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Maquillage de crimes
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• Lieu : Elom
• Difficulté : Facile
• Participant : Visas Marr, Pnj Hemi Zaoy,
• Méthode : Classique

Hemer Zaoy est à la fois un riche industriel, à la tête de nombreuses usines et un riche mécène de la politique sécuritaire de la région. Ses relations avec l’Empire ont toujours variées du neutre au courtois. Il investit dans certaines structures pour mieux protéger ses affaires commerciales mais ne s’est jamais soucié de politique pour autant. A ses yeux, peu lui importe qui dirige et comment tant qu’il peut peut poursuivre l’expansion de son entreprise et de la fortune familiale. Il est également notoire que cet homme possède des liens serrés avec la mafia du secteur, mais l’Empire ne s’y est jamais intéressé de près.

Cette stabilité est désormais menacée, car son fils aîné, Hemi Zaoy, jeune recrue dans l’armée impériale, a décidé de déserter, pour rejoindre la Rébellion. Son arrestation pourrait provoquer autant la ruine de la famille que de graves ennuis pour son monde. De plus, malgré cet écart, son père tient énormément à lui et tient encore plus à ce qu’il lui soit ramené avant que l’Empire ne le retrouve.

Votre mission est double. Faire croire aux agents impériaux qu’il ne s’agit pas d’une véritable désertion mais bel et bien d’un kidnapping, orchestré par les rebelles locaux, ainsi que ramener le gamin vivant et en bonne santé à son père. Pas une blessure, pas de drogue, pas de somnifère, absolument rien qui ne risque de mettre en péril la santé physique ou mentale du gamin.

Spoiler:

L’Empire a repéré le gamin sur Elom. Vous allez devoir faire vite, si vous tenez à arriver avant eux et si vous devez vous arranger pour maquiller cette désertion en kidnapping.

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Jeu 6 Juin 2024 - 11:49
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Visas Marr
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Visas n’était toujours pas certaine de ce qu’elle faisait, de si c’était la bonne méthode ou non, pour accomplir leurs objectifs communs. Pour sûr, les organisations criminelles et leur épais réseau de ressources, informations et contacts offraient un terreau fertile pour débuter. La méfiance mutuelle, mélangée à une primordiale culture du secret en faisait les cibles parfaites. Ce qui la laissait songeuse sur le fait que d’autres avaient probablement pensé à la même chose, et tiraient peut-être certaines ficelles dans l’ombre, comme elle comptait le faire. Du moins, c’était l’idée encore très brouillonne qui lui trainait en tête depuis qu’elle avait quitté Vitiate. Elle ne pensait pas que ce serait aussi simple, cependant, d’y faire son entrée. Finalement, cette fugue représentait une aubaine, une opportunité qu’elle se serait reprochée de ne pas saisir. Même en n’ayant que peu d’expérience du milieu, du moins dans cette époque, il ne lui avait pas fallu longtemps pour comprendre à quel point Hemer Zaoy y était influent, et ce malgré la belle façade que représentait ses entreprises et ses contributions auprès du gouvernement impérial. Ce dernier point était sans doute la raison pour laquelle l’Empire n’avait pas encore mis le nez dans ses affaires.

La corruption latente de l’administration impériale n’était pas une surprise. Les humains étaient si prévisibles… Si enclins à tomber dans ce vice, comme tous les autres. Une chose qu’elle, en tant que miraluka, n’avait jamais compris, et refuserait à jamais de comprendre. La seule fois où elle avait vu la galaxie à travers un tel spectre, Nihilus lui avait donné envie de tout détruire, et de mourir. Se complaire dans de telles banalités, inutiles, alors que la Force était présente partout. Ils n’avaient pas la moindre idée de ce que la vie était réellement. De ses nuances, de sa consistance, de sa puissance. Elle se faisait passer pour une aveugle, ce qu’elle était, dans le sens physique du terme. Pourtant, d’aveugles, il n’y avait qu’eux ; Futiles petites créatures bonnes à être menées, guidées, utilisées. Leur vie, pour le reste, restait inexorablement fade. La leur enlever, au besoin, ne lui posait de fait pas le moindre problème. C’était la seule façon de les libérer, et de leur faire voir ce qu’était vraiment la vie. La Force. Cette méthode, cependant, ne serait pas celle dont elle ferait présentement l’usage. Du moins, pas sur sa cible, Hemi Zaoy. Son paternel avait été on ne peut plus clair, dans sa demande : il ne devait rien arriver au gamin.

