|  Mer 9 Jan 2019 - 17:54 | |
Salutation à vous, je suis Ares Tar-Syal Fird, il y a 42 ans j'ai vue le jour sur Alsakan, le 5 Nelona 41BBY/M. Je possède un pistolet blaster.. Je suis un ancien Impérial devenu Rebelle Je suis dans la vie Capitaine de l'Aspiration, un destroyer stellaire de la classe Victoire-II.
Raconte nous ton histoire Avant la Guerre des Clones Ares vit le jour sur Alsakan une vingtaine d’années avant le début de la Guerre des Clones, au sein d’une des familles de la noblesse, les Fird. Il eut une enfance plutôt aisée, avec tous les privilèges que cela incombait, mais également certains inconvénients. Les enseignements qui lui furent donnés furent très variés mais également très pointilleux, sa famille mettant un point d’honneur à voir leurs enfants exceller dans la société qu’ils venaient de rejoindre : ares avait en effet un frère et une sœur. En grandissant il se rendit compte des privilèges qu’il avait en étant né dans une famille influente et bien qu’il appréciât sa condition, il trouvait tout de même injuste que sur une planète aussi riche et développée qu’Alsakan il puisse exister des dizaines de niveaux souterrains où vivaient condamnés des familles pauvres et souvent sans emplois. S’il pensa un court instant à faire carrière dans la politique, ce fut pourtant le passé militaire de sa famille qui finit par le faire rêver d’espace et d’exploration.
C’est inspiré par la droiture et la discipline militaire qu’il profita de son service militaire pour intégrer la force de défense planétaire qui dépendait grandement d’Alsakan mais également des forces judiciaires de la République, et ce à l’aube de la Guerre des Clones. Il refusa d’être propulsé à un grade grâce à l’influence de sa famille et demanda à se voir attribuer le grade de cadet, pour se placer au même niveau que les autres. D’ailleurs, il n’apprécia guère de voir que, même dans ce milieu, les privilèges permettaient d’outrepasser les officiers méritants. Ce fut également pendant cette période qu’il fit la connaissance d’Illiana Tar-Syal, une jeune femme resplendissante dont il tomba rapidement amoureux.
Au fil des mois puis des années, Ares trouva chaussure à son pied et prit la décision de rester après son service, ce qu’il n’allait pas tarder à regretter. La Guerre En effet, la Guerre des Clones éclata peu après peu de temps après sa promotion au grade de lieutenant. Il trouva surprenant l’apparition soudaine d’une Armée de la République équipée et entrainée, dans laquelle les Forces Judiciaires furent intégrées mais il tût rapidement ses interrogations face au danger que représentait la menace séparatiste pour la République, pour son peuple et pour sa famille. Cette armée de clones était une bénédiction, tant pour les populations que pour la stabilité du gouvernement, qui les voyaient comme sacrifiables, ce qui n’aurait pas été le cas d’une armée de conscription. Ares les voyait différemment. Ils n’étaient pas une armée droïde mais bien un ensemble d’individus de chairs et de sang qui, au fil des mois puis des années, développèrent une personnalité propre à chacun. Cependant, la guerre nécessitait parfois des sacrifices, et celle-ci en demanda beaucoup.
Il ne put mettre en application sa pensée avant d’obtenir son premier commandement, chose qui n’arriva qu’au moment où la Guerre arrivait à son terme. Cette guerre, par sa brûlait et son enchaînement perpétuel de destructions le changea profondément. La situation était arrivée à un niveau où, à force de succession de campagnes discutables et d’ordres souvent incohérents, la survie même de la République était menacée. Après deux années de guerre, la situation n’avait fait qu’empirer pour finalement s’embourber. Pourtant, son affectation au sein de la Flotte Victoire, en qualité d’officier supérieur sous la direction de l’Amiral Screed, aux commandes de l’Arlionne. Screed était un officier dur, ferme, et qui n’acceptait pas que l’on puisse discuter ses ordres, mais qui possédait un vaste réseau de connaissances. Ares comprit bien vite qu’il serait plus sain pour sa carrière, et sa famille, de s’en faire un allié plutôt qu’un ennemi.
