Instant de détente (Syal, flotte rebelle)

Le temps de leur voyage jusqu’ici, la petite virée et les problèmes sur Corellia avaient déjà eu le temps d’atteindre les oreilles des Rebelles. Soontir leva légèrement les yeux au ciel quand un de ses amis techniciens rit de l’affaire, tout en commençant à contrôler le cargo criblé de traces de tirs et de coups. Au moins, ils étaient revenus vivants, entiers, et avaient semé les impériaux, alors où était le problème, hein ? Et puis, ça donnait un cargo de plus à la rébellion ! Certes pas d’une toute première jeunesse, mais eh, c’était mieux que rien. Il tapota l’épaule de Nuru en traversant le hangar, lui souriant en lui disant qu’il s’était bien débrouillé, sur la planète, avant qu’ils ne puissent la quitter à bonne allure. Maintenant, prendre un petit peu de repos avant la mission suivante, et aussi voir s’il y avait d’autres Jedis, ici, qui pourraient ramener Nuru au Temple.

Revenir ici, c’était comme sortir un peu la tête hors de l’eau après des jours passés sans respirer. Il avait hâte de retrouver Syal, mais aussi de prendre des nouvelles de ceux et celles qu’il n’avait pas pu revoir depuis longtemps. C’était toujours comme ça, ils partaient tous pour de longues périodes et ne pouvaient se poser que de courts moments, entre deux missions, l’esprit accaparé par la guerre et les responsabilités. Hommes ou femmes, humain ou d’une autre espèce, peu importe, c’était la même mentalité. Difficile de se détendre vraiment lorsqu’on ignorait de quoi allait être fait le lendemain et si on sera toujours en vie. Il préféra chasser cette pensée de son esprit pour le moment, inutile de se démoraliser alors qu’ils étaient enfin dans un temps de repos. S’échapper de Corellia avait été difficile et il avait encore assez gros, sur le cœur, d’avoir dû fuir sa propre planète.

Comme il ne trouvait pas Syal, nulle part, il tourna en rond un bon moment avant que quelqu’un ne puisse enfin lui indiquer qu’elle se trouvait près de l’infirmerie. Merci bien ! Il s’y rendit assez rapidement, parlant brièvement en chemin avec ceux qu’il n’avait pas vu depuis très longtemps et en saluant d’autres de loin. Comme d’habitude, le QG flottant était une gigantesque fourmilière grouillant d’activité. Il finit par repérer Syal et attendit qu’elle termine de s’occuper d’une personne avant de s’approcher. Enfin… Il lui sourit en venant vers elle et l’attira presque aussitôt dans ses bras pour la serrer contre lui avec soulagement. Elle lui avait manqué… Ces derniers temps avaient été quelque peu agité et ce n’était même pas terminé. D’autres missions les attendaient tous, la guerre était encore loin d’être terminée. Mais tant qu’ils ne croisaient plus les Siths, ça lui allait, Darth Krayth lui avait laissé un goût amer.

– Tu m’as manqué, murmura-t-il.

Il continuait de la serrer contre lui, comme s’il craignait qu’elle ne s’évapore d’un seul coup alors qu’il la tenait. Quoi que, pour le moment, elle restait au QG, ça ne devrait pas autant l’inquiéter que si elle partait pour une mission ou une autre. Il faudra d’ailleurs qu’il lui montre comment se servir de blasters. D’ici là, il commença déjà par l’embrasser longuement, dans un coin pour ne pas gêner le passage.

– Commet te sens-tu ? Tu t’es faite à la vie ici ? Comment ça s’est passé, pour toi ?

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Feat. Pseudos des participants

Une petite routine s'était installer pour l'instant dans ma vie. Je travaillais toujours à l'infirmerie, mais j'avais aussi suivie le conseil d'Ezra de commencer à apprendre à me battre. D'un autre coté, je réfléchissais aussi à la discussion que j'avais eus avec Sarkiss, donc je n'avais pas le temps de m'ennuyer.

Mon frère me manquait beaucoup, je ne l'avais croisé que rapidement, car il enchaînait les mission et pour Soontir c'était pareil, lui non plus n'était pas vraiment disponible, toujours à voler à droite à gauche.

