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Dim 14 Jan 2018 - 22:10
Korriban, planète des Sith. Sur cette planète se trouve l'académie formant les apprentis de cet Ordre millénaire. Depuis quelques temps, cette académie est active, et abrite du personnel, des étudiants, et bien entendu un directeur.

Mais ce directeur, comme tout guerrier Sith, a soif de combat et de conquête. Qui plus est, les Sith sont convaincus de leur légitimité à diriger et à dominer. Enfin, même le plus loyal des Sith peut prendre des initiatives personnelles au service de l'Ordre, ou pour lui même.

Par cette académie transitent de nombreux prisonniers, des gardes, des vivres, des équipements divers, ainsi que tout le nécessaire pour remplacer les infrastructures : droides d'entrainement, cellules, défenses,.....

Le directeur a également sous ses ordres un cuirassé d'un genre tout particulier. Une véritable relique. Bien que la plupart des observateurs modernes le qualifieraient d'archaïque tas de ferraille, le cuirassé de classe Derriphan est à l'image des Sith : tout dans l'attaque.

En observant la progression des combats dans cette guerre, le directeur se rendit compte que plusieurs planètes sont neutres ou abandonnées. L'occasion d'une petite victoire militaire mineure, sans importance à priori, mais l'Empereur pourrait apprécier la démarche. Une occasion de briller, ou peut être d'en tirer un profit personnel. Begeren.....tout un symbole.
Cette planète referme un ancien savoir Sith mais est abandonnée. Pourtant, ses mines semblent encore avoir des pierres précieuses à fournir. Pourquoi donc personne n'y a construit une colonie minière ? Serait elle envahie par une espèce animale mortelle ?
Voyons ce que je peux trouver comme information ici à l'académie. Apres tout, je me trouve dans le lieu idéal pour cela.
Mais rien. Par le passé, il y avait des combats, des natifs, mais plus aucune information.

Bon, il est temps de contacter le cuirassé, et de lui donner ordre d'aller explorer cette planète, afin de me fournir les informations dont j'ai besoin. Je dois pouvoir estimer les possibilités d'y installer une base d'exploitation, d'exploration archéologique, et éventuellement d'y implanter une académie de secours.

Une fois les ordres de mission arrivés, le cuirassé se mit en route pour Begeren.
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Lun 15 Jan 2018 - 16:25
Après un long, vous êtes enfin arrivé en orbite de Beregen mais tout n'est pas encore terminé. Plusieurs vaisseaux décollent pour trouver le meilleur endroit possible ,mais reviennent la nuit tombée bredouille. Le même schéma se reproduit trois jours de suite, bien que le quatrième jour semble le mieux, l'endroit où vous pensiez réussir à poser tout l'équipement, s'effondre dans le vide car la plateforme était instable sur le flanc d'une petite montagne

Cinquième et sixième jour, une violente tempête empêche les vaisseaux de repartir, il faut alors trouver de quoi s'occuper. Le septième jour est enfin le meilleur, l'endroit découvert est le meilleur pour enfin débarquer tout le petit monde qui occupe le vaisseau
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La Force
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La Force
Lun 15 Jan 2018 - 18:49
Le cuirassé sort de l'hyperespace, la planète se dévoilant devant lui. Rien de notable pour le moment.
Il faut faire le premier rapport.

"Seigneur Grodjirah, ici le Single Strike pour rapport de mission.
- Bien, commandant. Parlez.
- Nous sommes arrivés sur orbite de la planète et il n'y a aucune trace d'activité.
- Aucune ?
- Négatif monseigneur. Aucune station, aucun vaisseau.
- Bonne nouvelle. Apres tout, cette planète est à l'abandon depuis très longtemps, et il était donc plus que probable que le cartel des Hutts ou n'importe quelle organisation s'en empare. Elle pourrait être une cachette idéale pour les Rebelles. Restez prudent et commencez la reconnaissance aérienne avec vos chasseurs.
- Bien, monseigneur."

