Past and future united. For a better future

 


Jets Dés
Le PNJ recrutant Iris, connait-il la réputation de la Maison Calipsa = 2

Spoiler:

Je regardais l'espace, enfin la version qu'en donnait un vol hyperluminique, songenat un peu à toutes nos pertes. Depuis que j'avais rejoins l'Alliance, ma section avait payé un cher tribut pour aider à restaurer une république dans cette galaxie. De ma force de combat, il ne me restait plus que la Poséidon et une escadrille de chasse, alors que j'avais eu trois escadrilles et deux frégates headhammer en plus du Poséidon. J'avais donc, en trois engagements, plus mes harcèlement du commerce impérial, perdu l'équivalent de la moitié de ma puissance de feu.

Et c'et là où j'étais un peu en colère : j'avais demandé qu'on m'adjoigne quelques chasseurs, même seulement un escadrille, deux au mieux, car le Poséidon ne peut en accueillir que trois. Et ce [censuré] de responsable des affectation qui me répond qu'ils verront, parce qu'ils doivent en fournir à pleiiiiiiins de vaisseaux.... J'ai failli lui balancer son bureau à la tête, sur le coup. S'il n'avait été vissé au plancher... Tudieux ! Cela m'a tellement mais tellement énervé... On se décarcasse, on établit des plans, des assauts, on subit des pertes et... un simple capitaine semble estimer que mon vaisseau n'a pas un besoin plus pressant de chasseurs que d'autres parce qu'il ressort quasiment toujours indemne de ses missions. Mais sacrebleu, ce type a l'intelligence d'un bantha !

"On est sur place dans deux minutes, amiral."

"Merci, Alturo."

Je souris à mon second, qui était aussi le capitaine de mon croiseur et me tendait une tasse de café. Il connaissait mon énervement, et la cause comme tout l'équipage - qui avait largement eu la facilité à l'entendre quand j'en avais parlé, sur un ton très calme et capable de froisser la coque d'un destroyer. Je bus le café, tranquillement, me calmant peu à peu. Un appareil nous attendait déjà, un petit visiblement et pas la corvette que Revan avait amené lors du débriefing. Je ne bougeais pas, écoutant le personnel de passerelle vérifier qu'ils avaient l'identifiant qu'on leur avait demandé pour se faire connaître, un vieux code de l'époque des guerres mandaloriennes. C'était si vieux que seuls ceux y ayant participés peuvent les connaître. Cela m'assurait donc qu'aucun impérial n'avait pu les avoir, à moins qu'un traître de l'époque n'ait rejoint l'Empire, bien sur, mais cela ne semblait pas être le cas. Le code fut identifier et Alturo Cyrus autorisa la navette à venir aponter dans le hangar.

Je hochais la tête à mon bras droit, lui confiant la tasse, vide, en rejoignant le turbolift, qui m'amena dans le hangar au moment où la navette achevait de se poser. Il y avait de la place, pour cela. Il n'y avait que treize chasseurs, nos vieux Aurek, ceux de mon escadrille et le mien, ainsi que nos deux dernières navettes d'assaut. Oui, il y avait de la place. Après avoir retenu un soupir, je chassais cela de mon esprit, enfin j'y tâchais, pour m'avancer vers la rampe qui s'abaissait. JE saluais les deux femmes qui en sortirent, ne reconnaissant aucune des deux.

"Bienvenue à bord du Poséidon. Je suis l'amiral Julia Démétriès."

Ce n'était pas nécessairement bien vu de se présenter seule à ce genre de rencontrer inter-faction mais je ne m'en souciais pas. En plus, le plus diplomate de mon équipe était mon second, qui devait rester sur la passerelle au cas où. On a beau être au milieu de nul part, il faut pouvoir être prêt à partir à la moindre alerte, genre un destroyer impérial qui surgit d'un seul coup, et donc sa présence là-bas était nécessaire, plus qu'à mes côtés.

Je laissais les demoiselles se présenter, avant de les inviter à me suivre jusqu'à une salle de réunion. Je les conduisis dans els couloirs, assez large pour qu'on passe à trois de front, propre car bien entretenus par nos vieux droides. On en a un qui ne supporte pas la moindre saleté, étant capable de passer sa brosse dix fois sur une simple trace suspecte ! Je conduisis le duo révanite à l'intérieur de l'antique et menaçant croiseur lourd, jusqu'à une salle e réunion, située au centre de la structure. A l'intérieur, je les invitais à s'installer comme elles le souhaitent, autour de la table où se trouve un pichet d'eau et un de café fumant ainsi qu'une demi-douzaine de verres et tasses, une assiette avec des biscuits et une coupelle de fruits. Cela ne fait jamais de mal.