L'infirmerie aujourd'hui était pleine de blessés divers et variés que je n'avais pas eus le temps encore de me reposer depuis la prise de mon service en début de soirée et nous étions maintenant le milieu de journée.

Terminant avec mon patient, quelle ne fus pas ma surprise de voir venir dans ma direction Soontir. Cela me soulagea de le voir entier et sans blessures apparentes. Au moins, il avait tenu la promesse de rentrer entier à la base.

Sans avoir le temps de poser mes affaires, je me retrouvais prisonnière de ses bras avec une certaine force. Cela me fis sourire

Doucement, tu m'écrases souriais-je amusée. Bonjour à toi aussi Soontir et oui tu m'as manqué toi aussi

Sous les rires de mes collègues, j'entraînais Soontir hors de l'infirmerie ma journée étant enfin terminée. Son baisé était si doux, ses lèvres m'avaient manqués, tout comme ses bras protecteur. C'était comme revivre et se sentir enfin complet, soit même

Je vais très bien et toi ? Je m'habitue très bien. Me faire une place à été un peu compliqué au départ à cause de ma célébrité, on ne voulait rien me laisser faire et j'ai horreur d'être sur protégé donc j'ai trouvé une place à l'infirmerie. J'ai d'autres projets en cours, comme apprendre à me défendre et à me servir d'une arme pour commencer. Et tes missions se passent bien ?

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– Je vais très bien et toi ? Je m'habitue très bien. Me faire une place à été un peu compliqué au départ à cause de ma célébrité, on ne voulait rien me laisser faire et j'ai horreur d'être surprotégée donc j'ai trouvé une place à l'infirmerie. J'ai d'autres projets en cours, comme apprendre à me défendre et à me servir d'une arme pour commencer. Et tes missions se passent bien ?

– Si tu veux apprendre à te défendre, je pourrai te donner quelques cours. Surtout que tu es recherchée aussi, maintenant.

Il était plus pilote que combattant, d’accord, mais il savait très bien se servir d’armes en cas de besoin, après tout, la formation suivie dans les académies impériales ne rigolait pas. Il incita Syal à s’asseoir avec lui dans un coin où ils ne risquaient pas de déranger grand-monde, sur une caisse renversée qui avait dû contenir quelques médicaments, puis la reprit presque aussitôt dans ses bras pour la serrer contre lui. Le genre de moment dont on rêvait, lorsqu’on se retrouvait à crapahuter dans des endroits impossibles ou lorsqu’on sentait qu’un gros danger allait vous tomber sur le coin du crâne d’ici peu de temps. Reprenant à l’avis de recherche, il ne put s’empêcher de se dire que l’Empire avait quand même été patient, sur ce coup-là, à ne pas lui coller une prime bien plus tôt. Visiblement, la disparition d’une actrice les énervait moins vite que les disparitions des prisonniers politiques, même si l’actrice en question incitait des gens à déserter.

– On va dire que ça se passe bien, sinon. J’ai été sur Corellia et y a ai croisé de nouveau Nuru, là-bas. Je peux te dire que les Jedis n’y sont toujours pas les bienvenus, très loin de là. Les contrebandiers du coin se sont énervés, l’Empire aussi, on a eu tout ce beau monde aux fesses en quittant d’urgence la planète. C’est gérable, juste un peu sportif. Je sais comment les escadrilles de TIE attaque, ça facilite le travail.

Un petit rire lui échappa, il minimisait un peu les choses. En réalité, échapper à ça était plus que sportif, c’était un défi mortel, et il n’avait pas prévu qu’autant de contrebandiers se joignent aussi à la partie. Bah, de toute façon, c’était du passé ! Il était du genre à ne pas trop s’inquiéter ou revenir sur ce genre de problèmes, tant que c’était derrière lui. Et heureusement, où il passerait sa vie entière à angoisser. Glissant un doigt de sa main libre dans les cheveux de sa compagne, il commença à jouer délicatement avec l’une des grandes mèches blondes, petite manie prise et qui trahissait une part de nervosité.

– Mis à part cet imprévu, les choses se passent. Je vais avoir un peu de temps avant la prochaine mission, tu veux en profiter pour commencer à t’entraîner ?

