Le Deal du moment :
Cartes Pokémon 151 : où trouver le ...
Voir le deal

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Lun 3 Sep - 20:42

An eventful evening ...
Une soirée de plus, un monde de plus, une ambiance différente.

La pandémie n'était plus qu'un mauvais souvenir et ce n'était pas plus mal. La soirée était organisé cette fois ci sur Corellia, sur mon monde natal.  Je n'avais pas réellement envie de me retrouver au milieu de cette soirée, mais je n'avais pas réellement le choix d'après mon manager.

Nous étions arrivée à peine une petite heure ou deux après le début des festivités, que je pouvais pas faire un pas sans être interpeller, soit pour une interview, soit pour prendre de mes nouvelles.

Tout ces gens n'étaient ici que par pur hypocrisie, pour se faire bien voir ou pour signer des alliances avec les nobles de la cité dans le but de faire des profits non négligeable. Moi? Je n'étais ici que pour mon image de star pour mettre comme disait mon meilleur ami, une touche de beauté, de sensualité et de chic.

La soirée était sur ses débuts, car il n'y avait encore pas beaucoup d'invités, mais j'en avais déjà assez pour m'éloigner le plus possible de toute ce monde et me trouver un petit coin à l'écart pour boire tranquillement une coupe d'un alcool doré et légèrement fruité, une liqueur à mon avis, qui était vraiment divine pendant que mon regarde balayait les allées et venues dans la salle

Dans mon petit coin tranquille, je pouvais passer pour invisible et souffler légèrement même si mon manager ne semblait pas ravie que je me cache. Nous étions tout les deux par contre très bon ami, car c'était un rebelle comme mon frère. Lui adressant un grimace discrète, je posais ma coupe vide sur le plateau d'un serveur qui passait par là et alla me trouver un cavalier pour une danser, histoire de faire bonne mesure.


Miss Staflare, un plaisir de vous voir à cette soirée. M'accorderiez vous cette dance?me demanda un jeune homme de la marine impérial d'après sa tenue.

Je me demandais bien ce qu'un impérial pouvait faire ici, mais soit, ce n'était pas mes affaires


Si cela peut vous faire plaisir je lui adressais un léger sourire polie et lui tendis ma main qu'il se saisit pour nous entraîner avec d'autre cavaliers sur la piste.

Ce n'est pas ce que j'avais espérer à l'origine. Je voulais revoir Soontir, j'avais besoin de lui parler et de lui demander son aide. Parler avec Wedge était pour le moment trop risqué et cela pourrait le faire arrêter, puis il me devait bien cela pour l'avoir aidé à fuir l'Empire. Tout ce que j'espérais, c'était qu'il soit arrivé à s'incruster ici sans se faire voir



©️ CN.JUNE, NEVER UTOPIA
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
Invité
Invité
Dim 16 Sep - 16:51
Le corps du type fut évacué rapidement, laissant derrière un mélange de défiance, de soulagement et d’un peu de colère. C’était le troisième espion qu’on dénichait en moins d’un mois, par contre, celui-ci n’appartenait pas l’Empire. Plutôt un mercenaire engagé par un groupe de pirates espérant trouver d’autres moyens de se faire du beurre sur le dos des insurgés. Soontir le suivit du regard un moment, assis sur le cockpit de son appareil, puis haussa un peu les épaules en reprenant ses réparations. C’était le nerf de la guerre, il fallait bien vivre avec ! Penché sur son travail, il put rester seul en compagnie de ses pensées durant un long moment encore avant qu’un bip de son comlink ne lui fasse relever la tête. Oh oui, l’heure approchait. Il s’essuya rapidement les mains puis sauta à terre, pour aller se préparer.

Revenir sur Corellia, même dans des circonstances pareilles, faisait un bien fou au moral, sans compter qu’il y avait de nombreuses zones, dans les bas-fonds, où ils pouvaient se promener à l’air libre sans crainte d’être vendus par l’Empire, la mentalité ici faisant que leurs compatriotes étaient fiers de voir certains des leurs pris en chasse par l’Empire, fier de les voir combattre l’ennemi déclaré et prêts à les aider. L’ex-soldat impérial n’avait pas essayé de contacter, cependant, ni son père, ni ses amis d’enfance, ni personne sur cette planète, à part deux ou trois personnes très ciblées. Il ignorait complètement ce qu’était devenu son père et n’avait pas l’intention de le revoir, à la fois parce qu’il ne voulait pas l’impliquer dans ses problèmes et à la fois parce qu’il était convaincu que l’homme était aussi sous la surveillance discrète de l’Empire, au cas où. C’était comme ça… Une fois dans la rébellion, la famille devait être maintenue à l’écart autant que possible.

Une fois prêt pour son autre « mission », il emprunta un vieux trajet, depuis les bas-fonds, pour passer vers la ville haute sans être repéré. Se déplacer sans se faire voir et en prenant garde aux espions était devenu une habitude, l’appréhension et la sensation d’avoir une cible collée en permanence dans le dos avaient fini par lui passer. Il se souvenait encore du jour où il avait trahi l’Empire la première fois, avec le petit Padawan, le stress intense causé, la peur d’être découvert… Au fil des mois, ça lui était passé, comme lui avait affirmé Wedge. On s’habitue à tout, même d’être un traître. Il sourit faiblement à cette idée, ralentissant un peu en arrivant aux quartiers plus fréquentés. Même si Corellia était un terrain « plus favorable », il y avait des espions partout. Se glisser à bon port lui prit du temps, ne pas se montrer était une urgence presque vitale.

Devoir rester caché tel un criminel, sur sa propre planète natale, voilà qui était ô combien merveilleux. Soontir resta un moment derrière un long rideau d’un rouge âcre, attendant le moment propice. Le manager de la jeune femme lui avait fait transmettre le message et à son arrivée dans la soirée, il lui avait fait chercher Wynssa pour lui dire qu’un homme l’attendait pour une interview. Une excuse simple mais crédible, dans un tel contexte. Lorsqu’elle arriva, il se mit légèrement dans la lumière pour lui faire signe puis l’attira rapidement dans les membres et les profondeurs des multiples rideaux de la décoration.

