Des nouvelles organisations gouvernementales éclosent ici et là, les anciennes luttent pour leur indépendance. Les organisations criminelles ne sont plus ce qu’elles étaient non plus. La pandémie n’a aidé en rien. Ce chaos général offre néanmoins de nouvelles opportunités. Des personnes importantes, dans cette galaxie, recherchent des personnes pouvant apporter leur pierre à ce nouvel édifice. Les futures organisations de l’Ombre auront besoin de nouvelles règles. Et surtout, de sang neuf. Toujours décider à rester planqué au sein du Soleil Noir ?"
Deux choix s’offrent à vous :
– Cette conversation n’a que trop duré. Elle ne vous intéresse pas et vous avez bien mieux à faire. Jetez un dé de combat. D’un à six, vous parvenez à découvrir, grâce à cette voix, qui est cette personne. Vous pourrez ensuite repartir en quête pour la localiser et l’éliminer. De sept à vingt, vous ne parvenez pas à l’identifier et vous mettez fin à cet échange. – Cette offre peut révéler des opportunités intéressantes. Vous devez tenter d’en savoir plus.
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Ven 1 Avr 2022 - 19:10
"Un Vigo est censé comprendre vite qu’il n’est pas toujours nécessaire de rencontrer ses interlocuteurs face à face, ne vous rendez pas ridicule."
Un vigo sait aussi que lorsque son interlocuteur ne veut pas être vu de lui, c'est qu'il y a une arnaque dans l'histoire, mais inutile de le lui dire. Ce mec à visiblement un manque de jugeote certain, à me sous-estimer de cette façon. Être ridicule ne tue pas, dans le milieu, mais me sous-estimer si.
"Parlons plutôt affaire… vous savez que l’étoile noire a été détruite et que de nombreuses dissensions internes existent dans l’Empire. Même l’Alliance Rebelle est divisée en son sein. Des nouvelles organisations gouvernementales éclosent ici et là, les anciennes luttent pour leur indépendance. Les organisations criminelles ne sont plus ce qu’elles étaient non plus. La pandémie n’a aidé en rien. Ce chaos général offre néanmoins de nouvelles opportunités. Des personnes importantes, dans cette galaxie, recherchent des personnes pouvant apporter leur pierre à ce nouvel édifice. Les futures organisations de l’Ombre auront besoin de nouvelles règles. Et surtout, de sang neuf. Toujours décider à rester planqué au sein du Soleil Noir ?"
Je soupirais et pris une chaise, sortant mon étui à cigarettes pour en prendre une. Mon subordonné se pencha pour me l'allumer, avant de reculer vers la porte. Je profitais pleinement de cette petite pause, prenant délibérément un instant avant de lui répondre. Après tout, je suis un "vigo planqué" d'après lui, non ? Un "vigo planqué" ne doit-il pas se faire désirer ? Et puis, sincèrement, cela m'amuse.
"Je ne suis pas totalement d'accord avec vos assertions. Il est exact que certains secteurs sont touchés par les récents événements. Nightswan cause pas mal de problème, aussi, à vouloir construire une nation dans l'Espace Sauvage. Mais la présence impériale est en train de faiblir ailleurs, dans la Bordure Extérieure par exemple, ce qui peut permettre une relocalisation de certaines affaires. Enfin, il est, au contraire, des secteurs dans lesquels le nombre de clients est en augmentation."
C'est le cas, par exemple, du trafic d'arme. Les petits gouverneurs qui ont peur des conséquences d'un affaiblissement de la présence impériale, et donc de subir une révolte et de perdre leur précieux pouvoir illusoire. On peut aussi citer des groupuscules rebelles qui aimeraient lancer une révolution sur leur monde pour chasser ce qu'il reste de l'empire et leur gouverneur corrompu. Il y avait aussi des déserteurs impériaux qui se tournent vers la piraterie, même s'ils sont rares, et qui cherchent à s'approvisionner en munitions. Sans parler de Nightswan qui a surement besoin d'armer sa future nation. En bref, mon secteur commercial est en plein essor, et je suis le numéro un dedans. Il y a donc une certaine fierté à sentir cette envie de me recruter.
Il est juste dommage que je suis loyal envers mon prince, surtout sachant que trop bien le sort réservé aux traîtres. J'ai eu à m'occuper de certains moi-même. Je me levais tranquillement, reprenant mon pistolet que j'avais posé sur la table.
"En plus, vous m'insultez, me traitez de "planqué". Un vigo planqué ne serait jamais venu en personne, vous le savez comme moi. Il aurait envoyé un de ses fidèles pour faire le sale boulot. Ce n'est donc pas très agréable de votre part, vous savez, mais je suis un homme d'affaire, je sais faire abstraction de cela pour juger ce que vous proposez.
Et je dois bien admettre qu'il y a tout de même un petit quelque chose qui me fait hésiter. Et ayant pris un instant de réflexion, j'ai pris ma décision."
Je levais mon blaster et je détruisis les caméras et écrans, en souriant, d'une rafale de lasers. Puis je fis signe à mon acolyte qu'il valait mieux sortir, au pas de course. Quelque chose me disait qu'il n'avait pas apprécié cet échange et que tout allait sauter, une fois qu'il serait revenu de sa surprise. Une fois dehors, nous nous éloignâmes d'un pas rapide mais tranquille, les armes sous nos vestons, pendant que je faisais mentalement une liste d'individus à contacter. Pas le Prince, l'affaire est trop grave et j'irais le voir en personne dans sa tour, mais certains de mes confrères. Il faudrait voir du côté des hutts, aussi, en passant par Jabba ? C'est lui qui a le plus gros "domaine" dans le milieu, au sein de sa race, plus que mon collègue hutt d'ailleurs, et il a autant que nous à perdre si jamais une nouvelle organisation tente de se faire une place dans le milieu.
Une guerre dans les organisations de l'Ombre ne profitera à aucun de nous. Mais ce sera amusant à vivre.
Le calme est ramené de force par les impériaux dans le centre-ville et certains rebelles ont été arrêtés. Ils seront conduits sur Coruscant pour y être jugés et exécutés, en bonne et due forme.
Une nouvelle guerre, cette fois souterraine, se profile à l'horizon...
Quant à vos suivantes, reine Autumn, les informations rapportées ne sont que celles des impériaux. Des rebelles ont honteusement attaqué la planète et ils sont été arrêtés. Tous seront emmenés sur Coruscant et y seront jugés, avant exécution. Aucune information officielle ou officieuse n'a pu en apprendre plus sur les réelles circonstances de toute cette affaire.
~~~~~~~~ FIN DE MISSION ~~~~~~~~
Récompense de fin de mission : Félicitations, les rumeurs concernant votre cas vont exploser et vous aurez bien du travail à mener, pour que votre réputation officielle ne soit pas entièrement sabotée.
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