 

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Feat. Pseudos des participants

J'étais au final recherché moi aussi à mon tour. Cela ne m'étonnais nullement, je trouvais même qu'ils avaient mis pas mal de temps avant de s'en rendre compte réellement et cela m'amusa un peu.
Soontir en professeur autres que de vol ? Cela me fis sourire et m'amusa quelque peu. Il était plus doué pou le vol et appendre à voler à mon sens qu'une arme, mais je pouvais être surprise.

Doué comme tu es pour le vol, tu ferais un très bon instructeur pour les rebelles, qui auraient grandement besoin de s'améliorer si tu veux mon avis. Avoir des cours avec toi, peut être intéressant même si j'ai déjà un instructeur

Je me demandais sincèrement, s'il pouvait faire la part entre nous deux et celle d'un élève et d'un professeur. Il me fallait apprendre beaucoup de choses et je refusais qu'il me ménage; Il semblait vraiment attaché à ce jeune chiss et cela me fis sourire tendrement. Quant aux jedi mal venu ? Cela ne me surprenais guère, cette histoire avait été certes monté de toutes pièces, mais elle avait réussis à convaincre bon nom d'habitant.

Juste gérable? C'était du suicide à l'état pur tu veux dire. Tu es totalement fou Soupirais-je en lui mettant une tape à l'arrière de la tête. Sinon, il semblerait que tu te soit pris d'affection pour ce jeune chiss. N'est ce pas ?

Cet idiot a vraiment eus une chance folle de revenir en un seul morceau, mais à force de défier la mort de cette façon, un jour ou l'autre il risquerait de rejoindre l'autre monde. Nous étions à peine ensemble, notre histoire était si récente, qu'elle n'en était pas moins fragile d'ailleurs, c'est pour cela que je refusais de le perdre, tout comme mon frère

Ne pourrais-tu pas faire un peu plus attention ? Je n'ai pas envie la prochaine fois qu'on m'annonce ta mort parce que tu as encore voulu faire le show en plein vol.

J'aurais bien aimé pouvoir profiter de sa présence, mais j'avais encore beaucoup de travail devant moi, mais peut être que pour une fois je pourrais me libérer le temps de prendre une pause.

Il y a beaucoup de travail, mais je peux bien m'accorder une pause pour déjeuner, vue que je n'ai pas eus le temps de pendre de petit déjeuner. Tu veux bien m'accompagner à mes quartiers et manger avec moi ? Nous pourrons ainsi faire un emploi du temps pour caler un petit entraînement au milieu de mon travail

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C’était facile de demander à vos proches de ne pas trop s’inquiéter ou ne pas se poser de questions, Soontir le savait parfaitement, et il comprenait la réaction de Syal. De toute façon, sur Corellia, ça n’avait pas été une question de faire le show mais une simple question de survie. Entre les compatriotes énervés et les impériaux venus participer à la fête, il avait bien dû trouver un moyen de les tirer de là, rien de plus ! Et comment on s’arrangeait pour jeter derrière soit autant de personnes ? En volant assez vite et en fonçant dans des angles assez durs pour qu’ils n’osent pas vous suivre, ou ne parviennent pas à vous suivre, comme la plupart des pilotes ayant un grain de bon sens ou d’instinct de survie ! Avec les pilotes de l’Empire, ça marchait mieux, ils étaient comme conditionnés à suivre un semble de règles et ne suivaient pas donc pas les manœuvres trop périlleuses.

En ce qui concernait le petit Nuru, et bien, oui, finalement, il l’avouait, il l’aimait beaucoup, ce gosse. Attachant, qui se défendait bien, à la fois aventureux et très réfléchi, suivant les situations. C’était parfois bizarre, en fait, Soontir avait l’impression que son jeune âge le poussait encore à l’imprudence, et que, dans le même temps, sa nature profonde le forçait plus réfléchir et se reprendre une fois qu’il devait combattre ou se sortir de diverses situations. Soontir s’attachait très vite aux enfants et aux jeunes, en plus de ça, il adorait les gamins, adorait jouer avec eux ou leur apprendre ce qu’il savait. Si la vie les laissait enfin un peu plus tranquille, il adorerait tout autant avoir lui aussi des enfants, les élever, les aimer. Dans un tel contexte, cependant, le pilote jugerait irresponsable de jeter un bébé dans ce monde. A moins d’être sûr et certain qu’il grandira en sécurité.

