Tout pouvait arriver. La Force avait un sens de l’humour parfois… étrange. Jorus n’aurait cru cela possible, découvrir une personne sincèrement appréciable chez ce peuple. Quand bien même il n’avait aucune intention de rester longuement dans les parages, il s’était surpris à beaucoup apprécier les conversations tenues, ces quatre derniers jours, avec le Conseiller Mitth'urf'ianico. Tout d’abord, il avait toujours bien plus aimé deviser avec des politiciens qu’avec d’autres types de personnes. Ensuite, il ne pouvait qu’apprécier la volonté de cet homme de retrouver un état conservateur et fidèle à ses traditions. Enfin, il approuvait les idées et propos de ce politicien, visant à accéder à ses objectifs, ce qui lui permettra, pour sa part, de récupérer son apprentie et éviter qu’un semblant d’Ordre ne naisse ici. Jorus réprouvait le fait que son élève puisse former qui ce soit en ces lieux, encore moins rendre la Force plus accessible. Un objectif partagé par son interlocuteur.

Ces quelques jours avaient été mis à profit non seulement pour de longues conversations avec Thurfian mais aussi pour rencontrer certains autres membres de ce Clan, avant d’aller à la rencontre de sa petite apprentie. L’accueil avait été mitigé. Certains ne semblaient avoir rien contre le fait qu’il s’associe avec eux pour faire cesser tout ce cirque, d’autres étaient déjà plus critiques et s’opposaient à ce qu’il revoit Lorana, surtout seule, « après ce qui s’était déjà produit ». Ses détracteurs n’avaient pu, en revanche, le faire expulser directement, pas alors que ses buts affichés, à son arrivée, avaient suffit à eux seuls de lui apporter du crédit à une partie du Clan. Son élève était certainement déjà au courant qu’il était venu la chercher, de toute manière. Mais soit… S’il pouvait régler plusieurs problèmes au lieu d’un seul, Jorus était tout à fait disposé à prendre sur lui et rester plus longtemps que prévu. Disons, quelques jours de plus, à la rigueur.

Thurfian s’était, par ailleurs, révélé incroyablement efficace, quand à la recherche d’informations précieuses, ces derniers temps, selon ce qu’il avait partagé. Cette idée d’école… Franchement… Pire encore, deux adultes commençaient déjà à s’y rendre régulièrement pour y travailler avec son apprentie… Légalement parlant, dans ce gouvernement, il était impossible d’interdire ce lieu, purement et simplement, tout comme il n’existait aucune loi pour exiler un membre du clan qui n’était coupable de rien. Mais lorsque la Loi n’était pas de votre côté, la politique pouvait vous aider à dénouer des situations délicates. Ils en avaient là encore beaucoup parlé, avant de définir une marche à suivre. Jusque assez tard dans la nuit, puisque le conseiller Thurfian le logeait actuellement chez lui. Désormais, il était temps d’une nouvelle étape.

Le rendez-vous avait été pris sur une nouvelle planète. L’ancien Jedi avait dû de nouveau prendre sur lui, se draper de patience… Bien que cela soit utile et qu’il ait eu le bonheur de rencontrer des personnes en accord avec ses idées, demeurer ici était… incroyablement lassant. Il se rendit, en compagnie du Conseiller, dans un salon de thé, proposant des pièces privatives, afin d’y rencontrer la cible suivante du plan. Un de leurs chefs de famille, celui-là même qui travaillait actuellement en étroite collaboration avec Lorana, pour cette école ridicule. Il l’observa avec soin, le temps des salutations et que tous trois prennent place dans le salon privé. Du thé, du café, de quoi manger également… Tout était déjà disposé à leur arrivée. Jorus disposait toujours d’un petit traducteur portable avec lui, bien qu’il ait pu assimiler quelques mots et expressions. Il semblait que ce type ait aussi une certaine affinité avec la famille Skywalker, c’est fou ce qu’il savait très mal s’entourer.

