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OK, let's start over [PV Aidan Lancot & Darth Lunariss]

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Sam 17 Mar 2018 - 0:54
OK, LET'S START OVER
Aidan Lancot & Darth Lunariss





- QUOI !

Lunariss explosa de colère. C'était la première fois depuis qu'elle avait quitté Dromund Kaas que se sentiment la prenait. Son aura débordait, brûlante.

- Sortez tous, siffla-t'elle.

Elle toucha mentalement Orus.

- Pas toi !

Le commandant de la Garde Sanguinae s’arrêta. Il fit signe à ses hommes de sortir. Il savait qu'il ne risquait rien, enfin un rien qui n'était pas mortel. Lorsque le sas se ferma, Lunariss fit sauter l'armure du jeune homme par la pensée. Les pièces s'étalèrent autour d'eux dans un fracas incontrôlé. La Seigneur Noire poussa Orus sur le bureau sur lequel s'étalaient les rapports qui l'avaient mise en rage. Ces satanés rebelles avaient avancé le départ de leurs vaisseaux. La jeune femelle se mit à califourchon sur l'humain et l'embrassa à pleine bouche. Elle avait besoin de déverser sa colère et son pouvoir. Orus était parfait pour l'emploi, toujours prêt et heureux d'aider. Elle ne savait si c'était uniquement lié au rituel mais sur le moment elle s'en fichait. Tout ce dont elle avait besoin c'était de relâcher la pression et de la remplacer par la passion. A mesure que leur union emplissait la pièce, les rapports tombaient, les encres tachaient le sol et la Dame noire reprenait contrôle de sa puissance tout en se gorgeant dans la luxure.

Le corps encore luisant de plaisir, elle quitta la pièce, laissant un Orus vidé reprendre contenance et surtout cherchant les pièces de son armure.



Les rebelles ne donnaient pas de nouvelles. Pendant ce temps là Tarkin avait sorti la grosse artillerie pour réduire à néant la Confédération tandis que l'amiral chiss s'occupait de la reine de pacotille. Mais des rebelles aucune nouvelle. Lunariss méditait chaque jour à la recherche de la signature de sa cible mais rien n'y faisait, elle ne la localisait pas. Ce n'était pas grave, elle était patiente, la Princesse finirait bien par faire une erreur. Et cette fois-ci, la seigneur sith ne la louperait pas. En attendant, elle avait un accord à honorer. La twile'k prit une feuille et inscrivit :

Citation :
Cher ami,

Pourriez-vous venir à ma rencontre pour que nous discutions des suites de nos affaires ?
Je vous attendrais sur mon vaisseau stationné au spatioport de notre belle capitale à votre retour de Naboo.

Cordialement,



Votre précieuse alliée.

Souriante, elle ouvrit un tiroir de son bureau et sortit un tube de noir à lèvres. Après s'en être mis, elle embrassa l'enveloppe cachetée. Il valait mieux que les collègues de l'espion pense à une maîtresse qu'à une seigneur sith. Elle fit appeler un garde avec pour mission de faire parvenir le message de manière non-officielle, c'est à dire en civil. Il ne lui restait plus qu'à attendre le jeune espion et prendre du bon temps en attendant. Surveiller la Force H24, ce n'était pas drôle et Coruscant avait probablement des endroits exotiques où elle pourrait trouver amusement.


