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| | J'avais traqué le signal jusqu'à ce qu'il devienne intelligible. Émis d'une planète sur laquelle je n'étais encore jamais allée, il disait : - Citation :
- urgent - agent en danger - messager - cantina - troïda
Le signal devenait plus clair à mesure que ma navette avançait dans les couloirs de l'hyper-espace. Mes blessures physiques avaient pour la plupart guéries. Seul le laser qui m'avait touché au flan m'avait réellement blessé et cette dernière mettait plus de temps à cicatriser, d'autant plus que je manquais de tout. La navette n'était pas équipée pour de long voyage et n'avait pas été ré-approvisionné. Je n'avais plus de réserves de nourriture depuis 24H et il me restait de l'eau pour 48 de plus. Je savais qu'un corps pouvait vivre sans nourriture pendant plus de 3 semaines mais l'eau était vitale. avec un peu de chance, je pourrais aider ce rebelle et il me guiderait auprès de ses maîtres. Alors que j'approchais, je décidais de poser la navette dans un endroit isolé. L'avantage de Balmorra,c'était qu'en dehors des zones manufacturées de la Troïda, il y-avait de grande zone agricoles entre les collines. Je n'étais pas venue ici mais j'avais étudié la planète dans la bibliothèque du Temple. j'entrais dans l’atmosphère et retirais le pilotage automatique, reprenant la navigation. J'essayais de me poser sur une distance que je pourrais couvrir. la plaine que j'avais repéré n'avait qu'une entrée. Il faudrait donc que je trouve mon futur indic rapidement. Je sortis de la navette, la route à faire s'étendant devant moi. Après une bonne demi journée de marche, la fin d'après midi approchant, j'entrais dans le secteur de la Troïda. Des droïdes patrouillaient le secteur de même que quelques soldats impériaux. Ces derniers avaient l'air tendu, comme si quelque chose clochait. J'essayais de paraître le plus naturel possible. Une arrestation me vaudrait probablement la mort. j'avais suffisamment capté d'informations sur l'holonet pour savoir qu'un jedi avéré avait une durée de vie assez courte ces derniers temps. Faisant comme si de rien n'était je fouillais les façades du regard cherchant la cantina. Il aurait été mal avisé de ma part de demander mon chemin, me pointant seule du doigt comme étrangère. Déjà que je protégeais ma tenue abîmée de la vue de tous avec ma vieille cape, je ne souhaitais pas éveiller plus de soupçon. A force de tourner dans les rues, je finis par tomber sur la cantina. Un bâtiment sombre avec un néon clignotant et grésillant. J'inspirais longuement puis pénétrait. Un vieux lecteur faisait tourner des tubes à la mode, marches impériales et autres chansons de cantina. La lumière était tamisée et la clientèle clairsemée. Je m'approchais du comptoir et m'assis sur un tabouret. Derrière le barman, un miroir me permettait d'observer la salle en toute discrétion. Je commandais une bière locale au goût probablement douteux mais dans laquelle je n'avais pas l'intention de tremper souvent mes lèvres. Mes sens aux aguets, j'attendais et observais. Je refusais poliment quelques avances, discutait brièvement avec des clients, donnant l'air d'en être. Au bout de deux heures, après que le soleil se soit couché. Un homme entra. Ses mouvements étaient fluide, un sourire avenant. si l'on ne cherchait pas un fugitif, on ne s'en rendrait pas compte mais ses yeux accrochaient tous les détails et sa tenue de civil camouflait au moins une arme. Il s'approcha du comptoir, commanda une bière et alla prendre place dans un des coins les plus sombres. J'avais envie de le rejoindre mais il devait être sur ses gardes tout comme moi. j'avais décidé d'attendre un peu, histoire de l'observer. j'avais comme cette intuition qu'il était celui que je cherchais. | Invité Sam 13 Mai 2017 - 18:20 | | | | Une permission, enfin un moment de repos et de liberté. C'était quelque chose que je n'avais pas eus l'occasion d'obtenir depuis bien longtemps maintenant et c'est pour cela que je fus vraiment contente de souffler et de filer avec mes amis sur la planète la plus proche du vaisseau où nous étions.