Les cuirassés de classe Deriphan ne sont pas les vaisseaux de guerre les plus gros, et ils n'ont que 6 chasseurs à déployer. Il faudra donc du temps pour explorer correctement la surface de cette planète ressemblant à Korriban.
Des montagnes, des canyons, du sable, de la roche, d'immenses statues effondrées à moitié recouvertes de sable....Une différence notable, toutefois : des cristaux et des pierres précieuses sont visibles en certains points.
Enfin, après quatre jours, une installation minière est repérée. Il faut déployer quelques troupes de reconnaissances et leurs véhicules pour en savoir plus.
Les deux navettes de classe Herald du Single Strike sont mises à contribution, se posant sur la plateforme de débarquement.

Les premiers hommes en sortent, afin de sécuriser le périmètre. Ces deux navettes peuvent transporter chacune cinq passagers, un landspeeder, deux speederbikes, et 70 tonnes de matériel. Un trajet est donc suffisant pour commencer une mission d'exploration. Alors que les navettes s’apprêtent à repartir, une secousse se fait sentir. La plateforme est instable et menace de s'écrouler. Le metal commence à grincer, cette espece de hurlement qui annonce une chute imminente. Les hommes courent, prennent ce qu'ils peuvent, et les navettes commencent à décoller.

Dans un immense fracas, la plateforme fini par s'affaisser, puis tomber dans le vide pour s’écraser plusieurs dizaines de mètres plus bas. Personne n'aurait pu survivre à cela. La plupart des hommes vont bien, plus de peur que de mal, mais de nombreuses caisses de matériel étaient encore sur la plateforme et sont donc perdues. Qui plus est, les navettes ne peuvent pas se poser sur ce sol sablonneux et il semble qu'une tempête approche. Elles repartent donc au cuirassé. Les troupes au sol devraient pouvoir se débrouiller, et de toute façon, il faut qu'ils déblaient un lieu atterrissage avant de pouvoir être secourus.
Ils se réfugient dans les quelques constructions qui servaient aux mineurs. Apres tout, si elles sont encore debout apres tout ce temps, c'est qu'elles peuvent résister à une petite tempête qui ne devrait pas durer bien longtemps.
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Dim 21 Jan 2018 - 20:03
Quelques constructions rudimentaires, tout cela ne paie pas de mine.
La tempete se lève et les soldats de reconnaissance n'ont pas le temps de se montrer exigeants. Attrapant un blaster léger, laissant le plus gros de leur matériel à l'extérieur, ils se rendent dans le bâtiment, si on peut le nommer ainsi, le plus proche, afin de voir si il est sécurisé. On ne sait jamais. Sans être des commandos d'élite, les scout troopers ont l'habitude d'agir dans des zones hostiles, où rodent troupes ennemies et nature sauvage.

L'intérieur n'est pas tres interessant. D'apres la configuration de la piece et les éléments présents, il semble qu'il s'agissait d'un petit bureau avec une zone de stockage de vehicules, un garage. A part un ou deux meubles et quelques caisses vides, il n'en reste rien.
" C'est bon, on va pouvoir s'installer ici, même si c'est un peu serré.
- Qu'allons nous faire chef ?
- garder notre calme, en premier lieu ! Ensuite, on va etablir le camp avec ce que nous avons, il va me falloir un inventaire de ce qu'on a pu sauver, et établir la communication avec le cuirassé.
- oui chef !
- Cette communication, ça vient ?
- la communication est brouillée par la tempete, chef.
- Evidement, c'est toujours comme ça ! Bon ! La mission avant tout, soldats. Nous allons tenir le coup, preparer le terrain pour que les navettes se posent, et nous allons explorer le plus possible les environs, en commençant par ces installations.
- Oui chef !"

Mais pour le moment la tempête prend de l'ampleur. La priorité est donc donnée à l'inventaire, à l'installation du camp, et à la sécurisation des véhicules. Comme cette premiere structure semble avoir été un garage. Les deux landspeeders et les quatre speederbikes y passent sans probleme. La nuit approchant, les troopers se préparent à dormir, avec bien entendu un tour de garde. De toute façon, la moitié de leur équipement est tombé avec la plateforme d'atterrisage, ils ne peuvent donc pas tous dormir correctement dans de bonnes conditions. Sans compter qu'ils ont dû faire quelques sacrifices pour boucher les fenetres et les nombreux trous. Eclairage, armement, nourriture, outils....ils manquent de tout. Il ne faudrait pas que la situation dure trop longtemps.