– Vous avez eu des ennuis avec l’Empire ? chuchota-t-il en lui tenant les mains. Que s’est-il passé, que vous ont-ils dits ?
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
Invité
Invité
Dim 16 Sep - 17:33

An eventful evening ...
J'enchaînais plusieurs danses, désespérant un peu plus de le voir. Pour éviter une autre danse, je feignis de vouloir m'éloigner pour me rafraîchir et me refaire une beauté et cela me permis de m'éclipser tranquillement.

C'était un piètre mensonge, mais au moins cela suffirait à avoir la paix et me permettre de souffler quelques instants. A mon retour, on m'indiqua la présence d'un journaliste qui avait besoin de moi


]Je suis désolé, je vais devoir vous abandonner un petit moment, on a besoin de ma présence pour la presse

Souhaitez-vous être accompagné ?

Ho non, profitez pour vous amuser. Je n'en aurais pas pour longtemps


Suivant mon manager vers un petit salon à l'état, je souris de soulagement de revoir Soontir. Il avait bien changé depuis notre rencontre sur Manaan, il y avait plusieurs moi de cela maintenant. Me laissant tomber sur un canapé, j'entrepris de lui répondre


Oui, je suis surveillé par les bureaux impériaux. L'Empire sait maintenant que je suis la dernière personne à vous avoir vue après Manaan. Le lieutenant Lancot, m'a proposé un pseudo aide, mais pour moi tout cela est un mensonge et une manigance certaine pour savoir si je suis encore en contact avec mon frère ou vous voir d'autres rebelles.  C'était compliqué de la jouer finement pour ne pas trop en dire, mais aussi pour en savoir en retour

Je plongeais mon regard dans celui qui était un ami et un formateur pour mon frère, un regard las, épuisé et remplie de peur et d'incertitude

J'ai peur Soontir, je ne peux plus rester au milieu de l'Empire


©️ CN.JUNE, NEVER UTOPIA
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
Invité
Invité
Mer 19 Sep - 13:17
L’Empire s’était plus soucié de cette enquête que ce qu’ils avaient tout d’abord cru… Avec tous les problèmes en ce moment, toutes les personnes recherchées, toutes les nouvelles menaces identifiées, les rapports de force de nouveaux bouleversés, la galaxie dans un sale état suite à la pandémie, Soontir avait sincèrement cru que leurs ennemis auraient autre chose à faire qu’à se soucier de qui avait bien pu aider un petit sergent de la Flotte à déserter. Quel besoin avaient-ils d’insister ainsi ?! Des pilotes disparaissaient tous les jours ! Si encore il était haut gradé, mais non, même pas ! Il s’assit à son tour sur le canapé, près de Syal, soucieux en voyant son air. Wedge avait beau dire que sa sœur était forte, il y a tout de même des choses plus dures à encaisser pour les civils. Il ne la croyait pas faible, elle n’en serait pas là sinon, mais il ne comptait pas qu’elle se mette toujours autant en danger.

– Le lieutenant Lancot, m'a proposé une pseudo aide, mais pour moi tout cela est un mensonge et une manigance certaine pour savoir si je suis encore en contact avec mon frère ou vous, voire d'autres rebelles. C'était compliqué de la jouer finement pour ne pas trop en dire, mais aussi pour en savoir en retour.

Forcément… Lancot, il n’avait jamais entendu ce nom-là, lorsqu’il était en service, même si ce n’était en soi pas si étonnant. Ce devait être un des officiers du BSI… Non, plutôt du BRI. C’était plus eux qui étaient chargés de surveiller les civils, les faire parler et obtenir des informations, il serait plus logique que ce soit cet organe de l’Empire qui ait hérité de l’enquête. Le Bureau de Renseignement Impérial avait une réputation aussi douteuse que celle du Bureau de Sécurité Impériale, l’un comme l’autre était le genre qu’on préférait savoir le plus loin possible de soi, leurs méthodes d’un autre âge n’incluaient pas le respect de la vie, ni le respect tout court, d’ailleurs. Leurs membres étaient comme des poisons terrorisant autant les Impériaux que les Civils, même si le BRI avait des effectifs beaucoup plus réduits que ceux de leurs confrères en blanc. Ils agissaient dans l’ombre, là où le colonel Yularen et ses troupes avaient des réputations aussi sordides que très solides.

Par ailleurs, Soontir ne pensait que le BSI se soucie, actuellement, de ce genre d’affaires, ils étaient, disons… très occupés. Une nouvelle purge, de grande ampleur cette fois-ci, était actuellement à l’ouvre dans les rangs Impériaux, on ignorait encore qui était ciblé et pourquoi, ils savaient juste que les oiseaux blancs de mauvais augure étaient en ordre de bataille, sous la coupe du colonel, sûrement avec le soutien de Tarkin, pour accélérer les choses. Sachant que Yularen et ses hommes pouvaient tomber sur n’importe qui, simples soldats comme grands amiraux, autant dire que l’air était très lourd. L’angoisse et les doutes qu’il pouvait lire dans les yeux de Syal étaient les mêmes que ceux aperçu dans les yeux de très nombreux officiers. S’il écoutait, et écoutait ses impulsions, il « l’enlèverait » bien, ici et maintenant… Il ne pouvait pas la forcer vers une voie, par contre, il pouvait lui montrer ce qu’elle pouvait faire.

– J'ai peur Soontir, je ne peux plus rester au milieu de l'Empire.

– Rien ne vous y oblige. Écoutez…

Il lui prit les deux mains pour les serrer entre les siennes, pour lui prodiguer un peu de réconfort mais aussi lui montrer qu’elle n’était pas seule. Il ne l’avait jamais perdue de vue, depuis qu’ils s’étaient quitté la dernière fois, elle pour revenir à sa vie, lui pour suivre les Rebelles dans une toute nouvelle existence. Et aujourd’hui, si elle le souhaitait, ces voies pouvaient se rejoindre.