Je suis ravi d’enfin vous rencontrer. Les personnes m’ayant accueilli ici m’ont dressé un bon portrait de vous.

Ce qui était en partie vrai, après tout, tout dépendait de qui lui en avait parlé. Des détails comme celui-ci n’avaient pas lieu à être débattus.

J’ai cru comprendre que vous aviez été là, également, pour accueillir mon élève, à son arrivée dans l’Ascendance. Cela n’a pas dû être facile, étant donné l’état désastreux dans lequel elle se trouvait auparavant, lorsqu’elle a été forcée d’émigrer ici. Vous avez dû en être un témoin direct.

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Dés
Conseiller présent : Oui
Relations globales avec le Clan : 10
Espionnage réalisé : 5

Thurfian était une véritable ordure.

II n’était sûrement pas le premier à le penser et il ne sera certainement pas le dernier. Une enflure, un requin, un serpent, un fourbe, un manipulateur, un… Formbi prit une très grande inspiration, debout dans son bureau, face à un miroir dont il se servait habituellement pour ajuster rapidement sa tenue, avant d’aller à une réunion. Il se composa une expression plus neutre, en inspirant et expirant très fort, vérifia sa tenue, puis sortit d’un pas plus tranquille. Voilà un problème qu’il n’aurait cru devoir se soucier un jour… Que Thurfian soit dans l’affaire n’avait rien de très surprenant en soi, par contre, c’était on ne peut plus agaçant. Sur le trajet vers le lieu de rencontre, il se remémora le peu que Lorana avait confié sur son ex-mentor… Puis ce qu’elle avait rajouté, en apprenant qu’il était venu jusqu’ici. Elle avait évidemment refusé de le voire et environ la moitié des membres de son clan comprenaient et soutenaient ce choix. L’autre moitié, comme l’ordure, était plus pernicieuse et s’efforçait de faire pression.

La rencontre devait se tenir avec l’Humain et Thurfian, dans un salon privatif du salon Orea, un lieu reconnu pour la fine décoration de son intérieur et les thés exotiques qu’on y servait. Il se fondit dans son rôle le temps des salutations et de l’installation dans le salon, alors que le personnel avait déjà tout disposé. L’Humain était grand… Aussi grand que lui-même, quoi plus osseux, d’une certaine manière. Grand et sec, le visage et le regard durs, avec une barbe blanche presque aussi longue que ses cheveux épais et de même couleur. Dès son entrée en matière, Formbi eut la confirmation qu’il avait affaire là à un homme connaissant les rouages de la politique. Lorana avait expliqué les actions qu’il avait menée, autrefois, beaucoup avaient été en lien très direct avec le petit monde si agité de la politique. Peu étonnant qu’il s’entende bien avec Thurfian. Il prit une tasse d’un thé à la pêche et à la mangue, un parfum souvent choisi lorsqu’il devait conserver un minimum de patience, dans une situation l’épuisant par avance.

"J’ai cru comprendre que vous aviez été là, également, pour accueillir mon élève, à son arrivée dans l’Ascendance. Cela n’a pas dû être facile, étant donné l’état désastreux dans lequel elle se trouvait auparavant, lorsqu’elle a été forcée d’émigrer ici. Vous avez dû en être un témoin direct."

"Elle a en effet très brièvement évoqué un ancien mentor l’ayant poussée à partir, bien qu’elle n’ait rien dit de son identité. Un Humain assez grand, sec et nerveux, plutôt âgé. Sans doute l’avez-vous connu. Il est visiblement la principale raison de sa décision de suivre son époux dans l’Ascendance."

A voir le bonhomme, il comprenait d’autant mieux le choix de la jeune femme d’avoir quitté ses anciens confrères et consœurs, pour partir dans un endroit où elle serait l’une des seules étrangères. Dire qu’il osait la poursuivre jusqu’ici… Pire qu’une tique !