Apparemment, nous étions non loin de Balmorra, un petit coin bien calme, perdue au milieu des champs et des prairies. Un petit écrin de verdure parfait pour se détendre entre amis. Quelques heures de vols plus tard, la navette nous déposa directement à quelques pas de la Troïda. La journée touchait déjà à sa fin, mais ce n'était pas grave, nous avions la fin de journée, la soirée et le lendemain de libre, donc de quoi avoir le temps de s'occuper.
Chacun partie dans différentes directions, alors que moi je pris le chemin du marché, dans le but de trouver de nouveaux vêtements civils, car ces derniers commençaient un peu à se faire trop user.
A la tombée de la nuit et ma bourse délesté de quelques crédits, j'avais trouvé un nouveau blouson de cuir noir, une paire de lunette de pilotage, ainsi que deux pantalons de toiles beige, de quoi faire l'affaire jusqu'à la prochaine ville plus luxueuse.
Je rejoignis les garçons à la cantina la plus proche pour prendre un bon repas bien mérité, enfin pour ma part, j'avais déjà grignoté des produits locaux sur le marché, donc je n'avais envie que d'une chose: un bonne bouteille d'alcool bien forte.
Me dirigeant vers le comptoir, je commandais pour tout le monde différentes boissons locales au goûts et odeurs plus diverses les unes que les autres. Pendant que les garçons commençaient une partie de cartes avec quelques voyageurs, je m'adossais au comptoir tout en buvant tranquillement ma bière, je regardais les gens aller et venir dans la cantina, ne prêtant pas réellement attention à ce qui m'entourais, les garçons mettant déjà assez d'ambiance comme ça.
A la place, j'écoutais la musique passer en bruit de fond, attend mes commandes qui semblaient traîner quelques peux. Un homme entra, pris une bière et sembla ensuite vouloir se fondre dans le décors, comme si les ténèbres pourraient l'engloutir, ce qui me fis tiquer quelque peu. Je l'observais un instant, avant de prendre le plateau que le serveur me tendis avec les boissons et alla le poser sur la table des garçons tout en observant la partie de carte qui se déroulait en ce moment même et dont la mise étaient vraiment intéressante. De temps à autre, je jetais un coup d’œil à l'homme qui tentait de se cacher, avant de replonger mon regard sur la partie. | Invité Lun 15 Mai 2017 - 9:11 | | | | La Cantina se remplissait à mesure que la soirée avancait. L'homme restait seul et je notais qu'il touchait à sa boisson exactement comme je le faisais, c'est à dire pour donner le change. Le temps passait et rien ne bougeait. Je décidais d'un plan pour l'aborder. Les toilettes n'étaient pas loin et je devrais immanquablement passer à sa table pour y accéder. Le plan était simple. Je me levais, faisant mine de tituber un peu. Après tout j'étais là depuis quelques heures. J'avançais parmi les tables et les clients. Comme si la Force jouait pour moi un client se leva brusquement au moment de mon passage et me percuta. Je tombais droit sur l'homme. Ce dernier avait des réflexes, ce n'était pas le paysan pour lequel il se faisait passer. Il m’attrapa vivement. Je lui glissais à l'oreille :
- Dans la rue de derrière dans 15 minutes.
Je sentis son souffle s’accélérer puis il me redressa. Affichant un air contrit et gênée je dis tout haut :
- Merci m'sieur. désolée.
Et je filais aux toilettes. Mon cœur battait à 100 à l'heure. J'avais besoin de reprendre ma sérénité. Je m'enfermais dans une cabine et inspirais doucement. Je ressortis. Il étais parti. J'espérais vraiment qu'il serait là où je l'attendrais. Je retournais au comptoir et dit au barman :
- J'crois qu'la nuit est finie pour moi.
Je lui donnais les crédits de ma consommation et me dirigeais vers la sortie, toujours de mon soi-disant pas titubant. Je quittais l'établissement. L'air se fit frais autour de moi et je frissonnais. mes yeux se posèrent alentours, alerte. D'un pas rapide, je tournais au coin de la rue, passais les poubelles et me retrouvais dans une ruelle sombre. Une ampoule mourait dans un grésillement. Je me tapis dans la zone d'ombre, attendant mon homme. | Invité Lun 15 Mai 2017 - 15:37 | | | | J'observais les garçons s'amuser tout en finissant ma bière, cependant je remarquais du coin de l'oeil une agitation étrange, comme s'il y avait une fine tension dans l'air.
