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Combien de nouvelles vies peuvent s'offrir à nous ?

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Jeu 4 Juil 2019 - 3:51

Nouveaux avenirs
Darth Lunariss

Je ne suis plus sur Varl.

Il faudrait être idiot pour ne pas s'en rendre compte, Varl est une planète aride et désolée, et ici la végétation est presque luxuriante. Les bâtiments se comptent sur une main, sur Varl. Ici, il y a... des ruines. Varl est inhabitée -si on excepte le conseil des Hutts- mais ici... Ca se cache, mais il y a des bêtes, assez imposantes. Pas très loin de moi. Si je fais le point... la situation pourrait être pire. Je ne sais pas où je suis, aucun moyen de communication, aucun moyen de déplacement et une menace imminente. Ca pourrait être pire, oui, car j'aurais pu avoir des ordres -et souvent, les Hutts devaient me freiner et m'ordonner de ne pas me battre- alors qu'ici... Aucun ordre. Aucune raison de ne pas m'amuser un peu. La menace imminente ? J'estime qu'il y a 5 créatures, en arc de cercle derrière moi. Ca fait du bruit dans les buissons, donc une taille... 1m50 ? Je vais bientôt être fixé, après m'avoir surveillé, ces créatures vont passer à l'attaque. C'est là le plus dur : attendre qu'elles se décident.

J'erre au hasard, et je dois dire que je ne comprend pas cet endroit. Il y a des bâtiments d'une taille impressionnante, mais en ruines. Ces bâtiments devaient s'élever assez hauts, mais tous se sont écroulés... ... Non... Il n'y a pas assez de débris. Des explosions ? Je marche depuis un bon moment, et c'est partout pareil. C'est toute une ville qui a été détruite, mais comment ? Et ça fait longtemps, car la Nature a repris ses droits. Par endroits, sur le sol, je devine les vestiges de routes. Il n'y a plus personne... Ce qui m'étonne, c'est que pratiquement toutes les civilisations reconstruisent leurs lieux de vie, mais ce n'est pas le cas ici... Il y a du y avoir un terrible cataclysme, est ce que tous les habitants ont été tués ? J'espère que non, et qu'il y a encore une civilisation présente sur cette planète, si je veux découvrir où je suis. C'est calme. Un peu trop calme, un peu trop brusquement... J'esquisse un sourire et je me concentre un instant. Il y a tant d'énergie ici, qu'il ne m'est pas difficile ni de la sentir ni de l'attirer. Un bruit de course derrière moi. C'est parti.

Je me retourne et tend la paume vers la créature qui me charge. Bipède, des griffes au bout des "bras", un nez démesuré, pas d'yeux ou trop petits pour que je les distingue, des crocs. Un prédateur, sans nul doute. Dommage pour cette créature, elle reçoit une Sphère en plein visage, qui explose bien entendu. Les autres créatures sortent des buissons... J'avais dit 5 ? Hem.. je dois manquer d'entrainement. Il y en a une bonne quinzaine. Et elles chargent. Et je cours. Pas question de les affronter au corps à corps sans connaître de quoi elles sont capables. Mais dans ma fuite, je sème plusieurs Sphères, les envoyant vers ces créatures. Même si je ne les atteint pas directement, les explosions au sol les font trébucher. Quoique... Ces créatures semblent stupides, certaines n'essayent pas d'esquiver. Mais je les blesse plus qu'autre chose. Ou est passé mon entrainement ? Je veille à maintenir une distance de sécurité, mais mes tirs sont trop imprécis, il me faut changer de tactique.

Je bondis par dessus un mur, la hauteur ne les arrêtera pas mais peut être les ralentira un peu. C'est au moment ou je suis à l'apogée de mon saut que je réalise deux choses... Ce mur n'est en réalité qu'une petite protection faite de panneaux fins posés les uns à coté des autres... Un bouclier qui cache l'intérieur d'un périmètre. Et dans cet intérieur, il y a un vaisseau et quelques personnes. Ce n'est que lorsque j'atterris que ces personnes -à vue de nez, 3 humains, un duro et un zabrak- s'aperçoivent de ma présence. Un humain sursaute tellement de surprise qu'il en chute par terre. Je fonce, non pas sur eux, mais au travers, droit vers le vaisseau. Et une fois que j'ai passé leur ligne, je fais volte face.
- Rakghouls !!
Bon, au moins je sais comment ces créatures se nomment.