Il caressa donc l’Amiral dans le sens du poil, pour à sa grande surprise tisser une amitié tacite au fur et a mesure que la Flotte Victoire traquait les séparatistes à travers le Noyau jusqu’à la bataille finale à Anaxes. Ares avait fait preuve de ses compétences au cours de la campagne, se montrant particulièrement efficace et en accord avec les décisions pourtant parfois douteuses de son supérieur. Il n’était pas là pour discuter la chaine de commandement, et surtout pas devant le reste de l’équipage. Pourtant, au plus profond de lui, il détestait cet homme qui voyait la flotte comme un outil pour assurer son ascension personnelle au détriment des vies qu’il avait sous ses ordres. Il avait vu le changement de doctrine au cœur de la Marine et la chute de République, dont l’organe législatif s’était vu incapable de mener le conflit correctement, ne fut pour lui qu’une demi-surprise lorsque la Guerre prit fin et que l’Ordre Jedi fut éliminé.L'avènement de l'Empire L'Empereur élu avait beau affirmer que la Guerre des Clones était terminée, les Séparatistes restaient bien présents dans plusieurs secteurs de la Bordure. Ares avait beau ne pas apprécier le caractère de son supérieur et détester les officiers qui faisaient usage de leurs réseaux plutôt que de leurs compétences, il ne renia pas l'amitié désormais clairement intéressée qu'il avait forgé avec cet homme qui était devenu un proche de Palpatine. Chargé de mettre un terme à la menace, Screed lui proposa de prendre le commandement de son nouveau navire amiral mais Ares refusa poliment. En retour, il se vit conforté dans le commandement de l'Arlionne, dont Ares changea en profondeur la manière de fonctionner tout en restant en conformité avec les exigences de son supérieur. Sous ses ordres, il participa à l'Offensive sur Ciutric et ensemble repoussèrent les Séparatistes jusqu'à Bimmiel, Botajef puis finalement Vardoss. En qualité d'Amiral, Screed récolta tous les lauriers mais Ares ne s'insurgea pas d'être délaissé. Il n'avait que faire de la politique coruscanti et préférait rester dans sa bulle, à mener les troupes à sa façon en profitant de la bénédiction du tout nouveau privilégié du BSI.
En remerciement pour sa loyauté, Screed le fit transférer sur l'Aspiration, un des tout nouveaux destroyers stellaires de la classe Victoire-II et lui offrit une plus grande latitude dans la sélection de son équipage. Cette confiance et cette once de liberté acquise lui permit de s'entourer d'un pourcentage non négligeable d'officiers triés et sélectionnés sur le volet et non pas uniquement d'hommes assignés de force par la hiérarchie et le BSI comme ce fut le cas sur l’Arlionne. Des hommes partageant son pragmatisme et qui, tout comme lui, se révélaient très méthodique, objectif et particulièrement stratégique mais qui avaient dû habilement le masquer sous le vernis imposé par les nouvelles doctrines impériales. Des hommes et des femmes qui sauraient s’accorder avec ses attentes d’un niveau élevé de résultats mais qui somme toute restait réaliste et était prêt à donner une seconde chance. Des hommes qui accepterait de parler et d’agir avec franchise, permettant à Ares de conserver une réputation des plus respectables et un profond respect auprès de ses subordonnés.
Elles n'étaient cependant pas toutes à jeter, et Ares trouva dans l'Empire une stabilité et une fermeté qui avait fait défaut à la République depuis les lointaines réformes de Ruusan. Une poigne de fer qui aurait probablement évité quatre années de stagnation pendant la Guerre des Clones et qui, il le pensait à cette époque, aurait pu traiter la menace séparatiste en amont.
Sous la bénédiction de Terrinald Screed, il participa également à ses côtés à l'anéantissement pur et simple de la vieille menace séparatiste dans les régions occidentales, avec une dernière victoire à Ogoth Tiir. Puis, avec l'apogée de la réputation de l'Amiral, Ares pu enfin connaître une longue période de calme et de tranquillité puisque Screed avait été renvoyé dans les Bordures pour des missions de police en laissant une partie de sa flotte dans les régions intérieures.
Le capitaine pût enfin renouer avec son amour de jeunesse, Iliana, avec qui il eut un fils, Stefan, et une fille, Nomi. Il s'accoutuma assez facilement au nouveau régime, bien qu'il vît d'un mauvais œil certaines rumeurs concernant des massacres provoqués par les forces impériales dans les régions les plus reculées de la galaxie. Il avait d'abord eu du mal à y croire, mais l'évolution de la doctrine Impériale finit probablement par avoir raison de son scepticisme. Ares resta néanmoins confiant dans le nouveau régime et ne fut guère embêté, se contentant de suivre les ordres comme il l’avait toujours fait. Il avait connu la Guerre des Clones et les nombreux mondes sacrifiés pour souvent obtenir un vulgaire statut quo, il avait une certaine idée de ce qui pouvait se produire là où il n'était pas mais il était également convaincu que ce n’était là que le fait de quelques officiers zélés ne reflétant en rien l’action des armées impériales en général...