Lorsque le jeune Aidan fut annoncé. Lunariss sourit. Les choses allaient enfin bouger. Elle s'était bien amusée mais l'amusement n'était pas tout, et comme Leia n'était pas disposée à se montrer, il était temps de passer au guérisseur. La dame noire avait profité de ce passage à Coruscant pour refaire un peu la décoration du Constantine néanmoins de nombreux objets exposés étaient aujourd'hui de valeur inestimable puisque provenant des pillages des anciennes demeures de Dromund Kaas. Le bureau était décoré de couleurs vert bouteille et argent. Un sofa était contre un mur et deux fauteuils assortis de chaque côté d'un bureau en bois qui avait été sculpté par un de ses fidèles plutôt doué de ses mains. Un meuble servait à ranger les liqueurs et un autre servait de vitrine à plusieurs artefacts sith. Lunariss était vêtue de son pagne et de sa brassière en cuir noir, une collation attendait déjà au coin du bureau ainsi que deux verres et une bouteille de vin corellien.
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Sam 17 Mar 2018 - 2:06
「 Ok, let’s star over ! 」

**Toc, toc, toc**

Relevant brusquement la tête de son datapad, Aidan esquiva de peu la lampe penchée beaucoup trop près de son bureau avant d’observer avec suspicion la porte à laquelle on venait de toquer, il était rare que ses collègues ne se permettent pas d’entrer sans frapper, tentant la chance pour surprendre une scène problématique et ainsi obtenir quelque dette ou fâveur en échange du silence mutuel. La pratique était courante dans le service et dépassait parfois le stade de jeu pour développer des situations aux enjeux complexes.

Surpris par la politesse, il n’en déverrouilla pas moins celle-ci, curieux de découvrir l’origine de ce phénomène inattendu.

A peine le verrou pneumatique s’ôtait-il de l’obstacle d’acier qu’un jeune homme à la coupe réglementaire d’une blondeur platine pénétrait dans la bureau et s’avançait à pas discrets vers son bureau. Milton, le nouveau jeune loup du service, pistonné et ambitieux, il ne manquait jamais une occasion faire valoir ses talents. Or il tenait littéralement une opportunité dans ses mains.

Décachetée, l’enveloppe qu’il déposa sur son bureau attira aussitôt l’attention du lieutenant. De par le mode de communication l’expéditeur en laissait dire beaucoup, mais par la signature… Aucun nom n’était nécessaire, il reconnaissait aisément ce noir pour avoir lutté à l’effacer de ses lèvres, aussi bien mentalement que physiquement. L’expéditrice, car il s’agissait visiblement d’une femme appréciait à laisser sa marque sur ce qu’elle… « appréciait ».

~ Lieutenant ? Commença le jeune homme avec un sourire de serpent. Un homme a déposé ça pour vous, plus tôt dans la soirée. Rassurez-vous, il a suivi la batterie de tests nécessaire à l’insertion de tout élément physique extérieurs dans nos locaux, pas de micro ni de poison…

Le jeune homme rayonnait presque de l’ironie de la situation. Le message avait été lu bien entendu… Ouvrant avec délicatesse l’ouvrage de papier, le lieutenant en fit émerger une petite feuille, un moyen archaïque de communication qui ressemblait bien à l’image qu’il se faisait de l’expéditrice, coincée entre deux périodes.

Citation :
Cher ami,

Pourriez-vous venir à ma rencontre pour que nous discutions des suites de nos affaires ?
Je vous attendrais sur mon vaisseau stationné au spatioport de notre belle capitale à votre retour de Naboo.

Cordialement,




Votre précieuse alliée.

Il ne put s’empêcher de déglutir à la senteur du musc sauvage de la twi’lek, des images lui revenant soudainement sous la forme de flash-back. Cependant, malgré sa distraction il ne lui fallut pas longtemps pour découvrir la trahison - Ou peut-être l’erreur ? – de la dame noire des siths.