Mes coéquipiers étaient trop occupé pour remarquer quelque chose, ce qui me fis tiquer quelques peux était les mouvements vifs de l'homme de l'ombre face à une femme. Cela m'intrigua quelques peux; Je posais mon verre sur la table, puis attendis quelques secondes avant de suivre l'homme qui sortait.
La tension qui habitait son corps était étrange pour un homme des champs et cela me fis comprendre alors qu'il n'était pas ce qu'il semblait être. Me plaçant dans l'ombre, j'attendis simplement que l'homme face quelque chose.
Au bout de quelques minutes, il fut rejoins par une femme qui semblait être elle aussi perturbé, c'est pour cela que je croisais les bras, tout en tendant l'oreille pour savoir ce qu'ils allaient se dire. Leur comportement étaient trop étrange pour paraître être de simple paysans du coin, donc soit des contrebandiers, soit autre chose et c'est pour cela que j'attendis la suite tapis dans l'ombre
Au fond de moi, j'espérais réellement avoir l'occasion de faire mouche et de trouver des informations intéressante à offrir à mon retour du Chimaera et peut être un ou des prisonniers. Au quel cas, j'informerais mes coéquipiers de la situation | Invité Mar 16 Mai 2017 - 10:16 | | | | Un craquement se fit entendre et je distinguais la silhouette du rebelle qui s'approchait. Il avait la main dans la poche et cette dernière formait un angle bizarre. Je ne doutais pas qu'il tienne son blaster et que je sois en joue. J'espérais vraiment qu'il ne tirerait pas mais bon j'espérais avoir de bons arguments sans avoir besoin d'en recourir à la Force et à la violence. Bien sûr mon sabre était contre ma cuisse sous ma cape mais je préférais éviter d'utiliser tout ce qui pourrait me marquer comme un jedi, au moins tant que je ne serais pas hors de cette planète et si possible arrivée chez les Rebelles. je me relevais, montrant mes mains.
- J'ai capté votre message.
Il souleva un sourcil.
- Je crois que vous avez besoin d'aide pour vous partir d'ici.
Il semblait attendre quelque chose. Et je savais que je ne pourrais pas le lui donner. je n'étais pas encore dans son camps. Ils avaient probablement des codes ou des signes de reconnaissance.
- Je ne connais pas les codes de la rébellion. Je suis en fuite depuis l'Ordre 66, je la cherche.
Mon sixième sens me fit frissonner. Il avait dû armer le blaster.
- Écoutez, j'ai une navette. Je veux bien tout vous raconter mais pas ici.
Je ne me sentais pas en sécurité et pas à cause du contrebandier en face de moi. un pressentiment.
- Je vous en prie, des Impériaux pourraient nous tomber dessus à tout moment.
Ma voix restait calme mais l'urgence qui tiquait dans ma tête pouvait se ressentir. Je baissais les bras et dit :
- C'est à vous de choisir : soit je repars et vous restez sur cette planète en espérant que quelqu'un d'autre capte votre signal et que ce ne soit pas l'ennemi, soit vous repartez avec moi et on rejoint la rébellion ensemble.
Il sembla réfléchir un instant et sortit sa main de sa poche.
- OK on fait ça. Je dois récupérer un truc avant de décoller.
Je hochais la tête.
- Rendez-vous à la sortie est de la ville dan 30 minutes.
Il hocha la tête à son tour. | Invité Mar 16 Mai 2017 - 11:06 | | | | J'écoutais les deux inconnus discuter, trouvant leur dialogue vraiment des plus étranges Ce que je captais me mis cependant la puce à l'oreille. En effet il parlait de la rébellion, ce qui me fis comprendre que ces deux là ou au moins l'homme avait un lien avec la rébellion.
Je pris le temps d'envoyer un message sur le biper d'un de mes collègues, tout en réfléchissant rapidement à la situation. J'étais seule et il était deux, mais les laisser fuir serait vraiment stupide.