– L’Empire ne vous lâchera plus, s‘il est sûr que vous m’avez aidé. Vous pouvez fuir, vous aussi… Partir avec moi ce soir, maintenant, et laissez tous les espions du monde derrière vous. Par la suite, vous pourrez soit vivre tranquillement sous une nouvelle identité, sur une planète loin des griffes Impériales, soit participer à la vie de la Rébellion, vous êtes actrice avant tout, donc un atout pouvant être précieux. Et puis, vous…

Il s’interrompit un bref instant, sentant ses joues habituellement pâles se colorer un peu. Il ignorait comment ajouter la suite, agissant sans y réfléchir, suivant ce que lui dictait son cœur sur le moment. Comme à chaque moment de sa vie, en réalité, d’abord suivre son instinct plutôt que sa tête. Cela lui avait joué des tours plus d’une fois mais ça n’avait aucune importance.

– Je peux vous aider et vous protéger. L’Empire ne vous vaut plus rien. Vous pouvez laisser tomber Wynssa Starflare pour redevenir Syal Antilles.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
Invité
Invité
Mer 19 Sep - 13:53

An eventful evening ...
Tout ce stress, toute cette fatigue m'épuisais de plus en plus, rendant mes nuits difficiles et souvent blanche.

Depuis la venue de ce Lieutenant, ma vie était devenue compliqué, il fallait toujours que je reste sur mes gardes pour éviter de commettre une erreur. Ne pas rester? Comment? Quoi faire? Où aller? Etre actrice était ma vie, c'était mon plus grand rêve, mais un rêve qui m'avais éloigné de ma famille, et de mon frère.

Encore change de vie? Encore mentir? Encore se cacher? Je faisais cela depuis plus 20 ans maintenant et non, je ne voulais plus de ça.


Justement, je suis actrice. Je ne sais rien faire d'autre d'ailleurs Soontir que divertir les gens, les faire rêver. Me faire passer pour une femme superficielle et stupide aussi pour arriver à mes fins est pratique aussi; mais je ne veux plus me cacher encore... Cela fait longtemps, 20 longues années maintenant


Je ne pouvais pas partir ainsi sans réfléchir, même si l'envie était tentante, on me ferait rechercher. Soupirant longuement, je profitais de la proximité de Soontir et posa ma tête sur son épaule. Son réconfort me fis beaucoup de bien


Si, l'Empire veut savoir si je suis toujours en contact avec vous deux, Wedge et vous même. Cependant, je peux parfaitement prendre ma retraite tranquillement, même si cela me fais mal d'abandonner ma carrière et le rêve de toute une vie. Beaucoup feraient le lien entre Wedge et moi si je reprenais mon nom d'enfance et la, je serais réellement en danger pour de bon


Fermant les yeux, la présence de Soontir à mes cotés était apaisante et me faisais du bien. Cependant, savoir que je devais abandonner quelque chose que j'aimais plus que tout me fis mal au cœur et j'eus du mal à retenir quelques larmes de tristesse


©️ CN.JUNE, NEVER UTOPIA
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
Invité
Invité
Lun 1 Oct - 7:31
– Justement, je suis actrice. Je ne sais rien faire d'autre d'ailleurs Soontir que divertir les gens, les faire rêver. Me faire passer pour une femme superficielle et stupide aussi pour arriver à mes fins est pratique aussi, mais je ne veux plus me cacher encore... Cela fait longtemps, 20 longues années maintenant.

La vraie question, cela lui, était la suivante : avaient-ils vraiment le choix, dans une telle époque ? Beaucoup en avaient assez de ce genre de vie et ils continuaient parce qu’ils n’avaient pas le choix, tout simplement. C’était… comme ça, voilà tout, tant que l’Empire sera là, et la Rébellion à les combattre, ils devront faire avec. Même si Soontir n’était toujours pas sûr qu’un Empire soit vraiment le pire choix possible, bien qu’il était convaincu que Palpatine, lui, était une horreur sans nom, il ne pensait pas qu’ils puissent faire cohabiter tout le monde sans tueries de masses ni ce genre de choses, malheureusement. Pas encore, en tout cas ? Il passa un bras autour des épaules de Syal, lorsqu’elle posa la tête contre son épaule, en silence pour le moment. Réconforter vraiment les gens, ce n’était pas ce qu’il savait faire de mieux. Lorsqu’on était plongé en pleine guerre, difficile de mettre en valeur les rares points positifs.

– Si, l'Empire veut savoir si je suis toujours en contact avec vous deux, Wedge et vous-même. Cependant, je peux parfaitement prendre ma retraite tranquillement, même si cela me fais mal d'abandonner ma carrière et le rêve de toute une vie. Beaucoup feraient le lien entre Wedge et moi si je reprenais mon nom d'enfance et là, je serais réellement en danger pour de bon.

Pour les affaires de famille et les ennuis qu’on pouvait causer à d’autres par la mention d’un simple nom, ça Soontir savait maintenant les dégâts que ça pouvait faire, malheureusement. Et même s’il était rageant que des personnes soient impactées par les faits et gestes commis par d’autres membres de leur famille, qu’ils soient bons ou mauvais, ils n’y pouvaient pas grand-chose, mis à part serrer les dents et vivre avec. Wedge avait choisi la voie qui lui était la plus juste, il n’aurait pu supporter demeurer dans l’Empire. Soontir fouilla un instant la poche de la veste de soirée qu’il avait dû enfiler, trouvant au bout d’un court instant un mouchoir propre dont il se servit pour essuyer les joues de Syal. Evidemment, il ne pouvait pas lui dire que tout ira bien, en revanche, elle comme lui pouvaient faire en sorte que ça se passe du mieux possible. Elle n’était pas, par bonheur, une cible prioritaire de l’Empire.

– Nous sommes tous en danger, de toute façon, peu importe le nom qu’on porte, même si certains sont plus crispants que d’autres. Sur Corellia, dans une large partie de la ville, tu ne risques rien à te faire appeler Antilles, bien au contraire. Tu n’es pas isolée, les Corelliens sont solidaires entre eux. Tu le sais déjà, non ?

Il lui adressa un sourire un peu tremblotant, puis changea de position pour la prendre mieux que ça dans ses bras et la serrer contre lui, dans l’espoir de plus la consoler. Cette sensation-là, il la connaissait très bien… Être à la fois perdu et conscient de ce qu’on a à faire, ne pas avoir envie de tout quitter tout en sachant que l’on n’a plus vraiment le choix, ne plus pouvoir affirmer de quoi l’avenir sera fait.