~Naboo~

Par ce seul mot, elle en offrait beaucoup sur lui aux requins du service. Car il ne pouvait dès lors s’agir que d’une fuite de sa part ou au contraire d’un rendez-vous avec une personne importante dans la hiérarchie impériale, suffisamment pour pouvoir lever le secret sur les missions du BRI en quête d’informations. Elle offrait ainsi soit un levier de pression sur le lieutenant, soit au contraire une piste d’enquête pour découvrir pourquoi le lieutenant fréquentait ainsi le gratin impérial. Brusque, séduisant et à double tranchant… La parfaite allégorie de la dame noire…

***Lendemain soir – Spatioport de Coruscant***

Il avait mis du temps à se débarrasser de Milton Rhames la veille et alors qu’il parcourait d’un pas mesuré les allées du spatioport, il se doutait d’être suivis par quelques ambitieux du service cherchant des informations. Trahison ? Malversation ? Corruption ? Ils n’auraient peut-être pas totalement tort sur le dernier chez d’accusation étant donné la facilité avec laquelle dame Lunariss était parvenue à le détourner d’une mission urgente pour l’Empereur pour son propre service. Certes… les deux servaient l’Empire, mais l’interprétation des ordres n’entrait pas dans ses prérogatives.

Vêtu d’un élégant costume 3 pièces sombres, préférant encourager la piste du rendez-vous galant généreusement offerte à ses collègues par la jeune femme, le lieutenant progressait en direction du quai sur lequel attendait le Constantine, vaisseau personnel de Dame Lunariss, dame noire des sith et croqueuse d’hommes notoire. Son seul et unique passage au service avait laissé une belle pagaille, les jeunes hommes du service cherchant à s’attirer ses faveurs, il avait fallu faire un peu de ménage chez les moins rigoureux dans la réclusion d’informations. Il était lui-même mitigé quant à cette nouvelle rencontre. Cherchait-elle à poursuivre ce qu’il réussi à rompre au prix de grandes difficultés et d’une discipline mentale de fer à leur dernière entrevue, souhaitait-elle discourir de leur mission, celle à laquelle elle avait plus que généreusement proposé de participer malgré son caractère top secret et le fait qu’elle n’aurait jamais du pouvoir en avoir connaissance ? Ou peut-être souhaitait-elle traiter d’un problème différent… Les informations de son agent dans l’entourage du sénateur Organa étaient parvenues trop tard pour permettre la capture de sa fille ou d’un quelconque rebelle, or les sith n’étaient pas connus pour leur amour des échecs… Tout ce stratagème n’avait peut-être pour but que de le discréditer auprès du BRI avant de s’occuper elle-même de son cas de manière… définitive. Or dans ce cas, aussi envoûtante soit-elle, les rumeurs sur les méthodes d’exécution des sith n’avaient rien à envier à celles de leur propre service.

Accueillis à bord par des hommes en armure, il ne put s’empêcher de noter que ceux-ci arboraient l’uniforme des trooper impériaux… Des trooper sur un vaisseau sith ? Soit la dame s’amusait à parer sa garde personnelle en singeant l’armée impériale, soit certains commandants risquaient de devoir répondre d’un changement d’allégeance… Il réserva cependant ses commentaires, arborant l’air froid d’un dignitaire en mission, il se fit escorter jusqu’aux quartiers de la dame, où il semblait déjà attendu, avant de pénétrer sans un remerciement pour son guide.

Son imaginaire fut légèrement déçu du spectacle qu’il découvrit dans l’antre de l’ensorceleuse, d’après l’aperçu qu’il avait eu de la maîtresse des lieux, il s’attendait presque à un harem digne d’un palais hutt ou tout n’était qu’enchantement des sens ou au contraire la tanière sombre d’une manipulatrice des forces obscures de la galaxie…

Or non, la pièce comportait au contraire tout le nécessaire de travail d’un vrai capitaine de vaisseau, un bureau, des fauteuils, un sofa, des meubles de rangements… L’homme notait l’ensemble distraitement alors qu’il prenait également conscience de la présence de la dame noire. Cette fois-ci nul jeu de cape soyeuse pour dissimuler ses attraits, elle l’attendait déjà en tenue de combat… ou de négociations ? Le cuir luttant pour contenir les charmes de la twi’lek tandis que ses longues jambes fuselées se mouvaient avec sensualité.