Prenant mes deux blasters dans chacune de mes mains, je sortie de ma cachette et mis en joug les deux étrangers
On ne bouge plus, rebelle Vous êtes en état d'arrestation tout les deux
Il me fallait gagner le plus de temps possible pour que les renforts arrivent et que j'arrive à m'en sortir dans trop de casse, mais cela était une autre paire de manche étant donné la faiblesse des forces en présence | Invité Mar 16 Mai 2017 - 17:33 | | | | Alors que nous nous apprêtions à nous séparer. Un bruit derrière nous et une voix métallique, mécanique. Je me retourne. Une jeune Twi'lek nous braque avec ne paire de blaster. Je soupire. L'homme lâche un juron et me dit :
- Traîtresse ! - Vraiment. Elle nous a appelé rebelles tous les deux et j'ai un blaster braqué sur moi aussi...
Se renfrognant, il leva les mains. C'est ce qu'il y-a de mieux à faire pour lui. Dans la situation, elle aurait tôt fait de lui tirer dessus avant même que sa main rejoigne son blaster dans sa poche. Nullement effrayée, je souris à la soldat, car à sa manière de se tenir, elle ne pouvait pas être autre chose. Elle n'avait ps cette allure qu'ont les contrebandiers ou les chasseurs de primes même en civil.
- Mademoiselle. Nous sommes deux et vous seule, même mieux armée, nous sommes plus nombreux.
C'est ce moment que choisi ma blessure pour se réveiller et je ne pus retenir une grimace de douleur. C'était vraiment une situation pourrie. Je ne voulais pas utiliser la Force et si je sortais mon sabre je me marquerais tout autant que si l'utilisais. Je n'avais pas d'arme à feu, il ne me restait que les mots, mon arme favorite habituellement mais pas vraiment dans ce genre de situation...
- Écoutez, je vous propose un marché : vous baissez vos armes et nous partons chacun dans une autre direction et personne ne sera blessé.
C'est alors que le rebelle signala :
- Ca sert à rien d'parler, elle gagne du temps parce qu'elle sait qu'à deux contre un même si elle en descend un, l'autre lui fera la peau à son tour.
Je n'avais pas du tout réfléchis à ça, preuve que ce genre de situation ne m'étais pas du tout habituelle. Et il avait probablement raison en plus. A deux contre un on avait l'avantage. A une patrouille contre deux, nous serions à égalité mais je devrais me dévoiler. Je dit à la twi'lek :
- Laissez nous partir et il n'y-aura ni mort ni blessé, continuez dans votre idée et nous devrons forcer notre chemin à travers vous.
J'espérais vraiment qu'elle se décalerait. Je n'aimais pas tuer même si mes mains étaient souillées du sang des séparatistes. Je commençais à marcher vers elle, lentement, aux aguets. | Invité Mar 16 Mai 2017 - 22:34 | | | | | Invité Mer 17 Mai 2017 - 9:22 | | | | Le membre 'Calista' a effectué l'action suivante : dé
'Dé de combat' : 1 | La Force Mer 17 Mai 2017 - 9:22 | | | | | Invité Mer 17 Mai 2017 - 13:22 | | | | Le membre 'Maât-Atlane' a effectué l'action suivante : dé
'Dé de combat' : 13 | La Force Mer 17 Mai 2017 - 13:22 | | | | | Invité Mer 17 Mai 2017 - 13:23 | | | | Le membre 'Maât-Atlane' a effectué l'action suivante : dé
'Dé de combat' : 13 | La Force Mer 17 Mai 2017 - 13:23 | | | | L'homme sembla plus raisonnable que la femme, il préféra se rendre plutôt que de mourir, sage décision à prendre et accessoirement parfait pour moi étant donne que je comptais bien récolter le plus d'informations possible et on fait des prisonniers. J'avais pianoté rapidement des phrases sur mon ordinateur pour qu'il parle pour moi et éviter de perdre l'une des deux cibles
On ne bouge pas et on se tait tout les deux, c'est clair?