Je m'assis sur ma chaise, en bout de table, me remplissant une tasse en souriant. Un bon café, ça ne peut que mettre de bonne humeur.

"Pour commencer, je souhaiterais vous remercier d'être venues. J'ignorais, jusqu'à mon arrivée, si Revan viendrait où enverrait quelqu'un en réponse à ma demande. Je suis ici pour discuter d'une entente plus approfondie entre nos deux organisations, en tant que représentante de l'Alliance Rebelle."


Obtenir un renfort de chasseur pour le Poséidon : 15 )> niet

 


Jets Dés
. Connaissance d'Iris sur l'époque des guerres mandaloriennes = 10
. Iris est-elle "sous le charme" du Poséïdon, vieux datant d'un temps qui n'existe plus ? = 16

Je suis l'une des premières personne à avoir rencontrer Revan lors de son arrivé dans cette époque par les failles du temps. J'avais peur au départ qu'il soit aussi instable que l'ancien Revan que la force avait repris, cependant ce n'était pas le cas heureusement. Il avait toute sa tête et ses pensées étaient clair. Je l'ai renseigné sur cette époque et la suite de son histoire après sa mort. J'ai l'avantage d'être archéologue et historienne, cela lui à permis d'en savoir plus avant de partir à la recherche d'informations sur cette époque.

Je restais ensuite silencieuse, écoutant l'échange entre les deux jeunes femmes. Ma présence était surtout dans un but d'apprentissage diplomatique, tout autant que la protection d'Iris comme garde du corps. La discussion était calme, mais pleine de questions non posées. Comme si l'un comme l'autre hésitait à poser des questions.

Nous avons les mêmes intentions pour les Jedi que pour l'alliance. Mais il faut savoir que notre groupe à ouvert aussi sa porte à d'anciens sith qui ont décidé de ne plus suivre l'Empire. Cela peut-il poser problème à l'alliance? Où même aux Jedi ?

 


Jets Dés
. Iris a-t-elle anticipé l'objectif initial de la Rébellion, celle de créer une Nouvelle-République ? = 4

 


Jets Dés

- "Tout sith qui soit, n'est pas forcément comme les autres, tout jedi n'est pas non plus totalement les autres, nous sommes tous différent. Revan l'a prouvé en revenant du coté obscur de la force.

J'use du coté obscur de la Force, je ne me cache pas, j'ai grandie ainsi, cela fait-il forcément de moi une brute sanguinaire comme pouvait l'être certain sith? Pourtant s'il le faut l'usage de la lumière peut m'être utile, suis-je donc une jedi pour autant. Pourquoi devrions nous fermer notre porte à des personnes pour leur usage concernant la force. Après tout la galaxie est composée de mondes obscur, lumineux et neutres...."

Je croisais les bras, confortablement adossée dans mon fauteuil en écoutant cette jeune femme. Elle dit manier le Côté Obscur mais a-t-elle été une sith ? Après tout, arriver à faire le premier ne fait pas nécessairement de vous le second. De même que savoir utiliser le Côté Lumineux ne fait pas de vous un jedi. Cela, au moins, je le savais. Et son opinion n'allait pas changer la mienne juste par de simples paroles. Mais, comme je l'ai dis, mon opinion n'est pas celle dont il faut le plus tenir compte : je représente l'Alliance et c'est elle qu'il faudra convaincre. Ce que je pense réellement, je sais le mettre de côté.

- "J'ai eu le plaisir de converser avec lui. Comme je vous l'ai dis, il m'a.. tout expliqué. Amirale ? Vous qui semblez le mieux le connaître de nous toutes, savez-vous pourquoi il engageait des aliens et même d'anciens ennemis dans ses rangs ? C'est la première question qu'il m'a posé."

J'écoutais l'explication qu'elle me donna, probablement celle que lui appris Revan. C'était une réponse pragmatique, bien digne du Revan que j'ai connu, servi et combattu. En vrai, je me demande s'il ne voit pas la majorité des êtres de la galaxie comme des outils qu'il prend pour atteindre ses buts, ne se sentant proche que d'une poignée d'entre eux. J'espérais me tromper car ce serait triste pour un si grand homme.