– Il y a beaucoup de travail, mais je peux bien m'accorder une pause pour déjeuner, vue que je n'ai pas eus le temps de pendre de petit déjeuner. Tu veux bien m'accompagner à mes quartiers et manger avec moi ? Nous pourrons ainsi faire un emploi du temps pour caler un petit entraînement au milieu de mon travail.

– Bien sûr.

Pas la peine de demander. Il se força à la relâcher, pour qu’elle puisse marcher, se laissant ensuite guider dans les coursives du vaisseau rebelle. C’était maintenant que la fatigue commençait à le rattraper, maintenant que la tension retombait et le stress avec. Il devra faire son rapport de mission, parler de la prochaine avec ses chefs, voir également quelles étaient les nouvelles recrues et s‘il devait participer à leurs entraînements, entre deux nouvelles missions. Le but du moment restait de recruter un maximum de pilotes pour la bataille qui s’annonçait. Une fois dans les quartiers de Syal, il commença par demander ce qu’il pouvait faire pour l’aider à préparer le déjeuner. La grande cuisine, par contre, ce n’était pas son domaine, il s’était toujours contenté du plus simple.

– Tu sais, d’ailleurs, on peut s’amuser en pilotage, mais ça restait une question de survie, là-bas. Ils étaient nombreux, dans ces cas-là, pour s’en sortir vivant, il n’y a que deux solutions. Se rendre ou faire en sorte que personne ne puisse te suivre. On faisait des courses de ce genre, avec Han, à l’académie. Han Solo. Lui, au moins, il a compris plus vite la nature de l’Empire.

Grandir dans ce milieu, peut-être plus sur Corellia qu’ailleurs, ne vous prédisposait pas à intégrer gentiment la discipline militaire impériale, de toute façon. Soontir retint un petit soupir, en cherchant les assiettes et couverts dans les petits placards métalliques de la cuisine. Il se demandait où il serait, à cette heure, s’il s’était rendu ou avait été abattu. Dans quelle prison envoyait-on les déserteurs avant de les faire exécuter ? La tradition voulait que ce soit le supérieur que vous ayez « trahi » au moment de votre désertion qui décide quoi faire de vous. Ce devait être Pellaeon, au moment du bal de Manaan… Oui, c’était ça. Le pilote ne connaissait pas vraiment le capitaine, impossible de dire ce qu’il aurait décidé.

– A quoi as-tu commencé à t’entraîner ?

 

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Ce qu'il pouvait être têtue comme mon frère. D'ailleurs les deux la c'était très bien trouver quand je regardais la situation d'un peu plus près. Soupirant longuement, je me détendis légèrement dans son étreinte, même si j'avais envie de lui passer un savon mémorable, je n'en fis rien.

Plus que ravie de l'avoir avec moi pour le déjeuner, je l'embrassais sur le bout du nez avant de l'entraîner vers mes quartiers non loin de l'infirmerie.

Je n'ajouterais rien sur le sujet, ne voulant pas me disputer avec toi. Personne ne pouvait se douter du vrai visage de l'Empire.

Nouant ma main avec celle de Soontir, je lui souris avec douceur pour essayer de lui remonter le moral. Aucun d'entre nous se serait attendu à vivre l'enfer avec la fin de la République. Le laissant s'occuper de mettre la table, je préparais tranquillement de quoi manger.

Le combat à mains nues, ainsi qu'une remise en forme physique complète, pour augmenter l'endurance. On va aborder l'entraînement au tir normalement la semaine prochaine. Sur le mur du salon tu as mon emploi du temps complet, donc regarde ce que tu peux en faire

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– Le combat à mains nues, ainsi qu'une remise en forme physique complète, pour augmenter l'endurance. On va aborder l'entraînement au tir normalement la semaine prochaine. Sur le mur du salon tu as mon emploi du temps complet, donc regarde ce que tu peux en faire.