Car oui, les rakghouls viennent de passer le mur... La surprise passée, l'équipage réagit et décide que je représente un danger moins grand que les rakghouls. Les rangs se serrent, les blasters se lèvent, les tirs fusent. Je ne suis pas en reste, il me suffit de tendre les doigts pour envoyer mon Rayon... A plusieurs, c'est plus efficace, le ménage est rapidement fait, sans pertes. Ou presque, le zabrak a une méchante entaille sur un bras. Je suis surpris par la suite : un des humains tire sur le zabrak pour le tuer. Etrange, je pensais qu'ils faisaient tous partie de l'équipage ? ou y a t-il une autre raison ? Je verrais cela plus tard, pour le moment j'ai un autre souci : les blasters se tournent vers moi.
- Toi tu lâches tes armes !
Je lève les mains, montrant que je ne tient rien...

Des questions me sont posées, des théories partent dans tous les sens... Ils parlent tous ensembles, c'est un peu navrant mais source d'informations appréciable. J'ai néanmoins besoin d'un temps d'adaptation, car le basic qu'ils parlent diffère de celui que je connais. Ils sont toutefois compréhensibles... Je finis par comprendre ce qu'ils font là. Ils voulaient capturer quelques uns de ces rakghouls mais ma venue a tout changé. Les rakghouls ont une sorte de poison dans leurs griffes, c'est pour cela que le zabrak a été tué, pour lui éviter des souffrances. Je trouve ça navrant, mais bref... Les informations essentielles, comme où je suis, tardent à venir. Visiblement, ils ne savent pas quoi faire de moi. Certains veulent m'abandonner mais l'humain qui les commande a l'air d'avoir une autre idée.
- Tu viens de nous coûter cher, alors tu vas rembourser. On connaît quelques esclavagistes qui nous paieront bien...

Je me laisse pousser vers le vaisseau, tout content... J'ai un moyen de transport, et un pilote. Les 4 autres ne me sont pas utiles, mais je préfère ne rien faire avant d'être à bord. En premier lieu, pour être sûr qu'ils ne fuiront pas en me laissant sur la planète. En second pour ne pas avoir à gérer des rakghouls et enfin, on utilise rarement des armes dans un endroit confiné. Tandis que mes armes, ce sont mes poings. Une fois la rampe remontée et le sas passé, je m'arrête pour leur faire face. C'est trop facile, ils m'ont entravé les mains qu'avec une simple corde. Je ne perds pas de temps à leur expliquer quoi que ce soit. Alors qu'il essaye de me pousser avec son blaster, je brise mes liens. Une main détourne le blaster, l'autre frappe le visage. La situation dégénère, mais l'étroitesse du couloir m'avantage, tout comme la faiblesse physique des humains. J'utilise ma queue comme un fouet, alors qu'elle était jusque là enroulée autour de ma taille comme si je portais une ceinture. Un élément de surprise dont j'aime faire usage... Le duro semble paniqué, il tremble tellement que son tir passe largement au dessus de moi. Je lui arrache l'arme des mains avant de la broyer sous ses yeux.

- C'est bien simple maintenant... Tu m'obéis, tu restes vivant. C'est valable pour tout le monde.
Ou presque, car je n'ai pas besoin des humains. Justement, le chef se relève et commence à faire le courageux. Je l'attrape par le col, le jette dans le couloir et tend deux doigts pour lui envoyer un Rayon en pleine tête. Mort avant d'avoir touché le sol... J'écrase ensuite les armes restantes.
- Rappelez vous bien de ça : je n'ai pas besoin d'arme, moi.On décolle tout de suite, on va sur Varl. Une fois arrivés, je vous laisserai partir.
Evidemment, rien ne prouve que je tiendrai parole... Mais je n'ai rien à faire de deux humains tremblants et d'un duro angoissé. Duro qui prend tout de même la parole, en bégayant.
- On.. on n'a pas assez... pour rallier Varl... directement. ... ... On.. on doit se ravitailler... Serroco... On peut aller à Serroco.

Serroco, ça ne me dit rien de particulier, je n'arrive donc pas à la situer sur une carte. Je m'approche du pilote, qui se recroqueville. Les duro sont connus pour être de très bons navigateurs, je pense donc qu'il dit vrai.
- Serroco. On n'y restera pas longtemps... Qu'attends tu pour décoller ?
Et tandis que le vaisseau s'envole, je visite la cuisine afin de me préparer de quoi manger.

Ensuite, j'interrogerai les humains, j'ai beaucoup de questions...

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Ven 5 Juil 2019 - 0:08



La rencontre avec Darth Maul s'était terminée tardivement et Lunariss avait donc chois de dormir dans le confort d'un hôtel. Pas que sa chambre sur le Constantine ne le soit pas, bien au contraire mais la route jusqu'au spatioport e les nombreux ascenseur à prendre la fatiguait d'avance après les discussions. Elle avait l'esprit fatigué et n'avait qu'une envie :  se glisser dans des draps frais et propres le plus vite possible.