- "Comme l'a dit précédemment Dame Rosas, Revan a vite comprit le danger que représentait l'Empereur Palpatine et son Empire. Il est le seul ennemi aux yeux des revanites. Revan n'a aucune intention malveillante à votre encontre, ni même envers l'Ordre Jedi. Mais votre méfiance est des plus normales. Nous devons vous prouver que nous méritons votre confiance.

Après la réussite de la bataille d'Aspatros, je propose à vos leaders de maintenir d'autres missions de coopérations. Quant à vos attentes de Revan, le mieux serait d'organiser une rencontre entre nos leaders respectifs. Et je vous propose également de créer une ambassade dans chacune de nos factions respectives. Cela faciliterait grandement nos futurs rapports entre l'Alliance Rebelle et les Revanites.

Et dans l'éventualité où une rencontre vous semblerait trop hâtive, je suis certaine que Revan sera vous convaincre. Si la Rébellion a des objectifs en visuels, nous vous ferons un plaisir de vous les accomplir."

Je souris un peu, décroisant mes bras, pour en poser un sur mes cuisses et tapoter machinalement sur la table avec les doigts de la seconde.

"Revan n'avait non plus aucune intention malveillante envers la République quand il a combattu contre les mandaloriens. L'Alliance Rebelle ne cherche pas que des partenaires pour combattre l'empire mais aussi pour l'après, pour ce qui arrivera une fois que nous aurons vaincu Palpatine. Quels sont vos projets pour ce moment là ? Souhaitez-vous créer une nouvelle nation, intégrer la République que nous souhaitons recréer ? Sans aller jusqu'à discuter de territoire, ce sont des questions qu'ils font déjà se poser."

Se battre côte à côte jusqu'à vaincre l'ennemi pour se retrouver à se battre l'un contre l'autre ensuite, ce serait une chose horrible, et j'espère que l'on pourra éviter cela. Mais cela dépendra bien sur des ambitions de ces révanites. S'ils veulent fonder une nation propre, sous leur direction, soit. Ce serait leur droit, je pense. Mais je pense que nous avons celui d'être mis au courant avant, afin qu'on puisse en discuter paisiblement, pendant les moments de répit du conflit. Préparer l'après-guerre avant sa fin est une bonne façon d'éviter des affrontements armés entre nous.

"J'ai aussi le sentiment que vos forces militaires restent faibles mais il est vrai que vous avez quelques personnes talentueuses. Ce sont des atouts que je ne nierais pas. Et nous sommes d'accord sur le besoin de continuer à coopérer, quand cela est possible. Un échange de représentants est donc totalement acceptable. Il faudra juste, par équité, que nous définissions leur nombre, les moyens de communications qui pourront être mis à leur disposition et le niveau d'accréditation qu'ils pourront avoir auprès de leurs hôtes. La seule demande que nous aurons à ce sujet serait d'éviter la présence de sensitifs parmi les vôtres." Je souris pour Rosas, en ajoutant, "Ce n'est pas contre vous mais certains de nos dirigeants ont peur des pouvoirs de manipulation mentale et comme nous n'avons pas de jedi en permanence auprès d'eux, cela me semble être un bon geste de votre part."

Je me redressais, pour prendre la carafe et remplir un peu ma tasse de café.

"Sinon, nous avons un léger désaccord avec Revan, peut-être pas avec les révanites mais avec votre chef. Nous, nous acceptons les non-humains dans nos rangs parce qu'ils ont le droit de se battre pour leur liberté autant que les humains. Probablement plus, même, car notre espèce est moins opprimée qu'eux par l'Empire de Palpatine. Je pense que cette réponse vous vaudra moins d'ennemi politique chez nous que celle de Revan."

Je me rassis, prenant une gorgée du liquide, moins chaud mais toujours agréable. Je tenais à ce qu'elles comprennent cela, parce qu'il y a des peuples qui apprécieraient guère le point de vue de Revan, au sein de l'Alliance. Quand l'ennemi est xénophobe, il vaut mieux être ultra-tolérant quand on le combat, quand on veut se faire des alliés fiables, que simplement pragmatique. Revan est un grand stratège, personne ne reviendra là-dessus, et un excellent meneur d'homme. Par contre, avec des pensées comme ça, je doute qu'il fasse un bon chef d'état.

Je leur laissais maintenant la parole, pour répondre à mes questions sur leur objectif à long terme, sur leur ambition -ou leur manque- politique. Sur leurs questions ou demandes auprès de l'Alliance.