Guère émotif en public, c'était souvent en privé, lorsqu'il était seul, qu'il se permettait de douter. Il lui arrivait alors parfois de débattre avec ses officiers les plus loyaux qui, comme lui, partageaient en secret leurs inquiétudes mais continuaient publiquement de soutenir ouvertement le nouveau régime pour ne pas attirer l’attention du BSI qui, pour un simple doute, était capable de vous faire disparaître sans aucune forme de procès mais aussi plus simplement parce qu’ils n’avaient pas de preuves tangibles. Nul doute cependant qu'ils auraient démissionné ou déserté s'ils avaient été confrontés plus tôt aux horreurs commises par certains grands officiers…L'heure du départ Pourtant, la confiance que lui et le noyau dur de son équipage avait dans l'Empire s'effrita peu à peu ces dernières années, lorsque les premières véritables insurrections rebelles commencèrent à prendre de l'ampleur et que la marine répliqua sévèrement pour maintenir l’ordre. Lui qui avait pu couler de douces années auprès de sa femme et de ses enfants fut soudainement rappelé à ses véritables obligations lorsque l’amirauté rappela l'Aspiration dans la Bordure Extérieure. L'apparition des Failles et d’une nouvelle Confédération lui imposèrent un nouveau rythme de vie qui l'éloigna de sa famille. Les affrontements prirent rapidement de l'ampleur, et Ares furent bientôt confrontés à ce qu'ils avaient refusé de croire. Kashyyyk, puis l'anéantissement d'Humbarine les révulsèrent, mais tout son équipage ne partageait pas son point de vue.
Mème pendant la Guerre des Clones il n'avait jamais eu à assister à l'anéantissement d'un monde. Ce n'était pas ce pour quoi il avait choisi de continuer à servir. Il y avait également ces êtres venus des failles, ces siths acceptés par la gouvernance de l'Empire et qu'on lui avait imposé, dont certains n'avaient pas hésité à se montrer d'une épouvantable cruauté. À partir de cet instant la propagande du COMPORN ne suffit plus à effacer les horreurs qu'ils avaient vu. Quelque chose devait être fait. Ils étaient tous d'accord sur ce point, mais ils n'étaient clairement pas assez nombreux et surtout, n’avaient nulle part où aller. La Confédération n'allait pas tarder à sombrer et l'Alliance Rebelle était encore trop dispersée. Ares fit donc taire les partisans de son propre camp pendant un temps, pour éviter que les rumeurs de sédition ne fuitent jusqu'aux oreilles du BSI et ne signent leur arrêt de mort à tous. Il fit en sorte que la parole ceux qui avaient pu entendre ces discussions et qui n’étaient pas dans son camp soit étouffée. Pourtant, plus ils attendaient et plus ils risquaient d'attirer de plus en plus les soupçons.
Puis, finalement, il y eu Manaan et la Pandémie. Deux immenses massacres qui rompirent définitivement le serment de loyauté qu’Ares avait prêté, même si l’instigateur du second restait inconnu. Des voix se soulevèrent à bord et le navire d'Ares attira rapidement l'attention du BSI, forçant le capitaine à prendre une décision. Il ne pouvait plus accepter ce gouvernement même s'il pensait toujours que les bases de l'Empire étaient les bonnes.
Profitant d'une mission de routine dans le sud de la Bordure Extérieure et après une longue mais secrète préparation, Ares et ses hommes jouèrent leur va-tout. Des hommes qui lui étai acquis provoquèrent une explosion le long de la coque et à proximité du générateur principal, déclenchant un ordre général d'évacuation vers le croiseur qui patrouillait avec l'Aspiration. Pendant que les hommes loyaux à l'Empire évacuaient le bord aux côtés des stormtroopers, les siens profitèrent de la panique pour se saisir des systèmes critiques. Le subterfuge fonctionna au début, mais ils finirent inéluctablement par être démasqués. De violents affrontements éclatèrent à bord autour des casernements et certains points clés du vaisseau mais les forces d'Ares avaient su profiter de la surprise, et du rééquilibrage des forces. Le capitaine fit feu sans sommations sur le croiseur d'escorte, pulvérisant son armement et désactivant le reste de ses systèmes avec les canons à ion du bord. Ses hommes finirent par acculer l'adversaire et après quelques accrochages, le reste de l'équipage resté loyal à l'Empire fut fait prisonnier. Ares les fit transférer vers le croiseur maintenu hors de combat, avant de faire disparaître l'Aspiration dans l'hyperespace.