Mis à part le bruit du vent et du sable projetté contre les murs de leur abris, cette première nuit fut calme. Aucun danger ne semble roder dans les environs. Mais, malgrès la tempête, il faut quand même être actif, puisque les navettes ne pourrons pas venir les chercher tant qu'ils n'aurons pas dégagé une piste même rudimentaire, et qu'il faut encore sécuriser l'intégralité de la zone, bâtiment apres bâtiment.
Ils ne sont ni nombreux, ni grand. Cela est étrange pour un complexe minier. Non, impossible, il s'agit d'autre chose.
La journée passe et l'exploration des bâtiment permet d'en voir les fonctions supposées. Un garage, donc, une petite cantine dont la cuisine n'est pas tres grande, un petit dortoir, quelques bureaux et installations sanitaires,....tout cela fait penser à une sorte d'avant poste. Peut etre une petite base pour lancer des patrouilles de surveillance. Il reste une petite construction, placée contre une haute et large falaise.

Trois soldats entrent dans le bâtiment en formation. On dirait un poste de garde barrière, avec une pièce dotée d'une large fenetre, et une petite pièce dans laquelle se trouvent des panneaux electrique, avec un levier. Par curiosité, un des soldats l'actionne. Apres tout, que peut il se passer mal.
Un bruit sourd se fait entendre, suivi d'un grincement, dont le volume sonore augmente progressivement, jusqu'a être remplacé par un vrombissement.
Soudain, un claquement a lieu. Et les éclairages du bâtiment, du moins ceux qui restent, se mettent en marche, puis ceux du reste de l'ensemble de structures.
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Mar 23 Jan 2018 - 22:22


Dans la pièce à la large fenêtre, un bouton s'éclaire, à portée de main de ce qui reste d'un siège placé de sorte de voir ce qui passe devant le bâtiment. Habituellement, ce genre de bouton, placé à cet endroit, sert à actionner une barrière. Mais aucune barrière n'est visible, et si c’était le cas, alors la route se dirigerais droit vers la falaise. Le soldat curieux ne put résister à cette tentation. Un nouveau grondement se fit entendre, plus fort que celui de la mise sous tension électrique. Ensuite, des vibrations se font sentir au niveau du sol, et des petits cailloux tombent de la falaise, puis des morceaux plus gros, créant un nuage de poussière rapidement évacué par le vent de la tempête toujours active, découvrant alors une porte qui se lève, donnant sur un tunnel sombre s'enfonçant dans la roche. Le reste de la troupe, ainsi que son plus haut gradé, arrivent aux abords du bâtiment et font donc face à ce tunnel désormais ouvert. A l'intérieur, ils seraient à l'abris de la tempête, mais que peut bien cacher cette obscurité ? De plus, la nuit approche. Il vaut donc mieux refermer la porte pour le moment, et attendre le lendemain.

Jour 6. Enfin la tempête semble se dissiper. Certaines caisses de matériel laissées dehors sont renversées, et se pose maintenant la question du mystérieux tunnel. Mais il est plus sage de préparer une piste pour les navettes : des renforts seraient souhaitables. Le problème, c'est que les navettes de classe Herald sont plutôt grandes. Il suffit d'aplanir les emplacements correspondant aux patins d'atterrissage, mais ceux ci sont relativement éloignés l'un de l'autre, et il ne faut pas qu'il y ai une trop grande différence de niveau entre chaque emplacement. Alors qu'ils travaillaient au déblaiement, le soldat chargé de la radio se dirigea vers le gradé, agité. La communication avec le cuirassé était rétablie.

"Groupe de reconnaissance numéro un de cuirassé Single Strike parlez.....Groupe de reconnaissance numéro un de cuirassé Single Strike.....
- Cuirassé Single Strike ici le Groupe de reconnaissance numéro un, nous vous recevons !
- C'est un soulagement groupe de reconnaissance, nous commencions à craindre de vous avoir perdu. L'équipage des navettes nous a fait un rapport de situation mais nous n'en savions pas plus qu'eux, et vu d'ici, vous avez dû traverser une sacrée tempête.
- La routine. Nous avons exploré le complexe abandonné. Rien de bien intéressant, on dirait une base de reconnaissance, mais nous avons découvert l'entrée d'une installation souterraine, nous attendons les renforts pour y pénétrer après qu'on ai préparé une piste pour les navettes
- Négatif, groupe d'exploration numéro un, les navettes vont transporter le groupe de reconnaissance numéro deux qui prendra votre relève, vous pourrez ainsi venir prendre du repos et un bon repas à bord.
- Sauf votre respect, les repas ne sont jamais bons dans l'armée impériale, et nous sommes curieux d'en savoir plus sur ce que nous avons découvert.
- Restez en attente, groupe de reconnaissance numéro un........"