PNJ Aloysius Kallig a écrit:
Combien de nouvelles vies peuvent s'offrir à nous ? Aloysius_kallig_avatar

Je sens une puissance étrange qui arrive. Il est temps que mon Apprentie passe à des choses plus sérieuses. Je quitte le corps de l'humain que j'occupais et me laisse aspirer jusqu'au Temple Noir. La Majestueuse tombe que mon ennemi à construite pour moi et que les Siths ont développé par la suite, nourrissant mon être de la puissance des autres Sith. Je flotte jusqu'à arriver là où je fus enterré après avoir échoué au Kaggath. L'endroit où je fus oublié de tous. Je ne peux pas rejoindre la Force. Peut-être un de mes apprentis arrivera-t'il à défaire ou affaiblir suffisamment les sceaux qui me maintienne dans cet état. Mais l'espoir n'est pas un sentiment sith. Je ne crois pas à cela. Je crois que ma présence à un but mais que la Force ne l'a pas encore révélée. Bref, je m'égare. De ma vie mortelle j'ai gardé des habitudes qui ne me sont plus utiles. Je m'assois et médite puis me connecte à mon Apprentie. Plus douée et moins décevante que ma descendante Darth Nox. Il s'agit de lui envoyer une vision d'un homme qui arrive, perdu, non formaté et peu formé. Je sens qu'il pourrait être un apprenti utile, une arme à utiliser dans les conflits à venir.


Le sommeil de Lunariss fut peuplé de rêves étranges. Des créatures verdâtres courraient. Tout était flou. Son esprit fatigué n'accrochait pas les images. Et des flashs stroboscopiques vrillaient son cerveau. Des rackgoules, un combat, des hommes qui combattent un rayon de lumière, un vaisseau, une fuite et la voix presque inaudible de son maître.

Au réveil, un mal de crâne carabiné tambouriné dans son lobe frontal. En grimaçant elle sortie du lit et appela le room service. Livraison petit déjeuner et médicament. Nue elle attendit patiemment qu'on vienne toquer à sa porte. En quelques pas légers effeluerant à peine les tapis, elle alla ouvrir. Une joli petite blonde entra dans son uniforme. Lunariss ferma la porte et la jeune femme s’aperçut de son absence de tenue et rougit instantanément. Elle s’apprêtait à parler quand la Sith s'approcha et écrasa ses lèvres de rose sur la bouche qu'elle entendait bien cueillir. Lâchant la bride à son pouvoir brûlant et sensuel, elle écrasa toute velléité de revendication et la femme répondit à son baiser tandis que son corps réagissait au pouvoir d'attraction de la sith. Lunariss souleva la jeune femme et l'entraina sur son lit. Elle allait lui offrir la meilleure partie de jambe en l'air de sa vie et plus jamais elle n'aurait d'amant égalant la belle sith. C'était cruel mais en même temps, elle aurait atteint le 7ème et tous les autres ciels. C'était un paiement largement suffisant que de donner un peu de sa vie à la Sith. Juste assez pour ôter la fatigue et le mal de crâne, éclaircir les nuages de ces rêves.

Repue, Lunariss buvait un thé sur la terrasse. Sa peau rougeoyait, ses yeux brillait et sa migraine était passé. L'employée dormait entre ses draps. Elle avait pris soin de lui laisser le souvenir du plaisir mais avait effacé sa présence. Elle termina son thé puis médita jusqu'à entrer en transe. Ce rêve, elle le sentait n'était pas banal. Elle parcourut les flash et réussit à percevoir deux choses :

- Trouve le, disait son Maître
- L'image du nom et de l'immatriculation du vaisseau.

- La prochaine fois Kallig, soit plus clair, maugréa-t'elle à son maître à des années lumière de là.

Elle s'habilla, enfila sa cape puis quitta les lieux. Elle traversa la cité et emprunta les multiples ascenseurs jusqu'à l'astroport où l'attendaient le Constantine et les informations. Peu patiente, elle utilisa ses dons naturels et la Force pour faire parler un opérateur. Cela lui prit un peu plus de temps qu'elle l'avait prévue. Elle finit par coincer un opérateur de la tour de contrôle à la pause café.

- L'Intrépide du Capitaine Bolleg. Oui on a r'çu une comm disant qu'ils quittaient Taris à destination de... Attendez... Euh... de... V'z'allez vraiment accepter un verre avec moi s'soir ?
- Bien sûr Dany, répondit la sith en mettant en avant sa poitrine généreuse et ses lèvres pulpeuse.
- Serroco. C'est ça ! Serroco qu'il a dit qu'ils allaient, dit-il comme s'il s'en souvenait juste.
- Merci Dany, et une petite récompense pour toi, dit-elle en capturant son regard de ses yeux jaunes.

La Sith effaça toute trace de cette conversation de l'esprit du pauvre tarisien et rejoignit le Constantine. Destination Serroco.