S’armant de volonté, l’homme se plia d’une révérence gracieuse en direction de la maîtresse des lieux, produisant sans difficulté et à gestes méthodes la bouteille de grand crû qu’il avait jusque-là dissimulé au creux de son bras.

~ Dame Lunariss, c’est un véritable honneur que de pouvoir vous entretenir de nouveau. Que me vaut ce délectable plaisir ?
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Lun 19 Mar 2018 - 0:53



Ponctuel, le lieutenant fut annoncé et pénétra le bureau. Son regard passa la pièce au rayon laser et Lunariss s'amusa de voir qu'il ne s'attendait pas franchement à ça. Elle aimait bien décontenancer ses interlocuteurs, les faire bouger de leurs certitudes. Beaucoup de ceux qu'elle avait rencontré depuis sa sortie de Dromund Kaas la pensait frivole et obsédée, une réputation sulfureuse qu'elle avait tout intérêt à préserver car ils ne voyaient pas le danger. Mais on n'atteignait pas un tel niveau de puissance sans sérieux ni travail. Lancot avait l'honneur de découvrir cette autre facette d'elle.

Une fois son inspection terminée, il s'inclina et présenta une bouteille. La sith sourit.

- Aidan. Tout le plaisir est pour moi.

Elle se leva et de sa démarche sensuelle contourna le bureau au bord duquel elle s'assit.

- Et bien, je pensais travailler un peu sur nos affaires mais je suis tout à fait pour mélanger travail et plaisir.

Elle rejeta la tête en arrière gracieusement, découvrant sa gorge gracile tout en regardant le jeune homme derrière ses yeux mi-clos. puis d'un geste rapide et élégant, elle se retourna, présentant sa chute de rein aux yeux de Aidan. Elle attrapa le plateau avec les verres et le vin corellien puis se dirigea, avec son déhanchement sexy jusqu'au sofa. Là elle déposa le plateau sur un guéridon, offrant toujours sa croupe aux courbes quasi parfaites et ses longues jambes au regard de l'officier. Elle se glissa ensuite sur le sofa :

- Venez donc, mettez vous à l'aise cher ami. Je goûterais bien un peu de votre cadeau.

Ses mots coulaient comme du miel et sous-entendaient parfaitement que par cadeau, elle entendait aussi bien le vin que le lieutenant. Elle avait fortement apprécié leur petit jeu de la dernière fois et sa résistance lui avait donné envie de mieux connaître Lancot.

- Dites moi Aidan, comment un jeune homme aussi charmant que vous devient espion ?

Le ton était réellement intéressé. Ce n'était pas juste une discussion ou interrogatoire. Non. Aidan avait éveillé la curiosité de la dame noire et peuplé certains de ses rêves les plus débridés.
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Mar 20 Mar 2018 - 0:09
「 Ok, let’s star over ! 」
La dame noire était identique à son souvenir, belle, avenante et polie. La parfaite antithèse de ce tout ce les rumeurs pouvaient bien raconter sur les étranges utilisateurs de la force. Elle l’accueillit d’un sourire qui ourla de pulpeuses lèvres au maquillage sombre, ces mêmes lèvres qui avaient laissé leur marque sur l’enveloppe et lui causait bien des soucis.

- Aidan. Tout le plaisir est pour moi.

La préfèrence du lieutenant pour le respect des titres avait visiblement sombré dans la mémoire de sa tumultueuse interlocutrice, à moins qu’elle ne s’amuse au contraire à vouloir le lui faire demander à nouveau. Mesquine et joueuse, cela convenait à ce qu’il imaginait d’elle, de se faire prier tout en ne lui concédant que ce qu’elle voulait bien pour ensuite s’en servir comme d’autres aiguillons délicieux enfoncés dans sa volonté. Sans faire mine de s’émouvoir de plus amples salutations, elle rompait déjà l’espace, contournant le lourd bureau pour se révéler dans son ensemble, prenant l’une de ces poses dont elle avait le secret en s’appuyant contre le bureau. Tout autre qu’elle aurait eu l’air ridicule en pareille tenue dans cette position, mais il exsudait d’elle une telle assurance, qu’elle transformait au contraire la situation en force et démonstration de son pouvoir. Elle n’était pas n’importe qui et pouvait donc se permettre ce qu’autrui ne pouvait.