"Néanmoins, soyez rassuré, si elle a également été l’une de vos élèves, elle va bien mieux aujourd’hui. Si loin de ce mentor, en particulier. Votre empressement à vous assurer de son bien-être est remarquable. Vous pourrez rassurer vos confrères, à votre retour, qu’elle se porte parfaitement bien en notre sein, avec sa famille."

Elle a en effet très brièvement évoqué un ancien mentor l’ayant poussée à partir, bien qu’elle n’ait rien dit de son identité. Un Humain assez grand, sec et nerveux, plutôt âgé. Sans doute l’avez-vous connu. Il est visiblement la principale raison de sa décision de suivre son époux dans l’Ascendance.

Cette sale petite peste… Oser baver à qui voulait l’entendre qu’il était le responsable de son départ… Il n’avait absolument aucun doute sur le fait que ce type sache très bien qu’il était bel et bien ce fameux maître en question. Lentement, il but une première gorgée de thé, excellent au demeurant, sans réagir plus que cela, pour le moment. Une très longue litanie d’insultes, adressée à Lorana, s’étalait dans les tréfonds de son esprit, accompagnée par la colère et même plus que la colère, la haine se dirigeant vers elle aussi. Un sentiment nouveau… Jusqu’alors, il avait pensé la diriger, la posséder, la réduire à sa volonté, mais il ne lui avait encore jamais porté une véritable haine. Le sentiment se développait dans son âme, glaçant son cœur, nourrissant les regrets à ne l’avoir frappée quand il en avait eu l’occasion. La réduire à rien… la briser mentalement et physiquement…

Néanmoins, soyez rassuré, si elle a également été l’une de vos élèves, elle va bien mieux aujourd’hui. Si loin de ce mentor, en particulier. Votre empressement à vous assurer de son bien-être est remarquable. Vous pourrez rassurer vos confrères, à votre retour, qu’elle se porte parfaitement bien en notre sein, avec sa famille.

Elle se portait sans doute bien en ce moment, il s’assurera que ça ne puisse durer… Qu’il puisse ou non la récupérer et partir avec elle, il s’assurera qu’elle ne connaisse jamais plus le bonheur ou la paix. Son âme se refroidissait à mesure qu’il se plaisait à imaginer tout ce qu’il pourrait faire subir à son ancienne élève… Qu’il pourrait torturer et tuer lentement sa fille devant ses yeux… Lui arracher ceux qu’elle portait tant qu’elle sera toujours vivante… Son regard se voilà un très bref instant, si bref qu’il ne parvint pas à comprendre pourquoi. Il en tremblait presque. Le désir de la voir souffrir attaquait ses sens, devenant à son tour un désir obsessionnel. L’envie si irrationnelle de blesser, d’infliger du mal. Il sourit paisiblement à son interlocuteur, comme heureux des nouvelles entendues.

Je suis content d’apprendre qu’elle se porte bien avec sa famille, bien que je ne sois pas très convaincu que cet endroit soit bon pour elle. Pas après cet attentat commis.

Ce type ignorait qu’une vision de Force lui avait dévoilé les circonstances exactes de l’attaque. Peu importe, dans ce contexte. Cette affaire-là n’était qu’un prétexte de plus, qu’il comptait bien utiliser. Quel dommage que ces imbéciles aient raté leur coup ! Il aurait eu la possibilité de récupérer son apprentie depuis les failles, si elle était renvoyée, plus jeune, ignorante de ces égarements dans ce temps, ayant oublié mari et enfants. Il aurait pu la reforger à sa guise, patiemment, pour en faire une adepte plus motivée et capable de remplir des missions particulières. Elle n’appartenait qu’à lui.