Le pilote termina d’abord de mettre la table, puis alla jeter un coup d’œil à ce fameux emploi du temps. Syal avait conservé une bonne qualité de vie, il le fallait bien avec le métier qu’elle avait mené, il était donc logique qu’elle n’ait pas besoin de très longs mois d‘entraînement pour acquérir les bases. Un léger sourire flotta sur ses lèvres lorsqu’il pensa à ces entraînements, très similaires à ceux qu’on trouvait dans les académies impériales. On pouvait dire ce qu’on voulait, dans le cadre d’une formation militaire, peu importe la faction à laquelle on appartenait, la base demeurait la même. Une fois sur le terrain, les missions se chargeaient de vous fourrer le reste dans le crâne, et le plus important. Si seulement cet Empire était normal, avec une personne saine à sa tête, ni lui ni Syal ne devraient se cacher pour ce type d’entraînement.

Ce qui l’étonnait un peu plus, c’était souvent la manière de former les nouveaux venus et les jeunes recrues, d’une manière plus générale, au tir, aux missions de terrain ou pour les missions commandos. Certains formateurs improvisaient clairement, en s’appuyant sur leur vécu, ils n’avaient sans doute jamais eu de vraie formation eux-mêmes. Quoi que ça ne devrait pas l’étonner, en fait, au beau milieu de ce type de guérilla. Pensif, il observa un moment la liste des « cours » et formations, sur un champ finalement assez large, avant de revenir vers Syal. En ce qui concernait les exercices de tir ou sur le terrain, ce n’est pas là où il pourra lui être le plus utile. Ce n’est en posant pied à terre et en s’enfonçant avec les commandos qu’il était le plus efficace ! Même s’il devait parfois le faire, faute d’effectifs.

– En ce qui concerne ce que tu as déjà commencé à « étudier », je ne vais pas t’aider des masses, sourit-il en lui donnant au passage un bisou dans le cou. Je ne suis pas le meilleur agent de terrain qui soit.

Si elle voulait apprendre à piloter un jour, il pourra l’aider tant qu’elle le voudra, en revanche. Enfin, d’abord, il enfermera Wedge dans un placard car il savait très bien que ce dernier aura peur que sa petite sœur se retrouve très vite dans des situations impossibles, en cours d’apprentissage. Comme si c’était le genre de Soontir de foncer tête baissée et de… Hum… Bref. Il s’occupa plutôt de l’aider à cuisiner, si elle en avait besoin, listant aussi mentalement les prochaines missions où il devait participer. Dans l’une d’elle, hélas, il devra jouer les commandos… Pourquoi ce ne soit pas sur une planète trop inhospitalière, histoire de changer ! C’était tellement plus marrant de filer si librement à travers l’espace, à bord d’un chasseur, dans les endroits les plus dangereux qui soient !

– Que comptes-tu faire, une fois entraînée ? Tu veux être agent de terrain, infirmière, pilote, ou dans un autre service ?

 

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Je le laissais mettre la table, pendant que je terminais de réchauffer le déjeuner. C'était souvent des plats tout fait, un peu trop calorique à mon goût, mais je n'étais pas difficile sur ce point, il suffisait de faire attention  et de bouger beaucoup.

Je ne pense pas que tu puisses m'apprendre beaucoup non ? Ton domaine est le pilotage me semble t-il ? A moins bien évidement que tu es d'autres compétences cachés ? Son baisé dans le cou, m'arracha un léger frisson de plaisir, je ne me savais pas si sensible sur cette zone. Mes joues chauffèrent même et prirent une teinte rosé de gêne. Humm. Ce n'est pas grave, tout est bon à apprendre non ?

Retournant vers la cuisine pour masqué ma gêne face à son geste qui m'avais fait plaisir, mais aussi légèrement rougir, je préférais me concentrer sur une autre tâche. Quoi faire par la suite ? Rester à l'infirmerie ou changer de section ? Honnêtement soigner les petits bobos, ne me dérangeais pas, mais j'avais d'autres aspirations en lien avec ma carrière passé

Sincèrement ? Je ne sais pas trop, j'ai une idée en tête, mais elle est un peu vague pour le moment. Soigner, ne me dérange, mais je vais plutôt me tourner vers la communication. Mon image de star va me servir pour cela, pour informé les peuples  de la galaxie, de l'importance de combattre l'Empire. Rester à l'abris d'un vaisseau ne me conviens pas, alors qu'il y a beaucoup de possibilités et différents type de combats.

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