- Et bien, je pensais travailler un peu sur nos affaires mais je suis tout à fait pour mélanger travail et plaisir.

Il aurait été vain de lui renier ce droit. Ils se trouvaient seuls, dans son bureau, à bord d’un vaisseau armé par elle seule, une haute représentante de l’autorité impériale et il n’était qu’un lieutenant d’un service se préférant discret. Acquiesçant en silence, il observa avec amusement le début des hostilités. Lui ouvrant tout d’abord une vue appétissante sur le pourpre soyeux de sa gorge, c’est en profitant de l’excuse de se saisir d’un plateau sur le bureau qu’elle lui offrit un autre spectacle en se retournant avant de l’inviter à le suivre vers le canapé. De son pas de danseuse, elle aurait happé le regard de n’importe quel homme dans la pièce, mais l’enchantement n’aurait pas été complet sans ce son enchanteur, cette voix qui semblait ne vouloir murmure que pour l’oreille qui l’entendait.

- Venez donc, mettez-vous à l'aise cher ami. Je goûterais bien un peu de votre cadeau.

Faute de temps, il n’avait pu se renseigner sur l’étendu des pouvoirs que l’on prêtait aux siths et à ce moment seule la part reptilienne de son esprit, entrainée par ses années de paranoïa et de double-jeu réfléchissait encore à l’effet de cette manipulation, une part de l’homme en lui ne cherchait dorénavant plus qu’à plaire à cette enchanteresse.

C’est donc en se pliant de bon cœur à son injonction qu’il la rejoignit sur le canapé, adoptant une pose à mi-chemin entre l’assise réglementaire et la démarche relâchée d’un salon de loisir. Prenant appui d’un bras plié sur le dossier du sofa, il se tendit un instant, effleurant presque sa vis-à-vis pour sa saisir des verres et commencer à les emplir, l’un après l’autre.

- Dites-moi Aidan, comment un jeune homme aussi charmant que vous devient espion ?

Autant pour la discussion purement formel d’un professionnel à un autre. La deuxième manœuvre de sa tactique de séduction était classique, mais bien souvent efficace, en poussant l’interlocuteur à parlant de lui, il s’ouvrait de bien des manières et offrait l’occasion de découvrir s’il se trouvait décontracté ou non. Préférant sourire aux propos de la jeune femme tout en rassemblant ses pensées, il ouvrit la bouche pour la seconde fois depuis son entrée dans la pièce, comme si par sa question la twi’lek lui avait rendu subtilement l’autorisation de parler.

~ Chacun se doit de servir l’empire à la hauteur de ses possibilités ma dame. Il semblerait que mes supérieurs à l’académie aient préférés voir en mieux une oreille et des yeux pour renseigner, qu’une bouche pour commander.

Conscient du double sens premier de la twi’lek, il souhaitait lui montrer qu’ils pouvaient être deux à jouer ce petit jeu, enhardit qu’il était par la proximité de la demoiselle il en oubliait le devoir de réserve premier à toute prudence.

~ Cependant je dois avouer être surpris de votre question. Devant la capacité de madame à outrepasser le secret de nos services pour obtenir des informations, j’aurais pensé qu’elle savait déjà tout ceci.

Lui offrant un sourire sardonique, il prit une première gorgée du vin corellien dont elle avait jugé bon de doter le plateau.

~ Dîtes-moi… Combien de nos analystes ont-ils déjà reçus une visite similaire à celle-ci afin de les faire changer d’allégeance à votre profit ?
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