De plus, j’ai cru comprendre que cela apportait des troubles dans votre peuple, malheureusement. Je le comprends bien, la Force peut sembler dangereuse, pour des personnes non entraînées, sans même parler de ces morts revenant à la vie… Tout n’est pas perdu, cela dit. Des personnes ont été impliquées malgré elles mais cela peut encore s’arranger. Ne seriez-vous pas intéressé, vous aussi, par retrouver votre vie d’avant toutes ces failles ? Une vie débarrassée de lourds problèmes ?

Formbi eut tout à coup un drôle de pressentiment, alors qu’il fixait son interlocuteur droit dans les yeux. Il avait cru voir… L’espace d’un très bref instant… Comme si ces yeux avaient brusquement changé de couleur avant de revenir à leur teinte habituelle… C’était perturbant. Il se secoua intérieurement, accusant la fatigue, sur ce coup-là, soupirant très légèrement. Comme si c’était possible, un truc pareil. Mais cette illusion visuelle n’était pas le plus important, de toute façon. Son interlocuteur avait beau sourire, tout son être respirait la colère et la tension, il ne pouvait le cacher. Même une personne moins attentive qu’eux sur ce genre d’aura pourrait le détecter. Thurfian aussi devait parfaitement le voir et pourtant, il continuait à boire très tranquillement son thé, comme si de rien n’était. Ce… Enfin bref. Pour le moment, Formbi l’ignorait, concentré sur cet Humain.

"Je suis content d’apprendre qu’elle se porte bien avec sa famille, bien que je ne sois pas très convaincu que cet endroit soit bon pour elle. Pas après cet attentat commis. De plus, j’ai cru comprendre que cela apportait des troubles dans votre peuple, malheureusement. Je le comprends bien, la Force peut sembler dangereuse, pour des personnes non entraînées, sans même parler de ces morts revenant à la vie… Tout n’est pas perdu, cela dit. Des personnes ont été impliquées malgré elles mais cela peut encore s’arranger. Ne seriez-vous pas intéressé, vous aussi, par retrouver votre vie d’avant toutes ces failles ? Une vie débarrassée de lourds problèmes ?"

L’Aristocra jeta un bref regard vers Thurfian, clairement plus mauvais, avant de le reposer vers l’Humain. Nettement, ce coup-là venait de lui. Il savait frapper là où ça faisait le plus mal, comme à son habitude. Il y a quelques mois encore, il y aurait beaucoup réfléchi… Sincèrement. Pour éviter que Fartha n’ait tant d’ennuis, pour éviter tant de problèmes, pour éviter… Mais désormais, le faire serait aussi trahir sa propre sœur. Ces deux-là l’agaçaient considérablement, il voyait bien où ils voulaient en venir et les griffes qu’ils refermaient peu à peu.

"Notre peuple a connu et connaîtra des troubles autrement plus graves que ceux causés par la Force," répondit-il d’un ton plus fort. "Nous vivons dans une région galactique agitée, au milieu de peuples devant se montrer plus agressifs pour y survivre. Ma vie précédente, comme vous le dites, n’était pas exempte de lourds problèmes et je doute qu’elle le soit un jour."

Il jugeait que la Force était bien moins un problème que les personnes s’en servant pour causer ces fameux troubles. Que ça soit le fou des virus ou ce vieil Humain… Tous les types infects de ce genre se retrouvaient fourrés dans le même panier. Il n’avait aucun doute sur le fait que l’un d’entre eux finira par causer une nouvelle catastrophe et c’était précisément pour cette raison qu’ils avaient besoin, dans leur peuple, de personnes capables de repérer instantanément d’où venait le problème et travailler à y résoudre. Ils ne pouvaient plus rester démunis, face à ces paramètres étranges. Si la Flotte les protégeait des menaces physiques, ils avaient besoin de personnes capables de les protéger des menaces psychiques.

"Par ailleurs, ne vous en inquiétez pas tant, nous avons, parmi nous, des personnes capables de créer et amplifier des troubles internes depuis fort longtemps, les nôtres en ont déjà l’habitude. Outre les fameuses affres politiques, qui causent une bonne partie de ces troubles, il est très aisé de trouver des volontaires pour agiter notre peuple. Si vous avez l’habitude des politiciens, vous devriez savoir que cela se retrouve chez n’importe quel peuple ou communauté, n’est-ce pas ?"