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Clarté de la vision : 17
Transe pour se souvenir d'éléments : 9
Trouver un opérateur pour les infos sur le vaisseau : 10
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Lun 8 Juil 2019 - 17:17

Nouveaux avenirs
Darth Lunariss

Un mode paralysant sur cette arme ?

L'humain assis devant moi blêmit un peu et acquiesce. Il me dit la vérité, bien sûr, mais si jamais je suspecte l'inverse, alors il aura droit à une magnifique baffe. Et depuis le début du voyage, ils s'en sont tous pris un certain nombre. Trop à leur goût, pas assez au mien. Le seul souci, c'est que j'examine des fragments d'une arme, tout simplement parce que j'ai eu l'idée saugrenue de les briser toutes. Bon, idée pas si saugrenue puisqu'ils auraient surement voulu les utiliser contre moi, à un moment ou un autre. C'est le problème des esclaves : soit ils ont accepté leur condition -il y en avait tellement dans le palais des Hutts- soit ils y sont forcés et se rebellent. L'équipage de ce vaisseau fait clairement partie de la seconde catégorie. Donc je dois être prêt à toute tentative de rébellion, y compris qu'ils essayent de me tuer. Je ne vais pas me plaindre, ça occupe pendant le voyage.

Nous sommes tous avertis lorsque Serroco est enfin en vue. On est tous devant l'accès du poste de pilotage pour profiter de la vue, le Duro au commandes, lorsque ce dernier propose avec hésitation :
- On devrait s'occuper chacun d'une partie du ravitaillement, ainsi nous gagnerons de temps. On pourrait être repartis d'ici 4 ou 5 heures...
Je hausse les épaules, j'ai l'habitude que les ravitaillements durent plusieurs heures, bien plus que ces 5 heures.
- A vous de voir, plus tôt nous arriverons à Varl, plus tôt vous serez libres.
Je les laisse discuter entre eux pour se répartir les tâches, mais au dernier moment je les empêche de partir. Je leur demande leurs crédits, je ne veux pas les voir disparaître. C'est évidement accompagné de râleries qu'ils me les remettent -bon, il a encore fallu un coup de poing bien placé pour qu'ils obtempèrent- et je ne leur laisse que ce dont ils auront besoin.

Une fois posé, ils quittent peu à peu le bord, et je fais de même. Je commence à errer dans les rues, à la recherche d'un point touristique. Pour ce que je veux vérifier, le meilleur moyen est d'aller dans un musée. Trouver un point touristique, c'est trouver le musée. Rien de plus facile... Une fois dans le musée principal, je cherche un bon historien, prétendant faire des recherches sur le chancelier Blotus. J'ai bien fini par trouver un vieux bothan, visiblement très amusé par ma demande. J'ai été beaucoup moins amusé lorsqu'il a parlé de Blotus... et des rares traces prouvant son existence, que peu d'historien croient que Blotus ait un jour réellement exister ! J'ai dû m’asseoir sous le coup, comment un chancelier que j'ai rencontré a t-il sombré dans l'oubli ? J'étais persuadé d'avoir simplement voyagé de Varl à Taris -par un procédé qui m'échappe encore- mais ce Bothan prétend que j'ai aussi voyagé dans le temps ? C'est impossible ! Je dois vraiment gagner Varl pour y voir plus clair. Selon ce Bothan, Blotus aurait vécut il y a 7000 ou 9000 ans. Bonjour la précision ! C'est du n'importe quoi... Le Conseil Hutt aurait ils pu monter une telle histoire pour me tester, encore ? Probable...

Je retourne vers le vaisseau, un peu énervé de la tournure des choses. A peine deux heures se sont écoulées depuis que j'ai débarqué, mais une autre surprise m'attend : le vaisseau n'est plus là. Le temps de trouver une personne pour me renseigner augmente ma colère...
- L'intrépide ? Celui du capitaine Bolleg ? Il a redécollé même pas 30 minutes après s'être posé.
- Sans ravitaillement ?
- Vous rigolez ? Ce vaisseau a une autonomie de plusieurs semaines, il peut aller loin.
Mon poing s'écrase contre une paroi, qui se plie. L'employé, voyant, cela, décide de reculer prudemment.  Je jure que ce vaisseau ne s'en tirera pas à si bon compte, que son équipage mourra. Un jour ou l'autre. J'attrape l'employé de l'astroport par la gorge, je lui demande comment se rendre sur Varl ou Nal Hutta. Il me désigne un comptoir où l'on peut réserver des vols entre différentes planètes. Mais une fois au guichet, je comprend que je n'ai pas assez de crédits pour payer le voyage. Ecoeurant... C'est la première fois que je suis en manque de crédits !

Cependant, pour moi, il n'est pas difficile de trouver de l'argent. En premier lieu, bien s'éloigner du quartier de l'astroport. En second, repérer les petites boutiques... puis demander tout leur argent. J'ai parfois regardé de vieux holo-vid -enfin, vieux, si j'ai voyagé dans le temps, c'était déjà ancien, alors maintenant je vous laisse imaginer- où cette pratique était appelée "hold-up". Je ne suis pas surpris que beaucoup s'exécutent, les autres ont besoin d'encouragements... Je laisse parler mes mains, j'évite quelques tirs de blasters, et je ne parie pas sur les chances de survie de certains récalcitrants. Mais bon, à la nuit tombée, j'ai de quoi prendre le ticket et j'embarque tout de suite. Je ne suis pas tout à fait calmé, ce transport ira lentement et fera plusieurs escales. J'aurai préféré soumettre un autre équipage, aller droit au but, mais le temps me manque. De plus, j'ai payé une première classe, ce qui me permet d'avoir accès à une bibliothèque bien remplie. De quoi approfondir mes recherches.

Selon le plan de vol, première escale à Koctar.

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Ven 12 Juil 2019 - 19:42



Le Constantine était un vaisseau utilisé par les douanes. C'était un vaisseau fait pour chasser et arraisonner les contrebandiers et l'Intrépide et son équipage tombait parfaitement dans cette catégorie. Ils n'avaient pas temps de retard que ça et les informations récupéré sur le vaisseau permirent de le retrouver alors qu'il quittait l'espace aérien de Serroco. Malheureusement pour lui, le Constantine disposait d'un rayon tracteur et de batterie de canons. Lunariss l'avait fait amélioré. Elle ne chercha d'ailleurs pas à faire dans la dentelle. Elle avait mal dormi et cette chasse lui mettait les nerfs en pelote. Ca avait intérêt à valoir le coup. Elle n'envoya pas même un message et fit actionner le rayon tracteur dès que la navette fut à porter. Elle regarda l'opération se faire puis rejoignit les hangars. Ses gens étaient déjà en train de dessouder la porte de l'Intrépide. Sa colère sourdait autour d'elle, un picotement désagréable. Orus à sa droite ressentait la colère de sa Maîtresse et il n'arrivait pas lui-même a absorber le trop plein, au contraire. Voir sa Dame dans cet état alimentait sa colère et sans qu'il s'en rende compte, alimentait la noirceur de Lady Lunariss. Elle s'impatientait, ça n'allait pas assez vite à son goût. Elle sortie alors son laser et le planta se découpant un passage. Alors qu'elle entrait des tirs de blasters fusèrent vers elle. Sans difficultés elle les renvoya. Sa colère flamboya.

- Comment osez-vous ! Cloportes !

La seigneur sith explosa. Des éclairs violets se mirent à pleuvoir tout autour d'elle. Une odeur de chair brûlée s'éleva tandis que la Sith laissait éclatait la Force autour d''elle, avançant telle une entité assoiffée de mort insensible aux derniers tirs de blaster. Elle arriva jusqu'à ce dernier survivant, l'attrapa par la gorge et posa ses lèvres sur les siennes. Dans un baiser, elle défit sa ceinture et le plaqua au sol. La sith le bu et bu littéralement sa vie, résorbant ses blessures tandis qu'elle ôtait son dernier souffle dans l'orgasme à son prisonnier alors que les éclairs explosèrent tout autour d'eux.

Orus qui n'avait pas osé entrer jusque là se permis de venir aider sa Dame, le danger maintenant écarté. Il posa les yeux sur le massacre et ne dit rien. C'était la première fois qu'il la voyait vraiment perdre le contrôle mais la marque qui les liait était maintenant trop profonde et trop souvent renouvelé pour qu'il en ressente autre chose qu'une punition méritée. Néanmoins il se dit que ça allait rendre compliqué a quête de sa Dame. Il escorta Lunariss à sa chambre et ordonna à ses hommes de faire parler la navette. Efficaces, le commando pourpre de la twi'lek trouva toute les informations souhaitées dans le navordinateur et bloc de données de bord du capitaine. Ils avaient été "pris en otage" par un homme puissant mais l'avait roulé et avait réussi à s'échapper en l'abandonnant sur Serroco. La description de l'homme était succinctes mais les informations satisferaient la sith qui se reposait. Orus avait pris la liberté de les faire atterrir sur la planète et lancer les recherches. Cela leur pris plus de temps qu'il ne l'aurait pensé pourtant une fois qu'ils eurent trouver sa piste, ils remontèrent la chaîne d'extorsion jusqu'au billet. Malheureusement, le transporteur était déjà parti. Les troopers avaient néanmoins récupérer le plan de vol.

Lunariss rappela à Orus qu'elle attendait plus d'efficacité de la part de ses hommes et qu'ils auraient dût être plus rapide à mettre la main sur le type. Au moins avait-elle son nom, laissé à l'enregistrement. Elle ordonna de mettre le cap sur Koctar et pour éviter de perdre à nouveau son contrôle, elle entraina Orus et une de ses demoiselle dans sa chambre.