Malgré la prise du navire, le succès était à grandement relativiser. La mutinerie avait coûté à Ares un certain nombre d'hommes et avec ceux restés loyaux à l'Empire, il ne restait plus qu'un quart de l'équipage et une poignée de troupes de choc à sa disposition, les stormtroopers ayant très majoritairement refusé de faire défection. Avec un équipage aussi réduit et peu de pilotes, son vaisseau qui n'était déjà pas de taille à affronter seul un véritable destroyer stellaire impérial n'était plus que l'ombre de lui-même. Ses hommes étaient obligés de travailler trois fois plus pur maintenir le navire en état de marche, ce qui jouait sur leur moral et leur efficacité. De plus, sans port d'attache, les ressources ne tardèrent pas à manquer. Quelques raids éclairs contre des convois impériaux aidèrent à maintenir le navire à flot pendant un temps, mais Ares n'allait pas tarder à se retrouver dans une impasse. Il avait besoin de soutien, d'une base arrière et d'un renforcement de son équipage. L'Empire ne pouvait plus lui offrir ce qu'il voulait, et il refusait de faire appel à des pirates et des mercenaires sans scrupules.
Il ne lui restait donc plus qu'une seule réelle option viable, et il avait des arguments à mettre en avant...
Ton lien avec la Force, ton usage / Tes capacités
Ares est un commandant militaire pragmatique. Il est méthodique, formel et extrêmement objectif dans sa vie personnelle et professionnelle. Il s’appuie sur l’objectivité et l’absolu pour fonder ses stratégies et ses quelques prouesses militaires qui lui ont valu certaines faveurs reposent sur le fait qu’il est très stratégique et ne succombe que rarement aux émotions lorsqu’il prend des décisions en matière de leaderships. C’est une personne très stoïque, dont les expressions faciales et les manières changent rarement lorsqu’il s’entretient avec les hommes et les femmes sous ses ordres, ce qui est un atout sous la pression. Très patient, il attend un niveau élevé de résultats de la part de toutes les personnes placées sous son commandement, mais il est réaliste et prêt à donner une seconde chance.
Cependant un homme ne vient pas qu’avec des qualités. Bien qu’il n’aime pas les arrière-pensées et préfère la franchise par-dessus-tout, les années sous la bannière impériales n’ont pas été faciles. Il a dû abandonner sa famille, dont il ne connait pas le sort. C’est également une personne qui ne connait pas grand-chose au jeu politique et qui estime que la loyauté et le respect de la hiérarchie est une absolue nécessité et sa patience peut être brisée lorsqu’une personne se révèle déloyale ou indigne de confiance par ses actions. Le fait qu’il parle peu lui fait également défaut, et el fait qu’il est prêt à donner une seconde chance à chacun peut l’emmener à prendre des risques. Mais son plus grand défaut est peut-être son humanité, et sa volonté de protéger ses hommes mais également ceux qui ne méritent par leur sort. Il a assisté à beaucoup trop de massacres pour se permettre d’en commettre un seul, quitte à prendre des risques plus importants pour assurer la survie du plus grand nombre, qu’il soit ami ou ennemi, et donner une image respectable de sa cause et de ses idéaux.
Commandement :
Destroyer stellaire de classe Victoire-II Aspiration
De l'autre côté du miroir Pseudo: Takara/Visas
Age : 24 ans
Comment as- tu découvert le forum ? Je dois encore y répondre ?
Double compte? Triple compte ou plus ? Triple
Autre choses à ajouter ? Ce sera le dernier, après je n'arriverais plus à gérer 
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| Jeu 10 Jan 2019 - 12:27 Pour moi ça semble bon, je n'ai rien vue vraiment qui cloche, mais si j'ai loupé un truc, on te redira _________________ Merci cerise | | |
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