Je fis feu à leur pied pour leur faire comprendre que c'est moi qui dominait la situation, d'autant plus qu'elle ne semblait pas aller bien du tout, ce qui était vraiment un vrai coup de chance pour moi. Ayant pris le temps d'informer les garçons de part mon biper de la situation, je savais parfaitement ce qu'il en était
Je ne fais pas de marché avec la vermine rebelles
Il n'était pas question de les laisser passer, d'autant plus que es tirs avaient du être entendus, donc la garnison ne tarderait pas à venir rapidement. C'était pratique d'avoir pensé à configurer mon mini ordinateur de poche, pour qu'il retranscrive mes paroles rapidement, cela m'éviterais de perdre du temps.
Elle semblait vraiment têtue, mais je pouvais l'être tout autant. Je tirais un second coup de feu, droit sur le rebelle cet fois ci et le regarder s'écrouler à terre gravement blessé, puis posa mon regard noir sur la femme, alors qu'une troupe de soldat vinrent nous rejoindre alerté par les bruits de coup de feux.
Accrochant un blaster à ma ceinture, tout en gardant en joug la rebelle, je pianotais de nouvelle phrase.
Rend toi, tu es terminé, en plus d'être blessé, vous êtes tout les deux cernés et ton ami n'est pas loin de trépasser sans les soins adéquates | Invité Mer 17 Mai 2017 - 18:50 | | | | jet le Maât jet du rebelle | Invité Jeu 18 Mai 2017 - 14:08 | | | | Le membre 'Maât-Atlane' a effectué l'action suivante : dé
#1 'Dé de combat' : 17
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#2 'Dé de combat' : 14 | La Force Jeu 18 Mai 2017 - 14:08 | | | | | Invité Jeu 18 Mai 2017 - 14:59 | | | | Le membre 'Calista' a effectué l'action suivante : dé
'Dé de combat' : 18 | La Force Jeu 18 Mai 2017 - 14:59 | | | | Alors que je m'avance, un tir de sommation fait exploser le bitume à nos pieds. Elle est déterminée. Nous aussi. J'ai senti le rebelle se mettre en mouvement à ma suite.
- Nous ne sommes...
Je n'ai pas le temps de terminer ma réponse qu'un deuxième éclair fuse du second canon. Comme au ralenti je vois le tir passer au dessus de mon épaule et percuter l'épaule de mon compagnon. Le temps reprend son cour et il se retrouve projeté contre un mur. La blessure a loupé le cœur de peu mais il ne s'en sortira pas sans des soins rapides. Mon regard violine se tourne vers la Twi'lek et je lève le bras gauche vers elle :
- La violence gratuite. C'est donc ça votre Empire.
La Force s'écoule de mon bras vers la soldate et s'enroule autour d'elle, la figeant dans sa position. Je sens que ma stase est faible ma blessure m'empêche d'en appeler à la Force à mon plein potentiel. Mais ce n'est pas grave ce n'est pas ce qui m'inquiète le plus. Je cours au chevet du rebelle en dégainant mon sabre laser. La lueur violette tranche vivement dans la pénombre de la ruelle. Sans un regard pour la twi'lek et priant la Force que la stase tienne. Je pose ma main sur la blessure du rebelle :
- Tenez bon je vous en prie.
L'homme me regarde avec un autre air. De la surprise, de l'espoir et de la douleur. J'entonne un chant et une aura dorée entoure ma main et s'écoule dans sa blessure. Un élancement dans mon flan me fait perdre ma concentration et la lueur s'éteint.
- Il faut partir.
J'aide le rebelle à se relever. Il n'est plus mourant mais il n'est pas en forme non plus. je dis à l'impériale :
- je ne veux pas vous faire de mal, laissez-nous partir. | Invité Ven 19 Mai 2017 - 9:43 | | | | Pas question de laisser ces deux rebelles fuir, tant pis pour les blessures, ou si l'autre rendait l'âme. J'avais pris l'habitude de toujours faire attention à mon environnement, et je ne regrettais absolument pas de l'avoir fait cette fois ci aussi.
Le premier rebelle est à terre, ces heures sont compté, surtout si sa copine, refuse de se rendre. Violence gratuite? Absolument pas, mais si elle m'avais écouté on en serait pas là maintenant. Pianotant rapidement une phrase s'éleva de mon mini ordinateur
En même temps, je n'aurais pas eus à le faire, si vous vous étiez rendus, comme l'avait demandé votre ami
Étrangement, je me retrouvais un moment bloqué dans mes mouvements sans comprendre le pourquoi du comment, mais j'entendis enfin les troupes impériales nous rejoindre. Parfait pour moi et tant pis pour eux deux.
Je la vois tenter de soigner son copain le rebelle d'une façon étrange, me faisant penser à quelque chose lié à a force et soudainement, aussi rapidement que je fus coincé, je réussis à bouger à nouveau
Vous ne pouvez pas fuir, vous êtes encerclé tout les deux avais-je pianoté sur mon petit ordinateur, alors que plusieurs soldats s’avancèrent dans notre direction.
J'écrivis à nouveau une nouvelle phrase et fixa les deux rebelles
Rendez-vous et nous ferons en sorte que vous receviez tout les deux, les soins appropriés.
Toujours l'un de mes blasters à la main, je restais sur mes gardes attendant de voir ce qu'ils allaient décider tout les deux. La meilleure des solutions vue son état aurait été de se rendre, mais elle semblait vraiment têtue comme pas permis | Invité Lun 22 Mai 2017 - 8:44 | | | | | Invité Lun 22 Mai 2017 - 9:07 | | | | Le membre 'Calista' a effectué l'action suivante : dé
'Dé de combat' : 4 | La Force Lun 22 Mai 2017 - 9:07 | | | | | Invité Lun 22 Mai 2017 - 9:08 | | | | Le membre 'Maât-Atlane' a effectué l'action suivante : dé
#1 'Dé de combat' : 19
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#2 'Dé de combat' : 15 | La Force Lun 22 Mai 2017 - 9:08 | | | | La stase avait tenue moins longtemps que je ne l'avais espéré. Je devais être plus faible que je ne le pensais. L'Impériale ne semblait pas plus impressionnée que ça. Avait-elle déjà croisé des gens avec des affinités avec la Force ? Mes solutions s'amenuisaient au fur et à mesure et je ne voyais pas comment m'en sortir. Se rendre ? Ma vie n'avait que peu de valeur et je n'avais aucune informations intéressantes. J'étais hors course depuis l'Ordre 66 et m tentative de revenir dans les évènements se soldait par une pathétique confrontation avec une simple soldate. Par contre mon compagnon avait des informations sur la rébellion. Il ne pouvait pas être pris. Perdue pour perdue, je plongeais mon regard dans celui du rebelle pour établir un lien.
* Fuis ne te retourne pas. *
Les yeux de l'homme s'écarquillèrent quand ma voix résonna dans son esprit.
* Tu ne dois pas être pris. Que la Force soit avec toi. *
Je lâchais le bras du rebelle qui commença à s'écarter de moi. Je me mis en garde, ma lame violette éclairant mon visage. Je pris la position défensive typique des adeptes du Soresu. Je savais que les impériaux n'allaient pas me faire de cadeau et mon objectif n'était pas de vaincre mais de les contenir. Je savais aussi que je ne tiendrais pas longtemps. Ils étaient trop nombreux, j'étais trop affaiblie. Mais j'étais résolue. Je fermais les yeux et laissais la Force m'envahir avant de les rouvrir, la détermination luisant :
- La Force est avec vous Impériale mais je donnerais tout ce que j'ai pour vous retenir. Je ne cautionne pas les exactions que votre Empire commet. Votre Empereur nous a massacré en nous tirant dans le dos. Sans honneur, lâchement depuis son trône rutilant sur Coruscant qu'il souille de sa noire présence.
J'espérais gagner un peu de temps en parlant. La nuit nous couvrait maintenant et la lumière de la ruelle éclairait toujours faiblement. Je ne voyais pas combien de soldats me faisaient face mais grâce à mon sabre j'étais un phare dans la nuit.
- Je vous attends. Je suis la Consulaire Maât-Atlane et je vous attend. Je m'en remets à a Force pour vous contenir.
Ce n'était que du blabla mais j'espérais que la détermination qui m'habitait ainsi que la Force m'aiderait à tenir un peu. Je n'avais pas prêté attention au rebelle m'évertuant à le faire oublier. | Invité Lun 22 Mai 2017 - 23:14 | | |
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