Lorsqu'ils arrivèrent sur Koctar, le transporteur n'était pas encore reparti. Lunariss se plongea en méditation et se focalisa sur la Force puis elle se projeta, cherchant le casse-pied que son maître lui demandait de retrouver. Elle du forcer un peu mais le trouva assez aisément : son aura était dans le transporteur.

- Parfait.

Lunariss traversa le spatioport jusqu'au transporteur accompagné de ses troopers. Orus prit les opération en main sécurisant les accès et obtenant les autorisations pour monter à bord. La sith suivit la Force qu'elle tenait en laisse comme un chien qui pistait sa proie et cela la mena dans une bibliothèque. un homme se tenait là, la musculature impressionnante et une chevelure qui ferait pâlir de nombreux mannequins. Sans un mot elle tandis le bras vers lui pour l'étrangler avec la Force mais il avait un coup de taureau. Sa prise n'était pas stable et elle avait du mal. Elle aurait du choisir l'effet barbecue.


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Interception de l'Intrépide : 7
Interrogatoire de l'équipage : 20-1 + dark side
Fouille de l'Intrépide : 6
Enquête sur Serroco : 14
Rattrapage du transporteur avant Koctar : Echec
Transporteur présent sur Koctar : Réussite
Poursuite de Force : 9-2
Etranglement de Force : 18-2
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Sam 13 Juil 2019 - 11:45

Nouveaux avenirs
Darth Lunariss
La première classe n'est pas si agréable que cela, au final...

C'est inquiétant que les gens fassent autant de remarques, il faut croire que les standards ont évolué aussi, là il semble que parce que j'ai payé cher un billet de voyage, alors ma tenue vestimentaire doit être chère aussi, et que je dois être soumis à des comportements spécifiques... J'en ai rien à faire. Tout ce que je demande à une tenue, c'est qu'elle ne me gêne pas dans mes mouvements de combat. Ils disent que je dois couvrir tout mon corps, mais j'ai bien noté le regard intéressé de plusieurs demoiselles. Et dames, où le regard exaspéré de leur compagnon m'a plus amusé qu'autre chose. J'ai voulu profiter de leur salle de sport... Quelle déception. Soit ils sont extrêmement faibles, soit ils refusent de faire le moindre effort. J'ai brisé plusieurs machines en une seule séance de sport. Du coup le personnel ne veut plus que j'y entre. Je suis aussi déçu des repas, ce que l'on me sert suffit tout juste à mon corps, ce n'est pas avec ces minis portions que j'aurai des réserves pour combattre. Je n'ai pas trouvé d'endroit assez large ni assez résistant pour m’entraîner sérieusement, il va falloir que je m'y mette rapidement. L'épisode avec les rakghouls ne m'avait pas inquiété, mais je me demande si je n'ai pas perdu de la puissance en arrivant ici.

Bon, le seul avantage de cette 'Première classe' est ce grand centre de loisirs avec la bibliothèque. Là, j'y ait passé des jours entiers, à dévorer tout ce qui concernait l'Histoire. Je dois avouer que je n'ai pas trop apprécié ce que je lisais... Je n'avais cru qu'à moitié ce bothan sur Serroco, mais là, je dois bien me rendre à l'évidence : j'ai vraiment voyagé dans le temps. Déterminer combien de temps n'a pas été facile, les indices étaient si minces, et le résultat à peine concevable. Environ 8000 ans. 8 millénaires, inutile d'essayer d'être plus précis. A peine croyable. Avec une question qui me met mal à l'aise : est ce fini ou vais-je encore voyager ? J'étudie les avancées technologiques, pour le moment j'apprécie que les déplacements entre les systèmes planétaires se fassent bien plus rapidement que de.. ben que de mon temps. Même si je ne lève pas la tête à chaque personne qui passe, je sais qui se trouve autour de moi, par habitude je reste aux aguets, surtout depuis que je suis dans ce monde inconnu, ou presque. J'ai un sourire amusé lorsqu'un léger frisson me parcourt, un danger s'approche de moi.