– L’Empire ne va plus te lâcher, Coruscant est dangereux, pour toi ? Tu pourrais rester sur Corellia, au moins un moment, le temps que les choses se tassent, pousser les Impériaux à croire que tu ne veux plus te mêler à tout ça, qu’ils se désintéressent de ton cas. S’il faut les agiter ailleurs, Wedge ou moi, pour détourner leur attention, ce ne sera pas bien compliqué.

Un petit rire nerveux lui échappa, alors qu’il prononçait cette dernière phrase. L’Empire était étonnamment facile à attirer là où on le souhaitait, même si on n’en avait pas connu les rouages intérieurs. Sans oublier que les nerfs étaient encore très à vif, après la pandémie.

– Si je connaissais une planète où je serai certain que tu vivrais en paix et comme tu en as envie, je t’y conduirais tout de suite. L’Empire est partout.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
Invité
Invité
Lun 1 Oct - 10:44

An eventful evening ...
Sa présence à mes cotés me fis beaucoup de bien et empêcha les larmes de couler, bien que cela soit très dur. Je me demandais si un jour, cette guerre allait finir, si nous allions pouvoir reprendre notre vie, mais j'avais de réel doute maintenant.

Tous en danger? Oui, mais certain plus que d'autres, c'était certain, mais d'un autre coté, je refusais d'attirer des ennuis à mon frère. Je lui adressais un sourire triste lorsqu'il effaça les rares larmes qui s'étaient finalement échappé


Tu sais très bien qu'à cause des pitoyables dirigeants de Corellia, cette planète est surveillé de près par l'Empire, que son peuple soit soudé n'y changera rien. Tout le monde sait ici qui je suis, j'en suis même fière, mais si je prend trop de risques, Wedge s'en voudrait réellement


Soupirant d'aise, je calmais doucement mon chagrin et ma peine. Il y avait des moments dans une vie, où il fallait faire des choix et c'était mon cas maintenant. Quitter ma passion pour me battre, je ne pouvais pas rester à rien faire

La capitale, nous l'évitons depuis plusieurs semaines le plus possible. Quant à vous voir risquer votre vie tout les deux alors que je ne fais rien? Il n'en est pas question. Je vais leur annoncer à cette soirée mon départ du monde du spectacle, inventer un mensonge bien ficeler ainsi pouvoir être un peu plus libre de mes mouvements. Après tout je suis une femme, et j'ai très envie de faire une pause dans une vie de stress et de folies pour vouloir fonder une famille et me marier
souriais-je espiègle

Pourquoi leur offrir des facilités, quand on pouvait compliquer la vie de l'Empire? C'était tellement plus intéressant et depuis la pandémie, je ne voulais plus rester loin de mon frère, car je n'ai plus que lui au monde. Mais je refusais de me cacher, de devoir attendre que mon frère et Soontir se battent pour la paix

Avec la pandémie, je ne veux plus rester loin de mon petit frère, il est tout ce qu'il me reste de notre famille. Vivre librement sans me battre? Tu me vexes vraiment. Je peux très bien obtenir des informations, après tout, je suis doué pour faire parler les hommes, autant que cela serve et soit utile aux rebelles. Où alors je peux m'occuper des enfants, j'ai une base de médecine aussi ou alors m'occuper de nourrir tout ce petit monde, je me défends en cuisine mais ne me demande pas de ne rien faire


©️ CN.JUNE, NEVER UTOPIA
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
Invité
Invité
Ven 5 Oct - 7:20
L’Empire était partout, soit, mais ça n’empêchait pas que des endroits pouvaient être plus « sécurisés » que d’autres, grâce au peuple y vivant, à des insurgés ou simplement des bases dissimulées pouvant servir de refuge. Trouver une planète viable, neutre, éloignée de tout danger et de l’Empire, ça, par contre… Pas bien simple. Peut-être dans l’Espace Sauvage ? Lees impériaux ne pouvaient que peu y être. Ce n’étaient pas des régions qu’il connaissait beaucoup, il n’y avait presque jamais été, et les planètes comme Lysatra, tristement célèbre aujourd’hui, lui avaient toujours été parfaitement inconnues. Il secoua très légèrement la tête puis serra un peu plus fort Syal contre lui, pour la calmer. Il sentait qu’elle commençait à se détendre un petit peu, même si ce n’était pas encore vraiment ça. Ne pas avoir de famille était sans doute plus simple mais aussi beaucoup plus insupportable.

– La capitale, nous l'évitons depuis plusieurs semaines le plus possible. Quant à vous voir risquer votre vie tout les deux alors que je ne fais rien ? Il n'en est pas question. Je vais leur annoncer à cette soirée mon départ du monde du spectacle, inventer un mensonge bien ficelé ainsi pouvoir être un peu plus libre de mes mouvements. Après tout je suis une femme, et j'ai très envie de faire une pause dans une vie de stress et de folies pour vouloir fonder une famille et me marier.

C’était sûr que l’Empire allait gober ça sans aucun problème, surtout avec tous ces vieux schnocks aux idées rétrogrades. Fonder une famille dans une galaxie en pleine guerre, ça, pouvait-on vraiment se le permettre ? Lui, en tout cas, voudrait des enfants, même s’il continuait à combattre, il avait véritablement envie d’être père, avoir des petits bouts à protéger, éduquer et aimer. On pourrait ne pas le croire mais il s‘attachait vite aux enfants. Comme le petit Nuru, qu’il n’avait pas pu revoir depuis déjà longtemps… Son regard glissa sur le bracelet qu’il portait toujours au poignet, même si ça lui avait valu quelques ennuis. D’accord, cet enfant, ce n’était pas le sien, mais il s’y était attaché, que vouliez-vous ? Assez attaché pour être sûr que la prochaine fois qu’il le verrait, il lui sauterait dessus pour lui faire un énorme câlin.