Elle se demandait, d’ailleurs, comment Hemer Zaoy ne s’était pas posé plus de question que cela, lors de leur entretien. Certes, elle avait fait un effort pour soigner sa présentation malgré son désintérêt pour ce genre de frivolités ; là encore parfaitement inutile pour quelqu’un qui, comme elle, voyait au travers de la Force et pas autrement. Elle avait pour l’occasion troqué son ensemble traditionnel pour quelque chose de plus simple et discret : une longue capuche avait suffi, pour masquer son visage. Et lorsqu’il lui avait demandé de se dévoiler, elle avait invoqué sa sécurité pour ne pas révéler sa véritable nature. Une chose commune, somme toute, dans le mercenariat. Le fait qu’il est semblé désespéré de récupérer son fils avait sans doute grandement facilité la chose. Il était facile de comprendre pourquoi. La désertion était rarement bien vue, et un prétexte parfait pour des représailles. Des représailles donc Zaoy ne se relèverait sans doute pas. Bah, elle n’allait pas s’en plaindre. Cela l’arrangeait, elle pourrait ainsi demander ce qu’elle veut en échange, la récompense initiale ne l’intéressant que bien peu…

Elom, cependant, avait requis un nouveau changement de garde-robe, la crise ayant transformé le climat glacé et sec, balayé par les vents, en un biome aride, recouvert de déserts secs, forçant les populations, celles ayant pu survivre, loin vers pôles ou dans les montagnes, où le climat se faisait plus clément. Du moins, pour celles ayant survécus, les locaux étant particulièrement primitifs. Cela avait grandement facilité ses recherches, pour retrouver la trace du gamin, puisqu’il n’y avait que quelques lieux possibles, en dehors des mines sans doute abandonnées, où il pouvait se poser et trouver ses contacts. Un raisonnement que les impériaux partageraient peut-être. Quoi qu’il en soit, elle possédait une petite longueur d’avance qu’elle espérait bien conserver. Sans rebelles encore en vue, elle avait suivi le garçon pendant toute la soirée, attendant l’obscurité pour agir.

Après avoir repéré plusieurs lieux tranquilles et vide de monde, elle attendit le bon moment, se laissant tomber sur le chemin du jeune homme, sans un bruit et souple sur ses appuis. Une main, ferme, vînt se loger sur les lèvres du gamin, l’autre venant lui enserrer les bras autour de la taille, avant qu’elle ne le pousse sans ménagement dans une travée donnant dans un entrepôt, désert à cette heure de la nuit.

« Shhht, je ne te veux aucun mal, ça va aller, » lâcha-t-elle, à voix basse, avant de relâcher, une fois seule à seul. « Il faut que l’on parle, tous les deux. C’est ta famille, qui m’envoie. Ce n'est pas très malin, de déserter de la sorte. »

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Visas Marr
Lun 1 Juil 2024 - 20:51
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Hemi stoppa à la nouvelle intersection, le cœur battant à vive allure, puis reprit sa route une fois assuré que la voie était libre. Il devait s’efforcer de faire au plus vite, son contact rebelle lui avait déjà assuré que l’équipe ne pourra pas rester bien longtemps. S’il les ratait, il devra se débrouiller pour les rejoindre ailleurs, par ses propres moyens. Après avoir eu autant de mal à les contacter, alors qu’il était encore à l’académie impériale, voir tous ces efforts gâchés porterait un rude coup ! Il refusait d’abandonner maintenant, encore moins de se laisser prendre par l’Empire. L’occasion s’était présenté au cours d’un voyage d’étude, où avec d’autres étudiants, ils avaient dû accompagner l’équipage d’un croiseur pour un temps d’observation et d’apprentissage. Il avait profité d’une halte sur un autre monde, où les officiers avaient envoyé le groupe d’étudiants interroger les locaux sur un trafic, pour s’enfuir.

Malgré ses convictions, l’inquiétude lui rongeait le sang. Sa famille lui restait gravée en tête, alors qu’il avançait. Ses parents avaient leurs propres méthodes, pour gérer leurs affaires et leur sécurité, qu’il ne partageait pas du tout. Jouer ainsi avec l4empire et la mafia ne pouvait rien emmener de bon, à long terme ! Ni pour eux, ni pour leurs enfants. Encore moins pour leur monde. Mais l’Alliance, elle, représentait un espoir du retour à la démocratie. Et de valeurs plus justes. Du moins, c’est tout ce qu’il pouvait espérer. Il ralentit le pas à l’approche d’une rue plus dégagée, stressé mais progressant malgré tout. Quelques mètres plus loin, il eut tout à coup un brusque frisson puis faillit crier, empêché de justesse par une main qui se plaqua contre sa bouche, dans son dos, un bras empêchant net de courir. Il entendit à peine le murmure venu ensuite, poussé brusquement dans la ruelle ombragée et son abri, qu’il venait de quitter. L’inconnu le relâcha et il tira brusquement l’arme qu’il portait à sa ceinture, pour lui faire face.

« Il faut que l’on parle, tous les deux. C’est ta famille, qui m’envoie. Ce n'est pas très malin, de déserter de la sorte. »

L’arme levée vers la silhouette, une femme dont le visage était masque, il comprit effectivement en la détaillant qu’elle n’était pas une impériale. Et seule, de toute façon, ce n’était pas leur genre. Ça devait être une mercenaire. Il secoua légèrement la tête, abasourdi que sa famille lui ait envoyé quelqu’un aux trousses… Ses parents, pourtant, connaissaient très bien ses réelles convictions et auraient dû se douter qu’il ne resterait pas à l’académie. C’était eux qui l’avaient forcé à y rentrer, pour améliorer l’image que leur famille avait auprès de l’Empire, au niveau local. Du haut de ses dix-sept ans, Hemi n’était sûr de rien sur ce qu’il pouvait devenir mais il était au moins certain de ses propres convictions.

« Ce qui n’était pas très malin, c’était m’obliger à rentrer à l’académie, » corrigea-t-il en contenant son ton exaspéré. « Tu es de quelle mafia, toi, cette fois… ? »

Elle avait un drôle d’accent. Pas du coin,e n tout cas. Si ce n’était qu’une histoire d’argent, pour elle, il pouvait bien tenter de la payer plus que ses parents ne l’avaient fait. Après tout, les mercenaires, on savait bien ce qui les intéressait avant toute chose.

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Sam 27 Juil 2024 - 10:56
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Croyait-il vraiment que son arme, pointée dans sa direction, allait vraiment la dissuader d’agir après toute la peine qu’elle s’était donnée pour le retrouver ? Qu’il était bien naïf… Mais bon, était-ce vraiment surprenant, à son âge ? Les esprits faibles, le commun des mortels, avaient des réactions souvent bien stupides et inutiles, dans des situations pareilles. A sa grande déception, donc, le petit Zay se révélait parfaitement conforme à la norme. Dommage, pour quelqu’un qui avait pourtant prit une décision forte, du genre à bouleverser à la fois sa vie, ainsi que celles de tous les membres de sa famille… Mais en avait-il seulement conscience ? Avait-il seulement songé un instant aux conséquences de ses actes ? Elle en doutait, bien que cela, finalement, arrangeait bien ses affaires. En le ramenant à son géniteur, ce dernier serait tout à fait enclin, et particulièrement réceptif à ses exigences. Elle aurait l’ouverture recherchée et espérée, même si le paternel venait à tenter de se soustraire à ses obligations. Il n’aurait pas vraiment le choix, de toute façon. Tout comme son fils allait devoir comprendre qu’il n’avait pas vraiment le choix non plus, pour le moment. Cela ne voulait pas dire qu’il ne pourrait pas tenter sa chance plus tard pour autant…

« Ce qui n’était pas très malin, c’était m’obliger à rentrer à l’académie. Tu es de quelle mafia, toi, cette fois… ? »

Cette fois ? Malgré la menace de son arme, Visas resta bien droite, peu inquiète. Le pauvre ne savait pas à quoi il avait à faire. Mais si cela pouvait le rassurer quelque peu… Bah. Elle n’avait aucune intention de lui vouloir le moindre mal, le paternel s’était montré on ne peut plus clair sur cela. Mais finalement, où était la surprise dans son comportement ? Les petites natures étaient toujours fidèles à elles-mêmes. Elles s’agitaient pour des points de détails, des choses sans importances… Elle trouvait même amusant qu’il la catégorise immédiatement comme un membre d’une des mafias avec lesquelles son paternel maintenait des relations étroites, et non autre chose. Elle n’allait bien évidemment pas répondre à la question, préférant pour l’instant maintenir l’opacité qui enveloppait son identité tout autant que ses origines ; Profiter du divertissement alimenté par la confusion du jeune homme.

« Tu as donc préféré décider de t’en éloigner, » reprit-elle, sur un ton plus sérieux, réprobateur. « Mais as-tu seulement réfléchis aux conséquences de tes actes ? » La miraluka ponctua brièvement sa question en faisant un pas en avant malgré le fait qu’il la tenait toujours en joue, toujours peu inquiète à l’idée qu’il lui tire dessus. Il serait de toute façon bien malheureux de s’y risquer. Il allait sans doute reculer pour tenter de garder la distance entre lui et elle, jusqu’au moment où, inexorablement, il finira par se heurter à un mur. Visas, cependant, ne poussa pas plus. « Au fait, qu’en désertant, l’Empire exercera nécessairement des représailles contre les membres de ta famille ? Qu’ils enfermeront tes proches, s’ils ne sont pas exécutés sur le champ ? Que tes connaissances, aussi, payeront le prix de ton choix ? Et pour quoi ? Pour quelques années forcées à l’Académie ? Il existe d’autres moyens beaucoup plus simples et demandant moins de sacrifices pour s’y soustraire. D’autres moyens d’aider les rebelles sans prendre autant de risques. »

Elle laissa sa réflexion en suspens, sans changer une note à son intonation, pour le forcer à réfléchir à cela. Le faire paniquer, peut-être, psychoter, probablement. Sans lui donner d’idées immédiatement, pour le contraindre peut-être, à chercher son aide. Elle prit soin, dans son bref mouvement, à lui fermer toute porte de sortie pour le contraindre à la discussion. Sans pour autant faire preuve d’agressivité. Juste assez pour maintenir la pression.