Et presque immédiatement, je sens une main sur mon cou. Mais il n'y a personne assez proche de moi pour m'étrangler. Mon cou est libéré dans la seconde suivante, sans que je n'ai eu le moindre mal. Tranquillement, je repose le livre que je tenais sur l'étagère, tout en regardant autour de moi. Les yeux se posent sur une twi'leck rouge, qui a la main tendue vers moi. Elle a vraiment essayé de m'étrangler à distance ? Avec sa toute petite main ?
- Ma petite, tu n'aurais pas dû essayer... On ne m'attaque pas impunément !
Je n'ai pas terminé ma phrase que je tend une paume vers elle, une sphère d'énergie s'envole et frappe... la porte derrière la twi'leck. L'explosion résonne dans la grande pièce, et si le mur n'est pas trop abîmé -tout est en métal dans ce vaisseau, dommage- il y a un peu de poussière et de fumée. Je ne lui laisse pas le temps de regarder derrière elle, je franchis les quelques mètres qui nous séparent d'un bond, le poing armé et prêt à frapper. J'abats mon poing près d'elle, elle a eu le réflexe de reculer. J’enchaîne avec un coup de pied circulaire en visant les épaules mais je passe largement au dessus. Bon, je n'y suis pas allé à fond, mais je n'ai plus de doutes, je manque cruellement d'entrainement, là. Trois attaques et aucune touche, je n'ai jamais été si maladroit.

Je fais un bond en arrière, il est temps de changer de technique et de tester cette twi'leck.

- On va jouer...

De nouvelles sphères apparaissent dans mes mains mais je ne les lance pas sur elle. Je les lance autour d'elle, et j'en lance plusieurs, très rapidement, détruisant le mobilier autour, jusqu'à ce que poussière et fumée forment un écran tout autour de la twi'leck. Je me déplace ensuite en tournant autour d'elle.
- Si tu me disais pourquoi tu m'as si vainement attaqué ? La nuit dernière, j'ai partagé le lit d'une twi'leck, es tu venue la venger ? Ou est ce par dépit que je ne t'ai pas choisie ?
Des paroles à première vue peu utiles, mais j'ai remarqué que ce genre de propos énerve souvent les gens. Vas y, énerve toi, petit twi'leck... Je stoppe et me tourne vers elle, les poignets croisés devant moi. Je déploie ma bulle de protection... Que va t-elle utiliser ? Ses poings, un blaster, une autre arme ?

Rien ne passe mon écran de protection.

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Mer 24 Juil 2019 - 23:31



Le tas de muscle envoie un sphère d'énergie qui passe largement loin de la twi'lek. Un rictus se dessine sur les lèvres de la dame sith tandis qu'il se porte au contact, frappant comme un taureau. La technique est bonne, il est rapide et pourrait être efficace s'il utilisait correctement sa connexion à la Force. S'appuyant sur sa connexion à la Force, Lunariss utilisa des déplacements rapides et précis mêlant les styles Ataru et Makashi. Par précaution, elle avait empoigné son sabre mais ne parait qu'avec la garde. Le jeune homme se fatigua avant elle et reprit une distance de sécurité avant de se mettre à détruire le mobilier avec de jolies sphères cinétiques. Elle avait lu des information sur cette transformation des éclairs mais ne l'avait jamais vu. La poussière s'élève. Lunariss, dont les doigts sont déjà crispés sur la garde de son sabre, ferme les yeux et inspire. Elle le fait tout autant pour garder son calme face à ce jeune coq que pour ressentir ses déplacements. Il tourne en rond autour d'elle pour l'intimité. Cela à le don de l'agacer. Se prendrait-il pour son égal ?Elle percoit la fluctuation de Force et l'établissement du bouclier tandis qu'il parle. Ce criquet ose l'insulter ! Tout à coup elle lève sa main libre et projette un bel éclair violet crépitant qui vient s'écraser sur le bouclier de Force. L éclair court tout autour du bouclier et l'égratigne à peine. La sith commence à perdre le contrôle, son pouvoir se met à goûter autour d'elle, violent, haineux. Il n'a plus ce goût habituel de sensualité et de plaisir. S’apprêtant à l'écraser verbalement, y mettant sa frustration, sa colère et son dégoût, elle rouvre les yeux. Ils brillent d'une lumière or extrêmement prononcée.

Soudain, une lumière blanche explosa devant la Sith. Éblouissante, mortelle, divine. Elle frappa de plein fouet le bouclier qui absorba une partie de la puissance et vint lécher le corps de l'homme. Une brûlure intense le parcourt, des cloques viennent parsemer sa peau. Ses vêtements sont brûlés et tombent en lambeaux au sol mais du coup ce qu'il y-avait sous la ceinture est mieux préservé. Ses cheveux sont un peu plus que roussis et ses cils, sourcils et poils sont pour la plupart brûlés sur la partie qui a pris la lumière.

Lunariss est la la première surprise par cette émanation e sa colère et de sa frustration. Elle les a senties, elles se sont nourries mutuellement et tandis que d'habitude elle utilise ses mains pour faire jaillir sa puissance, le côté obscur a utilisé son regard comme une ouverture et s'est élancé à l'assaut une fois libérée. Quelle délicieuse sensation que d'avoir accédé à une nouvelle connaissance tout en rappelant sa place à cet inférieur. Lunariss est grisée par la sensation. Elle la savoure , les frissons qui parcourent son corps sensuel. Inconsciemment elle se mordille les lèvres et caresse un de ses lekkus. Puis elle se rappelle de son blessé et le regarde à nouveau, de son regard mordoré mais plus mortel.