– Avec la pandémie, je ne veux plus rester loin de mon petit frère, il est tout ce qu'il me reste de notre famille. Vivre librement sans me battre ? Tu me vexes vraiment. Je peux très bien obtenir des informations, après tout, je suis douée pour faire parler les hommes, autant que cela serve et soit utile aux rebelles. Ou alors je peux m'occuper des enfants, j'ai une base de médecine aussi ou alors m'occuper de nourrir tout ce petit monde, je me défends en cuisine mais ne me demande pas de ne rien faire.

– Agir, c’est une chose, mais si tu m’avais dit vouloir prendre les armes et aller sur le terrain, là, je n’aurai pas apprécié. Et Wedge non plus.

Un bruit sourd se fit tout à coup entendre à l’extérieur et il rapprocha plus vivement Syal de lui par réflexe, l’entourant mieux de ses bras pour la protéger puis guettant les mouvements. Mais ça en devait être qu’un qui avait dû faire tomber il ne savait quoi, car il entendit quelques voix jurer, sur des tons agacés ou las, rien qui indique l’interruption soudaine de toute une troupe de stormtroopers venus les arrêter. Pas qu’il craignait de se battre, mais avec Syal ici, elle pourrait facilement être blessée. Il s’excusa, en la relâchant un peu, lui reprenant les mains entre les siennes ensuite. Soontir devait bien avouer qu’il était devenu plus paranoïaque qu’il ne le devrait, depuis son intégration dans l’Alliance Rebelle.

– Annoncer comme ça, platement, que tu quittes tout ce soir paraîtrait louche. Mieux vaut d’abord lancer la rumeur, attendre un peu qu’elle enfle, puis enfin faire une annonce officielle. Que ça n’apparaisse pas comme une véritable fuite, sinon tu aurais un paquet d’espions à tes trousses le soir même. Tu le sais bien, c’est ce que j’ai fait avec toi, l’Empire était au courant une heure après.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
Invité
Invité
Ven 5 Oct - 8:58

An eventful evening ...
Il ne semblait pas comprendre mon besoin d'être utile, enfin, je pouvais toujours me tromper. Son commentaire me fis légèrement sourire, mais c'était agréable de se savoir protéger.

Je serais plus encombrante qu'autre chose sur le terrain, mais j'ai des talents qui peuvent être utile à l'arrière et c'est une façon comme autre d'agir en soutenant vos arrières.

Je ne pouvais pas me résoudre à vivre à l'arrière, attendant qu'un camp ou l'autre l'emporte. L'Empire pour le moment dominait tout le monde avec sa super armes donc c'était compliqué si l'on ne voulait pas finir comme Manaan.

Soontir resserra son étreinte comme pour me protéger à cause d'un bruit sourd dans le couloir, mais rien ne sembla se produire, ce n'était pas plus mal. Il était vraiment sur les nerfs et très tendu, il faudrait qu'il relâche la pression un peu, surtout que nous étions parfaitement protégé.


Le service de protection compte des alliés, donc tu peux te détendre un peu

Non, je n'allais pas abandonné dès ce soir, ce genre de chose devait se préparer et ne pas se faire n'importe comment. J'avais déjà les bureaux sur le dos, pas besoin de rajouter plus, surtout de façon aussi bête.

Je te fais la promesse d'agir plus finement que cela et de laisser la rumeur prendre de l’ampleur avant. Par contre, si j'étais vue en compagnie d'un homme pour donner le change, cela permettrait de donner une base crédible à ce mensonge. Connais-tu quelqu'un qui puisse se prêter au rôle du faux petit ami ?

©️ CN.JUNE, NEVER UTOPIA
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
Invité
Invité
Sam 17 Nov - 10:55
Difficile de rester détendu lorsqu’on se trouvait isolé de ses alliés et surtout lorsqu’on était à terre. C’était comme ça, Soontir ne se sentait parfaitement à l’aise et en sécurité que lorsqu’il était aux commandes d’un chasseur, s’il devait se trouver dans d’autres situations et défendre sa vie, et celles des autres, avec de simples armes, il n’était pas très confiant. En vol, c’était différent, il se sentait… beaucoup plus serein, plus vivant, prenant des risques souvent inconsidérés sans avoir peur. Un peu comme une seconde personnalité, qui ne se dévoilerait que lorsqu’il volait dans l’espace. Expliquer ça le ferait sans doute paraître pour un parfait cinglé, aux yeux d’une personne non-initiée, aussi ne dit-il rien, se contentant de relâcher un peu la sœur de Wedge. Seul, il se soucierait moins de ce qui pourrait se produire, en revanche, il n’avait envie qu’il lui arrive du mal. Ni à elle, ni à d’autres auxquels il tenait.

Une fois entré dans la Rébellion, Soontir avait retrouvé pas mal d’anciens élèves ou de connaissances, dans un nombre bien plus important qu’il ne l’avait d’abord cru. Certains étaient déjà Rebelles depuis des années, d’autres avaient quitté l’Empire après la destruction de Manaan. Tous les officiels impériaux, et encore moins Tarkin, ne réalisaient pas à quel point ce coup-là avait fait du mal à leur image et poussé tant de personnes à la désertion. Et s’il n’y avait que ça ! Parlant de Tarkin, tiens, beaucoup de son équipage personnel s’étaient enfuis après avoir dû côtoyer un « monstre ricanant », qui menaient des expériences bizarres. Un Sith, sans doute, très certainement. Ceux-là n’en parlaient jamais longtemps, ils en étaient encore effrayés, à se demander ce qu’ils avaient vu pour décider si brusquement de s’enfuir. Les Rebelles avaient accueillis ces renforts à bras ouverts, bien évidemment.

– Je te fais la promesse d'agir plus finement que cela et de laisser la rumeur prendre de l’ampleur avant. Par contre, si j'étais vue en compagnie d'un homme pour donner le change, cela permettrait de donner une base crédible à ce mensonge. Connais-tu quelqu'un qui puisse se prêter au rôle du faux petit ami ?

– Mmh, oui, mais je vais être jaloux.