Notre peuple a connu et connaîtra des troubles autrement plus graves que ceux causés par la Force," répondit-il d’un ton plus fort. "Nous vivons dans une région galactique agitée, au milieu de peuples devant se montrer plus agressifs pour y survivre. Ma vie précédente, comme vous le dites, n’était pas exempte de lourds problèmes et je doute qu’elle le soit un jour.

Il est simplement dommage d’en rajouter…

Le plus ardu dans cette histoire était de demeurer patient. Jorus savait pertinemment qu’il ne parviendra pas à approcher son apprentie de si tôt, pas avec encore autant de personnes occupées à faire barrage autour d’elle. Il ne pouvait être trop hâtif, trop agressif, devait à tout prix faire taire la colère et la haine ressentie en son âme. Cette première incursion lui servait avant tout à repérer le terrain, rencontrer des personnes pouvant lui être utiles par la suite et celles contre qui il devra travailler. Une telle tension l’habitait, issue de cette lutte interne pour se retenir, qu’il en tremblait presque. Les émotions fortes n’avaient jamais été un problème, pour lui, il ne s’était jamais soucié de les réfréner ou de les rejeter au loin, bien au contraire, s’en servant comme d’un moteur puissant pour accéder plus vite à ses objectifs. La haine était l’une des plus difficiles à ne pas laisser échapper au mauvais moment.

"Par ailleurs, ne vous en inquiétez pas tant, nous avons, parmi nous, des personnes capables de créer et amplifier des troubles internes depuis fort longtemps, les nôtres en ont déjà l’habitude. Outre les fameuses affres politiques, qui causent une bonne partie de ces troubles, il est très aisé de trouver des volontaires pour agiter notre peuple. Si vous avez l’habitude des politiciens, vous devriez savoir que cela se retrouve chez n’importe quel peuple ou communauté, n’est-ce pas ?"

J’ai en effet pu déjà longuement parler de certains agitateurs de votre peuple, tout en corrigeant quelques erreurs et malentendus du passé.

Il adressa un sourire poli à l’Aristocra, en conclusion de cette première réponse. Bien sûr, Thurfian aura besoin de temps avant d’exploiter au mieux ces éléments, un terrain politique ne se préparait guère en quelques minutes. Le grand jeu était sans cesse de choisir le plus juste moment pour attaquer. Oh douce patiente, si malmenée présentement par l’envie tant plus puissante de s’en prendre à cette personne. Il serait si facile de le faire… Si aisé de simplement faire appel à la Force pour resserrer un brusque étau autour de la nuque fragile et l’achever d’une simple pression. A la place, il reprit la tasse de thé des deux mains, méditant quelque peu afin d’apaiser ses émotions.

Néanmoins, reprit-il avoir bu une longue gorgée, vous vous méprenez. Je ne suis pas venu ramener de force Lorana mais prendre de ses nouvelles, ainsi que vous avertir. Les personnes traumatisées, disposant de ce pouvoir, peuvent causer malgré elles des troubles on ne peut plus important, pouvant impacter lourdement la vie. J’en ai déjà informé d’autres responsables de votre peuple et puisque vous êtes proche d’elle, je me tenais de vous en informer aussi. Lorsque les problèmes arriveront, je me ferai un devoir de revenir au plus vite vous aider et surtout, l’aider elle, à se reprendre.

Thurfian hocha la tête, à côté de lui. Les choses étaient déjà convenues. Ce n’était qu’une question de temps avant que son apprenti ne cause un souci quelconque par accident, même infime. Ce sera le premier levier que son nouvel allié pourra utiliser afin de forcer le Conseil à la renvoyer d’ici. Et là, Jorus se tiendra prêt.