- Je suis la Dame noire Lunariss. Tu dois apprendre à respecter tes supérieurs.

De sa démarche sensuelle, elle couvre la distance entre elle et l'homme qu'elle a qui elle a rappelé sa place. Elle remarque à ce moment là, un petit air satisfait dans le regard, qu'il est nu. Nu, brûlé mais rien qu'une séance avec elle pourrait restaurer.

- Tu t'es bien battu, je te laisse donc la vie. Tu maîtrises déjà bien la Force mais je sens en toi une puissance qui n'attend que de s'épanouir. Je vais t'apprendre.

La twi'lek s’arrête à quelques centimètres de son nouvel apprenti. Elle attira son pouvoir sensuel et déposa un baiser sur les lèvres de l'homme dont le visage cessa d’irradier la douleur et commença à redevenir normal.  Elle suit ses muscles du doigts sans toucher la peau. Elle recule un air malicieux et coquin.

- Viens, je vais te soigner.

Elle le mène jusqu'au Constantine, jusqu'à son bureau. Un endroit regorgeant de datapad, datacron, holocron et autres artefacts du côté obscurs. Un lieu avec des banquettes confortables, des coussins et des holo-projecteurs suggestifs. La sith fait quérir deux membres de son équipage. Elle aura besoin de leur essence vitale pour le soigner mais n'a pas l'intention de les tuer, après tout, ils sont siens et elle prend soin de ce qui lui appartient. La sith au corps sensuel s'approche à nouveau du jeune homme. Elle lui tourne autour de sa démarche sensuel et incitatrice. Elle remarque qu'il a un appendice étrange, une queue bizarre dans son dos. Son esprit s'échappe vers tout ce qu'on pourrait faire avec.

- Alors cher ami, que préfères-tu, la manière clinique ou la manière délicieuse, soupira-t'elle à son oreille avant d'aller s'asseoir sur une banquette en offrant sa chute de rein parfaite au regard du jeune homme.


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Éclairs pour détruire le bouclier : 18-2
Perte de contrôle ? : 12-1
Vision mortelle : 12-2
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Anonymous
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Lun 2 Sep 2019 - 22:14

Nouveaux avenirs
Darth Lunariss
Cette twi'leck est totalement folle...

Elle vient m'attaquer, et 10 minutes plus tard, elle m'embrasse. Bon, d'accord, ce baiser m'a revigoré, mais la transition est plutôt étrange. Si je dois reconnaitre une chose, c'est qu'elle est puissante. Bien plus que moi, cela ne fait aucun doute. Bien plus que toutes les créatures que j'ai croisé jusque là. Enfin une personne digne que je lui porte un semblant d'intérêt. Le combat a été rapide, car elle a utilisé une technique des plus redoutable, au moment précis où j'ai baissé mon bouclier pour contre attaquer. Une telle synchronisation ne peut être du hasard, mais bien l'habitude d'une grande guerrière. Par contre, se prétendre une supérieure... aucune femelle ne reste longtemps la supérieure d'un guerrier. Elle veut m'apprendre... partager son secret de cette puissance ? Sur le coup, j'ai bien envie de rire... Cependant, une fois que je connaîtrai ses secrets de combat, je n'aurai plus besoin d'elle. Et oui, elle a raison sur un petit point, j'ai besoin de soins. Cette époque semble d'un coup plus intéressante.

Je me relève doucement, tout mon corps est brûlé, mes vêtements en lambeaux. Mon fouet claque dans l'air avant de se remettre autour de ma taille.
- Je n'ai aucune idée de ce que tu appelles Force, mais peut être auras tu quelques informations à me fournir sur cette époque...
Dont le secret de cette puissante attaque qui m'a stoppé net. Je la suit tranquillement, ignorant les regards étonnés des passants. Alors que nous quittons le vaisseau, un des responsables nous rattrape et commence à piailler sur les dégâts que nous avons causés. Je lui dit une fois de se taire, mais il continue... Sa tête finit par disparaître dans une de mes sphères d'énergie. Le reste du trajet est plus calme, et je hausse un sourcil en voyant l'imposant vaisseau de ma twi'leck.
- Pas mal la carrosserie...
Visiblement, elle dispose d'un équipage conséquent, dont tous lui témoignent un profond respect.

La suite où nous finissons par arriver contient beaucoup d'objets étranges, et une mine de connaissances dont je vais profiter. Que ce soit son désir ou pas. Et à propos de désir, voila que ma twi'leck prend une pose des plus attractives, inutile de se demander ce qu'elle désire. Je la rejoins sans me presser.

Explorons toutes les possibilités avec cette étrange partenaire...

© By A-Lice sur Never-Utopia

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