Il lui sourit, à peine plus détendu, cela ira bien mieux lorsqu’il sera sûr qu’elle sera loin de l’Empire, hors de portée du BRI et de tout ce qui va avec. Après, combien de temps tous allaient devoir rester cachés, c’était la grande question… Il se pencha pour l’embrasser longuement sur le front et lui redire d’être prudente, qu’elle n’avait encore qu’un moment à passer à jouer la comédie face à tous ces officiels, avant d’être en sécurité. Puis, se taisant, il pencha encore un peu la tête et l’embrassa doucement sur les lèvres, presque hésitant, car il ignorait si elle allait le rejeter.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
Invité
Invité
Sam 17 Nov - 12:47

An eventful evening ...
Il était protecteur, autant que mon frère, c'était une sensation des plus agréable. Pouvoir compter sur quelqu'un même de loin faisait beaucoup de bien, savoir que quelqu'un pouvait vous aider quoi qu'il arrive. J'étais heureuse de pouvoir compter sur lui, sur sa présence.

Depuis le bal, il m'arrivais parfois de penser à Soontir et savoir qu'il était devenue plus libre en devenant rebelle, de lui avoir ouvert les yeux et aider à fuir avait été une réelle joie pour moi. Certes, cela m'avais attiré des ennuis, mais jamais je n'aurais regretté mon geste.

Puis, il y a eus la pandémie, et là mon besoin de rester loin de ma famille était parti, envolé en fumée, car j'aurais perdu mon frère ou Soontir sans jamais les revoir et je m'en serais voulue toute ma vie.

Il valida mon idée, mais je ne comprenais pas vraiment pourquoi il était jaloux. Je le fixais d'ailleurs avec un certain étonnement. Bien que toujours nerveux, son sourire lui donna un certain charme .


Pourquoi serais-tu jaloux ?

La douceur et la chaleur procurer par son simple baisé sur mon front, me fis légèrement rougir. J'ignorais qu'il s'était attaché à moi de cette façon, surtout que l'on ne se connaissait vraiment que très peu. Avant d'avoir réussi à lui jurer que je serais prudente, que je ferais attention à moi, ses lèvres se posèrent sur les miennes, douces, chaudes, caressantes. Mes joues finirent par prendre une belle teinte rouge alors que je sentie mon cœur explosé de joie et de bonheur, bien que son baisé soit léger et hésitant.

Je comprenais maintenant le pourquoi de sa jalousie face à l'évocation de mon plan et cela me fis sourire


Même si j'en ai très envie, je ne peux pas pour le moment te faire passer pour mon compagnon.


Pour appuyer mes dires sur l'envie qu'il soit mien, je l'embrassais à mon tour


©️ CN.JUNE, NEVER UTOPIA
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
Invité
Invité
Dim 9 Déc - 17:33
Elle ne le repoussa pas, contrairement à ses craintes initiales lorsqu’il avait osé se pencher sur elle pour l’embrasser. Mieux encore, il la vit rougir doucement et fermer un instant les yeux à son tour, sans faire mine de reculer ou d’avoir un geste pour le repousser, dégoûtée. Soulagé, il s’écarta malgré tout assez vite, le coeur battant plus rapidement que de coutume, pour mieux l’observer. Ce n’était évidemment pas la première fois qu’il embrassait une femme mais c’était en revanche la première fois qu’il avait eu autant peur de se faire repousser. La toute première petite amie qu’il avait eu avait été très différente de Syal et il n’avait pas été bien loin avec elle, n’ayant jamais ressenti de déception en étant repoussé. C’était différent, voilà tout, on côtoyait beaucoup de femmes avant de réaliser qu’une parmi elle pouvait être la bonne.

– Même si j'en ai très envie, je ne peux pas pour le moment te faire passer pour mon compagnon.

Ce « pour le moment » pouvait lui laisser bon espoir pour la suite ? Il lui sourit à son tour et referma les yeux lorsqu’elle approcha d’elle-même pour l’embrasser, envahi par l’odeur légère de son parfum. L’idée qu’il était en train d’embrasser la grande sœur d’un de ses anciens élèves l’effleura un très bref instant avant de s’évanouir, tout concentré qu’il était sur la douceur des lèvres de la jeune femme. Il l’entoura de ses bras pour la rapprocher de lui, mettant maintenant maintenant plus de passion dans cet échange, plus d’envie, aussi. La guerre et les problèmes pouvaient bien attendre une heure ou deux, comme le reste de la galaxie… Il avait presque peur de la briser en deux, dans sa robe de soirée, alors même qu’il savait qu’elle était forte et qu’elle avait un mental hors-norme. Il reprit son souffle un instant avant de continuer à l’embrasser, puis la serrer dans ses bras, le visage niché contre son cou.

– J’y pense depuis le jour où tu es soudainement apparu dans ma vie, avoua-t-il. Je ne veux pas qu’il t’arrive de mal, surtout si c’est parce que tu m’as incité à laisser l’Empire de côté.

Elle lui avait déjà promis d’être prudente mais tant qu’il ne la saura pas vraiment à l’abri chez les Rebelles, difficile d’avoir l’esprit en paix. Si lui-même ne se souciait pas particulièrement des ennuis personnels qu’il pouvait s’attirer, il s’en voulait toujours d’en donner aux autres. Et en parlant d’ennuis, ils devaient rester prudents, les gens allaient commencer à se poser des questions, à la fête, si Syal disparaissait trop longtemps, surtout avec un Empire autant sur les dents, à Corellia. Il s’obligea donc à la relâcher et remit un peu en place la tenue qu’il avait dérangé, par automatisme.

– Les invités vont finir par se demander si tu n’as pas été kidnappée, sourit-il. On doit rester prudents. Lorsque tu seras loin de tout ça, en sécurité… Je voudrai passer du temps avec toi plus sereinement.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
Invité
Invité
Lun 10 Déc - 8:11

An eventful evening ...
J'étais heureuse de savoir que mes sentiments pour Soontir m'était retourné. J'avais enfin l'espoir de créer peut être quelque chose d'autre à coté de cette vie folle d'actrice.  A partir de maintenant, j'avais une raison de redoublé de prudence, ne serais-ce que pour le revoir à nouveau un jour prochain.