« Cette arme, par ailleurs, ne te sera d’aucune utilité ici, « rajouta-t-elle pour finir. « Je doute, de toute façon, que tu es réellement la volonté de tuer qui que ce soit, de sang-froid de surcroit. »

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Visas Marr
Mer 31 Juil 2024 - 14:56
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Hemi Zaoy, 17 ans, Déserteur

Il recula d’un pas lorsqu’elle approcha, le ventre serré mais les mains ne tremblant pas, en tenant son arme. Pinçant juste un bref instant les lèvres lorsqu’elle parla des conséquences. Bien sûr, qu’il y avait déjà réfléchi longtemps, il n’avait pas besoin qu’un mercenaire vienne le lui souligner ! Il n’aurait pas agi ainsi s’il ne pensait pas que son père avait les capacités d’échapper aux retours de bâtons, par ses propres « amis », l’influence qu’il possédait, sans compter son pouvoir économique. Eux pouvaient s’en sortir, il en était persuadé. Surtout dans ce genre de régions, où L’empire était moins présent. Sans compter que son père était un homme utile, aux yeux de trois mafias, qui n’avaient pas intérêt à ce que l’Empire le fasse disparaître et pouvaient l’aider à rester en place. En revanche, il fut déjà plus surpris, et tendu, parce qu’elle ajouta. Comment ça, d’autres moyens de… Quoi ?! Ça la soucierait, elle, d’aider les Rebelles ? Les mercenaires mangeaient à tous les râteliers, oui, mais s’en était malgré tout un qui n’était pas digeste pour pas mal d’entre eux, selon ce qui se disait. Ils ne payaient pas forcément bien et les mercenaires avaient tendance à éviter les camps directement en guerre contre le pouvoir principal en place.

« Cette arme, par ailleurs, ne te sera d’aucune utilité ici. Je doute, de toute façon, que tu es réellement la volonté de tuer qui que ce soit, de sang-froid de surcroît. »

« Qu’en sais-tu ?! » répliqua-t-il vivement, en reculant d’un nouveau pas.

Pure fierté, cela dit, il n’était pas convaincu lui-même en être effectivement capable. Probablement pas. Il n’avait jamais tiré sur quoi que ce soit d’autre que des cibles en titane, dans des cours d’entraînement. Il réfléchissait toujours à comment fuir de là… Pour le moment, les options étaient très limitées et toutes allaient imposer d’affronter cette femme, fatalement. Hemi n’avait eu le temps de suivre que peu de cours d’arts martiaux, il ne pensait pas avoir un niveau très élevé. En tout cas, certainement pas assez bon pour affronter quiconque un minimum entraîné pour ça. Il commençait à paniquer et luttait de toutes ses forces pour ne pas le montrer.

« Je sais que mon père a les moyens et les contacts pour limiter les dégâts, en ce qui les concerne, » ajouta-t-il en ramenant légèrement l’arme vers lui, plutôt que la pointer vers elle. « Il risque surtout d’y perdre du temps et de l’argent. Je sais très bien que ça doit te passer au-dessus, que tu dois te foutre de ce qui arrive à la galaxie, tant qu’il y a de l’argent à se faire. Mais pas moi. Pas alors que des types comme Palpatine sont au pouvoir et qu’ils ont laissé pulluler des monstres destructeurs et des pandémies sans lever le petit doigt. Pire, en les aidant. Ce n’est pas qu’une histoire de politique ! Et tu penses vraiment qu’il y a d’autres moyens que de se battre contre tout ça ? Je serai curieux d’entendre ce miracle-là, tiens, si du moins, tu ne délires pas. »

Soit elle était cinglée, soit elle jouait avec ses nerfs juste avant de bondir et l’assommer, soit elle avait vraiment une idée. Il ne savait pas quelle solution était la pire, en réalité.