Plusieurs minutes de silence radio suivirent. Bien que faisant partie du même équipage, il y a toujours une forme de rivalité entre les différents groupes. Alors, même si ils avaient mal dormi et peu mangé recement, ils tenaient à aller jusqu'au bout de leur mission après leur découverte.

" Groupe de reconnaissance numéro un, lorsque la piste sera prête, les navettes transporterons le groupe de reconnaissance numéro deux, puis, elles reviendrons chercher deux groupes d'assaut. Ces trois groupes seront chargés de vous appuyer pour votre exploration du complexe souterrain.
- Merci de votre compréhension cuirassé Single Strike"

Un gros problème de conception des cuirassés Deriphan : il abrite 850 soldats, répartis dans les rôles voulus comme les troupes de reconnaissance, les troupes d'assaut, des troupes conventionnelles, des gardes,....mais seulement deux navettes pour les amener au sol, ces deux navettes pouvant contenir un total de 10 soldats. Ainsi, pour débarquer la totalité des troupes, il faudrait de bien laborieux trajets. Bien entendu, dans la plus grande majorité des cas, il est prévu qu'un tel vaisseau se pose et que les troupes descendent par les rampes d’accès. Mais ce n'est pas possible dans la situation actuelle.

Apres avoir préparé leur équipement, les soldats rouvrent la porte, qui fait à nouveau le bruit d'une mécanique qu'on a pas activé depuis bien longtemps. La porte, et le tunnel ont une largeur et une hauteur suffisante pour le passage de deux larges véhicules d'exploration terrestres. Insuffisant pour une navette. Un chasseur pourrait s'y engouffrer mais les landspeeders et les speederbikes suffirons pour porter l’équipement, quelques soldats, et surtout pour apporter leur puissance d’éclairage.
Les troupes de reconnaissance sont équipées dans une optique de légèreté et de mobilité, mais les troupes d'assaut en sont tout le contraire, avec des armures plus complètes, et des blasters lourds. Il faut donc se déplacer plus lentement, mais de toute façon, avec l'obscurité, il ne peut en être autrement. Et puis, quoi qu'il en soit, avoir deux groupes capables de faire face à la majorité des menaces est rassurant.

Le tunnel est long. Tres long. Tres, tres long. Avec des petits points de contrôle intermédiaires. Ils finissent par arriver à un poste de garde plus proche de celui de l'extérieur, et lui aussi équipé d'un panneau de contrôle. Bien entendu, les soldats l'activent, et les éclairages du tunnel s'activent les uns après les autres.

Continuant de suivre la route apres ce poste de garde, les soldats arrivent immediatement apres à une intersection. D'un coté, la route montre, et de l'autre coté, elle descend. Ils s'approchent du bord pour essayer d'en savoir plus à l'aide de leur éclairage et découvrent alors une immense structure en forme de silo, la route décrivant des cercles.
Voilà qui ressemble bien plus à un complexe minier, ou à une base militaire. Apres tout, cette planète a vu de nombreux affrontements armés, et une base militaire souterraine n'aurait donc rien de surprenant sur une planète connue pour ses mines de pierres précieuses. Mais cela annonce également que l'exploration des lieux va prendre plus de temps que prévu.
Le gradé donna ordre à un de ses soldat de mesurer, à l'aide de l'appareil adequat, le diametre du silo.
" 300 metres, chef.
- Et bien....cela va prendre du temps."
Il se tourna vers le soldat curieux qui avait activé les interrupteurs jusque là
" Allons soldat, tachons de trouver de quoi allumer la lumière ici, il doit bien y avoir une salle de contrôle quelque part.
- oui chef"

Un jour plus tard.
A bord du Single Strike, les officiers attendaient des nouvelles avec une certaine anxiété. Dans l'espace, les notions de jour et de nuit sont toutes relative. Depuis combien de temps etaient ils partis ? Une journée ou plus ? Tout ce temps sans nouvelles, les communications ayant du mal à passer l'epaisseur rocheuse et les structures metalliques du complexe souterrain. Et si ils avaient rencontré un probleme quelconque ? Soudain, la radio s'activa.
" Cuirassé Single Strike de Groupe de reconnaissance numéro un.
- Ici Cuirassé Single Strike, parlez, groupe de reconnaissance numéro un
- Cuirassé single strike de groupe de reconnaissance numéro un, nous avons une excellente surprise à vous annoncer.
- Et bien, parlez, que quoi s'agit il ?
- Nous allons vous montrer. Nous venons d'activer une balise de localisation, approchez vous en."