Je te promet de redoublée de prudence pour avoir la possibilité de te revoir très vite. Dans un mois tout au plus je serais partie, le temps de mettre tout en place convenablement  


Je ne voulais pas retourner à cette fichue soirée, mais rester avec lui tout simplement. Un caprice de star? Peut être.. Ou bien peut être juste l'envie d'être moi même pour quelques heures et pas quelqu'un que l'on attendait de voir. Kidnappé ? Si seulement je pouvais l'être par ses soins cela réglerait tout les problèmes rapidement, ou ne les ferait qu'empirer. C'était moitié, moitié  dans les deux cas

Laisse moi reste juste encore un peu s'il te plait, je ne suis pas très pressée à l'idée de retourner voir tout ce petit monde soupirais-je tristement. De toute façon, j'en ai toujours pour des heures avec un journaliste donc c'est l'excuse parfaite

Lui caressant tendrement la joue, je l'embrassais à nouveau

Je serais ravie de passer un peu de temps avec toi, juste toi et moi sans le moindre soucis qui pèsent sur le cœur


©️ CN.JUNE, NEVER UTOPIA
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
Invité
Invité
Sam 12 Jan - 12:25
Encore un mois, c’était à la fois très court et suffisant, largement, pour s’attirer des ennuis à tout va. Enfin, Wynssa était beaucoup plus prudente que lui et il le savait très bien, même si au fond, ce n’était pas très difficile. En un mois, il était capable de s’attirer une montagne d’ennuis en tous genres, des gros, des petits, des moyens, des dangereux ou non, risquer sa vie le matin puis le soir, puis recommencer le lendemain sans avoir jamais pu apprendre ce qu’était l’instinct de survie. Si elle-même agissait ainsi, il en deviendrait fou d’inquiétude, pourtant. Il lui sourit lorsqu’elle répondit ne pas être pressée de retrouver tout le monde, comprenant ça à la perfection, puis referma les yeux lorsqu’elle posa une main sur sa joue et l’embrassa. Et dire qu’il avait eu peur de se prendre une gifle monumentale à la place…

– Je serais ravie de passer un peu de temps avec toi, juste toi et moi sans le moindre souci qui pèsent sur le cœur.

– Mmh, des soucis, il y en aura toujours, ça n’existe pas, une galaxie sans soucis. Mais tant qu’on n’a pas de soucis genre un BSI trop collant ou un BRI qui vous suit partout comme un parfait petit chien, la vie est tout de même belle, non ?

Même sur ce genre de sujets, rester sérieux lui était trop difficile et il éclata de rire en imaginant les agents du BRI courir en meute derrière eux dans la nuit en essayant de les attraper. En fait, il n’était sérieux, enfin au maximum, que lorsqu’ils étaient au commandes d’un vaisseau ou d’un chasseur, en-dehors de ça, pas tellement. Bien sûr, il y avait des cas plus graves le nécessitant mais celui-ci n’en était pas un. Mais allez… Il s‘installa un pue mieux dans la causeuse puis attira Wynssa contre lui pour un câlin, espérant la faire sourire, au moins un peu. Et puis, c’était, la vie était belle, quand elle voulait bien. Des guerres et des problèmes, il y en aura toujours, autant en prendre leur partie.

– D’ailleurs, je ne t’ai pas demandé, comment sont venus les services de renseignement vers toi ? Qui a su, pour notre départ de Manaan ? Si nous avions été repérés, on nous aurait arrêtés aussitôt. Tu connais, exactement, qui es derrière toi ?
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
Invité
Invité
Dim 13 Jan - 10:57

An eventful evening ...
Oui il serait compliqué de trouver un lieu calme, mais ce n'était pas impossible de réussir du moment que personne ne savait où nous allions aller tout les deux

Limité alors les ennuis, devrait être possible. Quant au fait de ne pas être trop collé par un agent des bureaux, c'est une autre histoire j'en ai bien peur

Je souris légèrement de le voir rire légèrement face à cette situation. Moi qui avait l'habitude d'être suivie par des fans, c'était compliqué avec des impériaux. Comment en étais-je arrivé à être suivie de la sorte? Pas très compliqué en soit

Je suis la dernière personne à avoir été en contact avec toi lors du bal, donc ils ont déduis que j'étais responsable de ta fuite. Ajoute le fait que je sois aussi la sœur aîné de Wedge, donc tu as déjà une bonne raison. De plus, en  la jouant finement avec ce Lieutenant Lancot, j'ai réussis à savoir que l'on me surveillais, mais toi aussi par ce biais, de même que les rebelles. Tu comprends maintenant pourquoi je veux partir  

Je posais ma tête sur l'épaule de Soontir, savourant son étreinte réconfortante. Sa présence était apaisante et me faisais vraiment beaucoup de bien.

Je me sent apaisé quand je suis près de toi

Je ne voulais pas qu'il parte, pas encore, pas maintenant. Rester à ses cotés me faisais du bien, cependant tôt ou tard il faudrait que je retourne à cette fichue soirée leur servir mon mensonge

J'ignore quand nous pourrons être à nouveau ensemble, mais je voulais que tu saches que je suis tombé amoureuse de toi dès la première fois où nous avons dansé ensemble, je l'ai compris quand je t'ai revue ce soir

©️ CN.JUNE, NEVER UTOPIA
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
Invité
Invité
Sam 13 Avr - 14:23
Ah là là, l’Empire, l’Empire, l’Empire… Ce n’est que depuis qu’il l’avait quitté que Soontir réalisait à quel point incroyable il s’agissait d’une sangsue. Ils n’auraient de toute façon pas pu être plus discrets que ça, sur Manaan… Sur le coup, le pilote ne s’était pas posé plus de questions que nécessaire, il avait eu une occasion de fuir, il l’avait saisie, fin de l’histoire, rideau. Même en s’arrangeant d’une autre façon, ça serait tout de même dangereux pour Wynssa, tout comme pour lui, de même pour tous ceux ayant le bonheur de réaliser la pourriture interne et externe de ce gouvernement, pour le fuir ensuite. Un point était très clair, les enfants, on ne démissionne pas de l’armée. On peut être viré, révoqué, dégradé, mis à la retraite mais on ne part pas de soi-même en plein milieu de carrière juste parce qu’on le souhaite ! Seul l’Empire a le droit de vous dire de dégager, il est hors de question, pour un de ses membres, d’en décider par lui-même.