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Dim 18 Aoû 2024 - 10:13
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« Qu’en sais-tu ?! »

Visas ne put supprimer un léger rire, à le voir si affolé, en apparence si sûr de lui. Oh, mais elle en savait bien plus qu'il ne pourrait jamais l'imaginer. Il n'était rien qu'une feuille de papier au milieu du flux intarissable qu'était la Force. Il lui était possible de lire en lui comme dans un livre ouvert, et ce sans toucher une seule once de son esprit. Son aura grisonnante ne pouvait rien cacher de son tumulte intérieur, de ses incertitudes, et de sa peur. Le fait qu'il ait reculé, aussi, était amplement suffisant pour en tirer les mêmes conclusions. Bientôt, à force de s’éloigner, il finirait par se heurter au mir froid vers lequel il se dirigeait inexorablement, et vers lequel Visas le poussa doucement, en imitant son mouvement d’un pas en avant. Il ne tirerait pas, il n’en aurait pas le courage. Pas de sang-froid. Une conviction qu’il prouva peu après, en baissant de lui-même son arme, tel un résigné qui refusait toujours de le reconnaître.

Visas avait eut envie, un bref instant, de lui murmurer que si son père avait bien les moyens qu’il prétendait, alors peut-être portait-il simplement une affection profonde pour son fils, qu’il n’avait jamais montré auparavant. Mais cette opportunité s’était envolée aussi vite qu’elle n’était apparue. Bah, ce ne serait que partie remise.

« Je sais très bien que ça doit te passer au-dessus, que tu dois te foutre de ce qui arrive à la galaxie, tant qu’il y a de l’argent à se faire. Mais pas moi. Pas alors que des types comme Palpatine sont au pouvoir et qu’ils ont laissé pulluler des monstres destructeurs et des pandémies sans lever le petit doigt. Pire, en les aidant. Ce n’est pas qu’une histoire de politique ! Et tu penses vraiment qu’il y a d’autres moyens que de se battre contre tout ça ? Je serai curieux d’entendre ce miracle-là, tiens, si du moins, tu ne délires pas. »

C’était donc ça. Il s’était agité dès qu’une force supérieure avait bousculé son petit quotidien tranquille. Comme toutes les petites natures, il s’agitait pour si peu… Oui, Sidious avait laissé Plagueis jouer sans s’interposer. La suite, tout le monde la connaissait. Il était bien naïf, cependant, de croire qu’il pourrait changer les choses. Il n’était qu’un pion dans cet échiquier géant. Il ne représentait rien, si ce n’est une opportunité. Une opportunité dont elle avait, malgré tout, désespérément besoin. Donc si lui faire croire qu'il pourrait changer le sort de la galaxie, décidé par les grands puissants, était la solution à son impasse, Visas n’avait rien contre l’idée de laisser ce doux rêve au creux de sa tête. Il n’avait pas besoin de connaître quels objectifs il allait l’aider à remplir. Il avait simplement besoin de se révéler utile.

« Oh, le sort de la galaxie ne me laisse pas si indifférente, Hemi, » rétorqua-t-elle plus chaleureusement, en faisant rouler sa langue dans sa bouche. « L’argent est une chose, mais la voix prise par l’Empire est vouée au chaos. La galaxie a besoin de stabilité. Si la destruction s'avère bonne pour les affaires sur le court terme, c’est la stabilité qui permet à celles-ci de fructifier. Cela, ton père te l'a probablement souvent répéter. La politique de Palpatine menace cet équilibre, désormais fragile. Mais la Rébellion ne fait qu'alimenter le feu par lequel la galaxie brûle. Si tu veux les aider dans leur lutte, libre à toi de le faire. Je faisais seulement allusion au fait que le combat auquel tu souhaites visiblement tant participer peut se livrer de bien des manières. »

Celle qu’il souhaitait employer n’était tout simplement pas la bonne. Elle était même la plus mauvaise de toute. D’un geste de la main, elle l’invita à simplement ranger son arme, ou à la lui donner. Allons, cette méthode était si brutale… Et lui tirer dessus n’arrangerait rien à ses affaires.

« Ton père t’as forcé à rejoindre l’armée mais tu n’es pas un guerrier dans l’âme, Hemi. Il existe d’autres moyens d’aider la Rébellion. De servir la Cause et de faire échouer les plans sombres de Palpatine. Il t’es possible de le faire de l’intérieur, et de remporter des victoires bien plus grandes qu’en agitant une arme sur un champ de bataille. Tu n’es pas obligé de finir ton cursus impérial non plus, si ce n’est pas ce que tu souhaites. Echouer à l’académie, en ratant les tests, est une chose naturelle. L’Empire n’est d’ailleurs plus le seul fléau, désormais. Certaines mafias profitent du vide laissé par les forces de Sidious. Elles aussi, mettent en danger cet équilibre précaire. »

Elle finit son exposé en se surprenant elle-même, mais l’important restait la finalité. Elle pouvait lui faire miroiter tout ce qu’il pouvait bien désirer du moment qu’elle obtenait ce qu'elle voulait. Une fois que le vieux Zaoi aura rempli la part de son contrat, qu’elle aura diluer son poison dans l’organisation des différentes mafias, tout cela n’aura plus d’importance. Les souvenirs du petit n’auront plus d’importance. Dans un geste à l’opposé du calcul froid qui s’imposait dans son esprit, Visas finit d’ailleurs par lui tendre doucement sa main gauche, gantée de noir, comme une invitation à la rejoindre ; à mettre un terme à cette folie.

« Rater le rendez-vous avec les rebelles n’est pas une finalité en soi. Je pourrais te mettre en relation avec eux plus tard. Les impériaux seront bientôt là, ils ne peuvent pas te trouver dans cet état. Viens avec moi. »

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Dim 25 Aoû 2024 - 13:05
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Hemi Zaoy, 17 ans, Déserteur

L’argent, ouais, c’était bien tout ce qui intéressait les gens comme ça, ils se foutaient de tout et tout le monde, pas étonnant que son père fasse aussi facilement affaire avec eux, avec un seul sujet à prendre en compte ! Si la galaxie était mise à feu et à sang, ça n’arrangera personne, que ce soit les mafias, les bandes criminelles, l’empire, la rébellion ou il savait quel peuple encore se cachant dans les tréfonds de la galaxie… Et elle lui disait qu’il n’y avait pas d’autres moyens mais si elle ne précisait aucun d’entre eux, alors ça ne valait rien ! C’était bien beau de dire qu’il y avait ceci ou cela, ça restait de bêtes paroles tant que rien de concret ne s’en dégageait.Il secoua la tête, de plus en plus agacé par ce discours vide, sans lâcher sa position, jusqu’à ce qu’un bruit malheureusement familier ne résonne au loin. Oh non…

« Rater le rendez-vous avec les rebelles n’est pas une finalité en soi. Je pourrais te mettre en relation avec eux plus tard. Les impériaux seront bientôt là, ils ne peuvent pas te trouver dans cet état. Viens avec moi. »

Il bondit en avant, filant droit de son côté et l’évitant, la poussant avec lui à l’abri juste avant qu’une vive lumière n’éclaire brutalement la ruelle ainsi que les alentours, suivi du bruit de troupes. Aussitôt après, ce fut le bruit d’un marcheur qui se manifesta. Hemi retint un juron, depuis sa cachette, puis comprit que ce n’était pas eux qui avaient été repérés mais les rebelles… En se penchant légèrement, il en repéra un courant tout près d’ici, poursuivi par une volée de tirs. Puis le marcheur engagea à son tour le combat. Se rabattant sous l’abri de fortune, il en oublia presque la présence de la chasseuse à côté, durant un instant, avant d’être rappelé à la réalité.

« Toi qui parlais d’alimenter le feu, » marmonna-t-il en essayant de voir ce qui se passait à l’extérieur.

Pour le moment, sortir n’apparaissait pas comme la plus brillante des idées… Les Rebelles semblaient plutôt nombreux mais les impériaux ne l’étaient pas moins. Malgré le sentiment d’urgence, il se décida à ne pas bouger.

« Et concrètement, qu’est-ce que tu comptes faire, toi, pour retrouver cette fameuse stabilité ? »

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Dim 8 Sep 2024 - 9:33
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Mh. Il refusait d'entendre, ou même de comprendre que cette affaire était, le concernant, absolument personnelle; qu'il n'était pas, pour une fois, uniquement question d'argent. Il tenait à lui, petit être frêle de dix-sept ans qui se croyait déjà assez grand pour influencer les choses. Qu'il était bien naïf de croire que sa participation à la Rébellion changerait quoi que ce soit au chemin déjà tracé via les choix pris par les plus grands. L'Empire allait s'effondrer, c'était désormais plus qu'une question de temps. Des mois, encore une ou deux années... il survivrait sans doute mais plus sous la forme tentaculaire qu'on lui connait. Il était plus probable qu'il se fracture, laissant de l'espace à une Alliance Rebelle qui se retrouverait du jour au lendemain à devoir nourrir toute ou portion des bordures sqns en avoir les moyens. Dès lors, qui allait occuper le terrain perdu ? Des seigneurs de guerres, probablement. Les syndicats, cartels et autres organisations criminelles, sans le moindre doute.

Qu'il ne saisisse pas où elle voulait en venir commençait doucement à l'agacer, non pas à cause de cela, mais parce qu'ils perdaient du temps qu'elle aurait pu utiliser autrement. En maquillant sa fugue en enlèvement, par exemple. Il serait facile de juste l'endormir, le ligoter et utiliser un esprit faible pour jouer le rôle du kidnappeur. Il fallait, hélas, d'abord finir de le convaincre de revenir. Sinon, tout cela ne servirait qu'à aggraver un peu plus le problème qu'elle tentait patiemment de régler. Hemi devrait s'estimer chanceux qu'elle prenne autant de temps pour lui, ce n'était une chose dont elle était coutumière. Même si, depuis quelque temps, cela changeait. Il lui arrivait parfois de s'en rendre compte, sans que ce changement ne la perturbe vraiment. Elle évoluait et s'adaptait sans doute, tout simplement.

Compte tenu des circonstances, elle fut un peu étonnée de le voir se projeter vers elle pour la pousser sur le côté à l’arrivée bruyante des impériaux. Il lui aurait été si simple d’essayer de hurler pour attirer leur attention, puis s’enfuir en la laissant les affronter. Comme quoi, finalement, il n’était plus si convaincu. Visas se colla au mur, sans trop s’en faire pour autant. A la différence du petit, qui paniquait déjà, elle avait sentit l’attaque venir, et celle-ci ne semblait pas tourner dans leur direction. Les impériaux avaient sans doute débusqué les rebelles pout leur donner l’assaut. Pour le moment. Elle nota, aussi, que le petit restait étonnamment proche d’elle, comme s’il cherchait une forme de protection, ou de réconfort ? D’un geste de la main, Visas tira un peu sur sa capuche, pour la rabattre un peu plus sur sa tête. Elle ne tenait pas à ce qu’il remarque le bandeau posé devant ses yeux.

« Et concrètement, qu’est-ce que tu comptes faire, toi, pour retrouver cette fameuse stabilité ? »

Visas inclina légèrement la tête, car c’était bien là une question qu’elle se posait encore. La méthode n’était pas encore très claire dans sa tête. Le but final, en revanche, l’était beaucoup plus. Soit, s’il tenait vraiment à le savoir… elle allait devoir prendre une dernière précaution. Une de ses mains gantées glissa doucement par-dessus celle avec laquelle Hemi tenait son blaster, comme pour chercher à le lui retirer délicatement.

« Je compte utiliser les contacts de ton père pour infiltrer certains syndicats et influencer leurs actions de l’intérieur, » lâcha-t-elle en même temps, sur un ton aussi froid que plein d’assurance. « Ton père n’est pas au courant, il croit seulement que je cherche a étendre mon réseau de contacts. Comme je te l’ai dis, je n’ai pas besoin d’argent. La condition était seulement de te ramener sans alerter les impériaux. En leur faisant croire que tu n'as pas déserté, mais que les rebelles ou un cartel t'as enlevé. Une fois cela accomplit, rien ne t’empêche de déserter à nouveau. Sauf si tu veux travailler avec moi, et aider la Rébellion par la même occasion… »

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Visas Marr
Lun 9 Sep 2024 - 18:48
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Hemi Zaoy, 17 ans, Déserteur

Minute, minute, minute… Donc elle avait sauté sur l’occasion pour pouvoir s’infiltrer plus facilement ensuite dans les réseaux mafieux ? Et son père ne s’était doué de rien, voyant là lui aussi une occasion de régler toute l’histoire sans faire de vagues ? Comment elle comptait s’y prendre pour faire avaler ça à l’armée alors qu’ils devaient bien avoir noté qu’il s’était enfui et… Et il… Rah, stop, un moment, il était complètement perdu, maintenant ! Entre son père qui jouait sur tous les tableaux et voulait le ramener, cette femme qui comptait les utiliser pour servir ses propres intérêts et s’infiltrer dans les mafias, l’Empire et les Rebelles qui s’allumaient mutuellement juste à côté, il avait l’impression de plus en plus pressante de s’être fourré dans un piège terrible. Peut-être qu’il avait agi sans réfléchir, emporté par ses idéaux. A se demander à présent jusqu’à quel point tout ça pouvait aller. Surtout, il commençait à prendre peur. A mesure que l’inexpérience venait rattraper et surmonter la témérité de l’adolescence.

« Bon, je… D’accord… »

Il avait fini par la laisser prendre son arme sans même s’en rendre compte, un détail qui ne l’intéressa que quelques secondes, cependant. Si les combats aux alentours n’étaient plus immédiatement sur eux, ça ne restait éloigné que de quelques mètres pour autant.

« Tu as une idée pour leur faire croire que j’ai vraiment été enlevé et partir de là ? »

Même s’il ne lui faisait toujours pas confiance, il commençait doucement à réaliser qu’il n’avait pas un choix très étendu. Donc si elle avait un plan… De toute façon, c’était soit la suivre elle, soit tenter seul mais se faire attraper par les impériaux ou pire encore.

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Mer 25 Sep 2024 - 9:11
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« Bon, je… D’accord… »

Quoi, il avait vraiment lâché prise comme ça, juste parce qu’elle lui avait froidement dit comment elle comptait manipuler son père pour atteindre son but ? Visas poussa un long soupir intérieur. Elle qui s’était forcée depuis des jours à tenter de paraître moins directe, plus diplomate dans son approche… Si y aller au culot fonctionnait vraiment, elle n’hésiterait pas à recommencer si ça lui permettait de gagner du temps plus tard ! Au moins, ça, c’était facile, plus naturel, sans besoin d’enrober grassement de sucre la pilule que l’on souhaitait faire digérer. Encore aujourd’hui, elle peinait à comprendre pourquoi les gens perdaient tant de temps à prendre des pincettes pour dire ce qu’ils avaient à dire. Ils perdaient tellement de temps, tout en prenant le risque de ne pas se faire comprendre… Comme elle, ici, avec le petit… Petit qui ne semblait pas plus remonté que ça qu’elle cherche à se servir de son père comme un vulgaire pion dans son jeu. Comme quoi, finalement, il ressemblait plus à son père qu’il ne le pensait. Peut-être même qu’une fois cette affaire réglée et le père satisfait, elle garderait les deux comme atouts, au cas où…

« Tu as une idée pour leur faire croire que j’ai vraiment été enlevé et partir de là ? »

Elle secoua légèrement la tête, avant de faire mine de se pencher sur le côté pour jeter un coup d’œil au raffut dehors, un doigt glissant sur le sélecteur du blaster qu’elle avait doucement arraché des mains du petit. Elle avait vraiment dû le bouleverser, pour qu’il n’ait pas pleinement saisi son plan. Soit ça, soit il était juste un peu lent. Bah, tant pis pour lui. Il avait qu’à être plus attentif. Elle lui fit face à nouveau, toujours collée au coin du mur, avec lui.

« Oui. Aie confiance, Hemi, » lui murmura-t-elle avec une froideur détonante tout en apposant le canon du blaster contre son ventre, avant de l’assommer d’un tir paralysant. « Ce sera plus simple ainsi, pour tout le monde. »

Visas rattrapa son corps avant qu’il ne tombe lourdement au sol, et le tira dans un autre coin de la pièce, où elle l’assis au sol, contre le mur.  Il ne restait plus qu’à lui passer des menottes magnétiques, comme ça, autour de ses poignets ; puis de le bâillonner avec les moyens du bord, un morceau de tissu déchiré de la manche de sa robe ferait amplement l’affaire ; Et voilà le tableau préparé, il ne restait plus qu’à passer à la suite, s’assurer que l’Empire le trouve et le ramène sur son monde natal. La partie la plus simple du plan. Elle tourna son attention vers l’extérieur pour cela, s’ouvrant à la Force pour faire l’une des choses qu’elle maitrisait le mieux. Elle toucha les esprits de plusieurs stormtroopers non loin, occupés à chasser les rebelles qui fuyaient déjà. D’abord les convaincre par un subtil mélange de suggestion et de contrôle d’avoir entendu du bruit, par ici, les attirer dans l’entrepôt.

C’était si facile, avec ces soldats là. Leur endoctrinement les rendaient certes fanatiques, mais profondément influençables. Il fut aisé de leur faire oublier jusqu’à sa présence dans la pièce, une fois qu’ils eurent enfoncer la porte et transformer la pièce en scène de guerre, après avoir découvert le gamin, bâillonné et attaché ; puis de déposer au tréfonds de leur esprit le souvenir de l’avoir trouvé aux mains de rebelles qui avaient fuis en les voyant débouler, non sans avoir tenté de l’abattre froidement. Sans succès, bien sûr, grâce à leur intervention salutaire. Entre temps, Visas les avaient laissé seuls, sortit par la porte de derrière pour se draper dans la Force ; Grimper sur les toits, pour les observer. Prête à agir, si jamais le plan ne se déroulait pas comme prévu. Quitte à les suivre, si nécessaire.

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Maquillage de crimes Visas-sign
Visas Marr
Lun 30 Sep 2024 - 9:56
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Fin de mission…

Les soldats impériaux ne sont pas parvenus à se rendre compte du subterfuge et récupèrent leur cadet sans l’accuser de trahison et désertion. Quant à Hemer Zaoy, constatant que son enfant lui est revenu vivant, en bonne santé et un seul morceau, il ne vous pose aucune question sur vos méthodes, bien trop heureux d’avoir récupéré son fils.

Vous possédez désormais un pied dans les affaires du Père Zaoy et surtout, vous pourrez profiter de ses contacts dans la mafia ou d’autres organisations. Sa confiance acquise, il vous redemandera parfois des petites missions et recommandera vos services à ses « amis », ou plutôt, ses partenaires officieux de travail.

Vous avez désormais accès à de nouvelles missions au cœur des affaires mafieuses.

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Maquillage de crimes Master10
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Jeu 31 Oct 2024 - 9:34
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