La curiosité.....en temps normal, jamais un vaisseau de guerre n'aurait pris un tel risque, et l'ego des officiers leur aurait interdit de suivre les directives d'un homme de troupe. Il pourrait s'agir d'un piège. Ce genre de cuirassé est à son avantage lorsqu'il est loin de sa cible, avec ses batteries de missiles et de laser défensifs, mais une cible trop proche peut être un probleme.
Malgres tout, quittant l'orbite mais restant à distance raisonnable, ils arriverent au dessus de la balise. Quelques soldats de reconnaissance se trouvaient là, avec un fumigène pour être plus facilement repérés. A coté d'eux, un cercle metallique rouillé de grand diametre, 300 metres environ.
" Ici Single Strike, que voulez vous donc nous montrer ?
- Un peu de patience Single Strike. Groupe de reconnaissance numero deux, à vous de jouer
- Bien reçu"

Et le cercle s'ouvra, revélant le silo et la base souterraine. Un silo assez grand pour que le cuirrassé puisse y entrer. Ce qu'il fit apres avoir eu confirmation de la mise en sécurité des abords. Une fois posé au sol, la priorité fut de débarquer le reste des troupes pour tout inspecter et sécuriser, ainsi que d'obtennir un rapport détaillé des troupes ayant exploré le tunnel. Apparement, les chasseurs ne pouvaient pas avoir repéré cette entrée car elle était recouverte de sable.
Les officiers étaient ravis car la mission est un succès. Ils vont avoir de bonnes nouvelles à annoncer à leur supérieur. Et il est toujours préférable d'avoir de bonnes nouvelles à annoncer à un Seigneur Sith.
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Mar 30 Jan 2018 - 19:02
L'académie Sith est un lieu qui demande beaucoup de droïdes d'entrainement. Avec l'arrivée de nouveaux Seigneurs Sith dans cette époque, cela est encore plus vrai. Malgré les réparations, il n'est pas rare d'en perdre cinq en une journée.
Des lors, il est facile et discret d'en détourner quelques uns pour un autre usage.

Petit à petit, prudemment cachés dans des caisses de matériel, le directeur de l'Académie pu en mettre cinquante dans son cuirassé, reprogrammés pour les premières opérations minières.

Trouver l'installation minière fut une chose, mais pouvoir remettre la structure en ordre de marche en est une autre. Il aura fallu une semaine pour commencer l'exploitation. Mais, lorsque l'on utilise une exploitation passée, sans surprise, on ne récupère que des roches sans intérêt.
Pourtant, il faut trouver quelque chose, car le but à terme est de pouvoir créer une colonie auto suffisante. Et, pour cela, il va falloir trouver des infrastructures de vie, et des fermes hydroponiques. Le cuirassé peut faire office de base pendant un moment, ayant un mois d'autonomie, mais à long terme cela ne suffira pas.

Une fois les premières structures en place, va se poser une question cruciale. Quel type de main d'oeuvre utiliser ? Juste des droïdes ? Des prisonniers ? ou des travailleurs libres ?
Chaque choix à ses avantages et ses inconvénients.

Enfin, apres avoir déplacé des tonnes de roche inutile, des pierres précieuses sont trouvées. Il aurait été simple d'aller ramasser celles qui sont visibles à même le sol, mais cela n'est pas le plus interessant pour le long terme. Il faudra tout de même le faire. Apres tout, la mise en place de toute cette opération va nécessiter toutes ces ressources.

Bien....maintenant, il faut trouver qui peut vendre des infrastructures.
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Lun 5 Fév 2018 - 15:41
Il avait fallu du temps avant de trouver à qui s'adresser. En effet, pour le moment, je souhaite rester discret et il est donc hors de question de se rapprocher des sociétés de constructions les plus fidèles à l'Empire, ou au contraire des sympathisants de l'alliance rebelle qui agiraient hâtivement sans savoir ce qui se prépare réellement.

Constructions Delvin, une entreprise spécialisée dans la construction de bâtiments préfabriqués. Ils fournissent diverses organisations, y compris l'Empire et l'Alliance Rebelle. Et leurs produits sont variés et peu coûteux. Casernes, centres de commandements, et même usines d'assemblage rudimentaires, cette société profite très bien de la guerre pour s'enrichir.

Les discussions vont bon train, après tout ils ont l'habitude de traiter avec diverses organisations. Cela implique donc également celles qui n'utilisent pas les monnaies habituelles. Je leur propose donc un accord d'échange contre des pierres précieuses et des cristaux. Apres tout, ce n'est pas ce qui va manquer, et j'ai besoin de structures pour accueillir les travailleurs : de quoi les loger, mais aussi de quoi les nourrir et les distraire.
L'accord se veut progressif, car la production actuelle ne permet pas de trouver suffisamment de pierres pour un ensemble complet de structures hébergeant plusieurs centaines de personnes.

La priorité est de ne plus avoir besoin du Cuirassé pour faire fonctionner l'exploitation, celui ci servant actuellement de source énergétique, d’entrepôt, et de lieu de vie. Il faut également réparer la plateforme tombée pour que les équipes de Delvin puissent venir chercher leur cargaison chaque fois plus grosse de pierres, et déposer leur cargaison chaque fois plus grosse d'équipements.

Les premiers échanges, discrétion oblige, se ferons sur le Single Strike, aux abords des locaux de Delvin. Tant pis pour les absences provisoires, elles sont courtes et il vaut mieux garder le secret sur cette colonie pour le moment.
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Ven 9 Fév 2018 - 9:31
Des pierres commencent à être découvertes au bout de quelques jours, ce qui est vraiment engageant et donne la motivation pour avancer les recherches.

Au bout de plusieurs jours maintenant, la colonie s'installe de mieux en mieux et une bonne organisation est en place et des pierres sont extraites assez souvent. Mais au bout de quelques jours,  de petites pannes touchent les machines. Des trous sont découverts dans les machines, obligeant l'exploitation à tourner au ralenti. Les recherches faites sur  deux jours, mettent la lumière sur des mites de roches. Ces dernières sont entrain de ronger le métal, obligeant les machines de se mettre à l'arrêt pour les déloger  et réparer le tout.

Une question se pose, d'où vienne ces bestioles affamés de métal?
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Mar 14 Aoû 2018 - 21:30
Cela fait maintenant plusieurs mois que la colonie s'installe tranquillement.
Il y a eu des moments de difficulté non négligeables, comme cette invasion de Mynocks qui ont fait de nombreuses victimes, ou des raids de bandits qui croyaient avoir affaire à de simples fermiers mais ont vite déchanté en découvrant une force armée présente sur place.

Les visites du directeur à l'origine de ce projet sont rares, et discrètes. Il n'est pas dans son intérêt que les gens sachent qu'un Sith est derrière ce qui est maintenant un petit village tranquille, dans lequel chacun peut profiter d'une liberté paisible, tant qu'il n'enfreint pas les règles et l'ordre public.
Car un Sith reste un Sith, même si il a mis en place un gouverneur, et tout écart de conduite, tout crime, est traité avec la plus grande sévérité par une justice expéditive.

Les habitants n'ont pas vraiment à se plaindre, mis à part cette sévérité. Car tout laisse à croire qu'il s'agit là d'une colonie neutre, loin de la rigidité de l'Empire. Ainsi, certains parvenus, pariah, et autres mercenaires, peuvent commencer ici une seconde vie, loin des jugements et de la réputation.

La plupart des habitants, bien entendu, travaillent dans les mines, mais de nombreux métiers sont requis pour faire vivre cette colonie : constructeurs, fermiers,.....c'est ainsi que la grande majorité du peuple n'a aucune conscience de travailler pour un Sith, ou même sait qu'un croiseur impérial se cache non loin de chez eux.

Jusque présent, ni l'Empire, ni les Rebelles ne semblent s’intéresser à Begeren.....
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