Le BRI n’avait pas été des plus fins, en envoyant un de ses agents discuter comme ça avec une actrice qu’ils avaient en ligne de mire et en lui faisant aussi clairement comprendre qu’elle était sous la surveillance des bureaux, qu’ils savaient sa véritable identité et de quoi on la soupçonnait. Après, c’était peut-être une stratégie finement montée, qu’en savait-il, lui ? Il était pilote de chasse, pas espion. Et il aurait pu rester encore pilote impérial durant des années sans tous ces… petits « détails » sur son chemin. Tout en serrant Syal contre lui, il repensait à ce qu’on avait pu dire d’eux, de cet avenir encore flou à ses yeux, par le biais de descendants arrivés tout droit des failles. Quelle folie pure. Ce qu’il en avait retenu, c’était que ses futurs gosses, ou arrières, seront sensitifs, que lui-même aura visiblement un lien avec les Régions Inconnus ou les Chiss, ou les deux, et qu’il vivra très loin d’ici avec Syal.

Si jamais tout ça se produisait vraiment, la vie aura prouvé avoir vraiment un humour très particulier. Il voulait bien vivre avec la femme qu’il tenait actuellement dans ses bras, il désirait de nombreux enfants, il voulait ardemment être père de famille, par contre, pour le reste… Dans quelles circonstances de malade, exactement, pourrait-il finir chez le peuple bleu avec femmes et enfants ? C’était impossible ! Il massa un peu les épaules et le dos de Syal, souriant lorsqu’il dit être apaisée, avec lui. Il le ressentait aussi, lui qui n’était pourtant pas d’une nature très apaisée, par défaut. Sa vie toute entière était comme un feu permanent, où il se consumait sans trop de crainte pour l’avenir. En tout cas, pas autant que ne pouvait le faire un être humain normalement constitué.

– J'ignore quand nous pourrons être à nouveau ensemble, mais je voulais que tu saches que je suis tombée amoureuse de toi dès la première fois où nous avons dansés ensemble, je l'ai compris quand je t'ai revu ce soir.

C’est là où on comprenait que les femmes étaient plus franches, lui-même n’aurait sans doute pas osé l’avouer directement et aussi platement, du moins, pas sans avoir fait d’abord de longs détours tout en cherchant ses mots. On pouvait être courageux en pilotant une coquille noire facilement cassable dans l’espace et très peu face à une femme. Il la regarda droit dans les yeux, glissant un doigt contre sa joue, toujours avec cette légère appréhension. Il savait n’être pas « bon » pour elle, aimer un rebelle, ce n’était sain pour personne. Sauf qu’elle était déjà dans ce monde… Depuis très longtemps.

– Je n’ai pas compris tout de suite la façon dont je pouvais tenir à toi. C’était un mélange d’affection, d’attachement, d’envie de te faire rire et te protéger. Avoir été loin de toi m’a fait prendre conscience combien tu comptais. Je ne veux pas te perdre… Je t’aime, et si tu le veux aussi, je voudrai rester proche de toi. Quitte à devoir tout laisser derrière pour te donner une vie en paix et heureuse.

Ici ou ailleurs… La vie le leur dira. Si ce n’était pas avec les rebelles, ça pouvait être auprès dune autre faction, tant que ça n’était pas l’Empire non plus, toutes les options étaient ouvertes. Ce n’était pas tant à la Cause Rebelle en elle-même à laquelle il adhérait, il était parce qu’il… avait suivi les circonstances. Mais au fond, ce qui lui importait, c’était d’éviter les mouvements totalitaires. Un Empire démocratique ne le gênerait pas, par exemple. D’ici là, il ne pouvait pas retenir Syal durant des heures, si on se mettait à sa recherche, il aurait un peu de mal à expliquer ce qu’il faisait ici.

– On se reverra chez les Rebelles, Syal, murmura-t-il avant de longuement l’embrasser.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
Invité
Invité
Dim 14 Avr - 16:41

An eventful evening ...
Pouvait-on être heureux malgré la guerre? Le manque de liberté ? Tout en étant surveiller ou rechercher par l'Empire? Ma fois oui, je ne voulais au départ pas me l'avouer, mais finalement, j'avais envie d'être heureuse, de connaître le bonheur, même si la vie était devenue compliqué.

La distance pouvait nous ouvrir les yeux, mais peut être que la pandémie y était aussi pour quelque chose à n'en pas douter. Soupirant d'aise, je savourais pleinement la douceur de sa main, sa présence, mais surtout, j'étais heureuse qu'il me retourne ses sentiments.


Je ne veux pas fuir loin et laisser l'Empire continuer son règne et toi non plus. Nous ne pouvons pas laisser Corellia souffrir aux mains de l'Empire, pas plus que les autres mondes de la galaxie. Il est plus qu'évident que je ne voudrais pas te sortir de ma vie, mon frère et toi êtes une partie importante de ma vie


Si j'avais eus l'occasion, je serais rester dans ses bras pour le reste de la nuit, mais il avait des obligations et j'avais les miennes. Un mois passerait vite, mais il pouvait arriver tellement de choses jusque là.

Je te le promet

Je me laissais emporté par son baisé, y répondant avec passion et désir, je voulais tellement plus, aller plus loin, mais nous ne pouvions pas nous le permettre encore. C'est à contre cœur, que je mis fin à notre baisé.

Il vaut mieux que je parte, avant que l'on ne vienne me chercher. Un mois passera vite, mais promet moi de ne pas t'attirer d'ennuis d'ici là.

Un dernier baisé et je quittais Soontir, le cœur gros et l'envie de fuir avec lui maintenant, mais je ne pouvais pas me le permettre. Bien que l'envie n'était plus là, je retournais à la fête pour sauver les apparences.

©️ CN.JUNE, NEVER UTOPIA


Fin du rp pour moi
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
Invité
Invité
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
Contenu sponsorisé
Contenu sponsorisé
Page 1 sur 1
Sauter vers: