J'ouvris comme a mon habitude, une heure après mon réveil, mon atelier officiel. C'était l'une de mes principales revenu et là je pouvais faire un peu tout ce que je voulais sans être constamment surveiller ou sans avoir une autre personne avec moi, pas que travailler chez les rebelles soit désagréable, absolument pas, mais j'avais demandé plusieurs fois d'avoir mon propre atelier, en expliquant que j'étais mille fois plus productif sans personne avec moi. Les seules réponses fut des non sec, même en ayant un père qui pourrait influencer, rien ne changeait.
Je soufflait, et je m'installa directement à mon bureau pour finir le dernier objet que l'on m'avait donné à réparer, les plans de l'objet était posé sur le côté, maintenue par une tasse de café chaude.
Je passa une heure sur cette objet concentré, je ne faisais absolument pas attention à ce qu'il se passait dehors, il y'aurais put se dérouler une bataille ou avoir une escorte de l'Empire qui passait, rien n'était en mesure de me déconcentrés de ma tâche. Appart peut-être la voix de mon Droïde A-27 qui m'annonçait un client ou qui me disait que c'était l'heure de manger.
La dite voix de mon Droïde résonna :
"Maîtresse Alyia, vous avez un client ! Je suis sur que ça venue vous plairas !"
Je bouillonnait intérieurement, je déteste quand ce droïde m'appelle Maîtresse cela fesai ressortir de vieux souvenirs que je préfèrerais garder enfouis jusqu'à ce que je les oublient mais non, A-27 était toujours la pour me les rappeler … Foutue boîte de conserve têtue ! Je respecte les Droïde mais lui avait la fâcheuse habitude de me faire sortir de mes gonds. Je lui répondu semi fâché :
" A-27! Combien de fois je devrais te répété que je n'aime pas quand tu me vouvoies, et que tu m'appelles Maîtresse ? J'arrive de suite, merci de m'avoir prévenue! "
Je posa délicatement l'objet qui était presque fini, et me dirigea vers l'entrée de mon Atelier la je vie sur le pas de la porte un Zabraks, que je connaissais bien !
Je courus vers lui pour lui faire un câlin, cela faisait longtemps que je n'avais pas eu de nouvelles de lui, j'avais fini par croire qu'il était mort. Comment résumé notre relation… Il était passé de Ennemis à Allier en moins de temps qu'il ne faut pour dire clef à molette, on était devenu amis après son premier séjour. Maintenant il passait presque tous les mois, avec où sans objet casser. Lorsqu'il venait je prenait des "vacances" pour pouvoir passer du temps avec lui, mais aujourd'hui c'était clairement différents, mon client n'était pressé et je ne voulais pas le retenir plus que cela ici. Je me demande quel est exactement la nature de notre relation … Étions nous comme des frères et sœurs ? Étions nous meilleurs amis ? Ou plus ? Je ne réfléchissais jamais aussi loin, je profitai juste de le voir !
"Simi! Comment ça va mon vieux! "  
Je levais les yeux vers lui en souriant, j'adorais ça compagnie c'est sur! Il avait beau être un indépendant je savais que dans son cœur se cachait un rebelle.

Je me réveilla doucement, j'étais dans un jolie hôtel a Lessu, je m'étais posé il y'a quelque jour sur Ryloth pour chercher des mission comme je le faisais habituellement. Une fois par ans je voyageait de planète en planète, je menait une vie de nomade qui me convenait parfaitement car cela me permettait de découvrir des planètes des espèces et de coutumes divers et variés. A la fin de mon voyage je me posait pour un ans sur une planète qui semblait avoir beaucoup de travail pour un pilote, cette année j'avais décidé de me posé plus longtemps que d'habitude sur Ryloth, pour faire un surprise a la petite Twi'lek que je considérait un peu plus que comme une amie, je lui dirait surement jamais mais cela ne m'importait peu elle avait l'air si heureuse d'être mon amie que je ne pouvait pas gâcher ça . Je quitta mon hôtel, et je décida de faire un tour en ville, avant de passé a l'atelier de la miss, pour acheter un petit quelque chose pour me faire pardonner de c'est deux long mois sans nouvelle. Je n'avais jamais eu autant de travail que pendant les deux dernier moi j'avais faillit loupé mon voyage annuelle, c'était avec regret que je quittait Tatooine, car l'activité la bas ne manquais pas en cette saison.
Je passa devant un antiquaires ou je vis un objet qui pourrait plaire a Aliya. Je rentra dans le magasin et je dis d'un ton poli :
"Bonjour!"
Une voie métallique me répondit, je soufflait de désespoir en l'entendant, refilé le salle boulot au machine et se pendre tout les compliment après … Ca me désespérai a un point.
"Bienvenu a la Boutique de Monsieur Doe, vous trouverez ici tout celons vous avez besoin! Bonne visite !"
Je m'approchas de l'objet que j'avais repéré, un genre de loupe lunette , donc j'ignorais le nom exact. mais ou on pouvais réglée le grossissement, je savais que la Miss, travaillait avec des loupe et je trouvais cet objet assez beaux et beaucoup plus pratique que les villes loupes avec les qu'elles Aliya travaillait (Voila a quoi ressemblent les dites lunettes)  

Je m'approchas du comptoir et je posa l'objet dessus pour le payé, l'Androïde se ralluma, et dit:
" Très bon choix ! Ca vous fera un crédit !"
Je fut étonné du coup de l'objet, je trouvait ça peut chère pour ce que c'était et je me demanda pourquoi Aliya n'en avait pas acheté avant, je donna a l'androïde l'argent et je pris l'objet en main, pour le mettre dans mon sac. Je sorti sans faire attention a ce que disait l'androïde, je me dirigea vers une navette qui fessait le chemin jusqu'au village où se trouvait  l'atelier de Aliya, ce village était situé au Nord-ouest de Lessu a moins de 5 minute a pied du bord de la capital, j'était absolument pas flemmard mais la capitale de Ryloth était une assez grande ville et le chemin qui me dura 2 min en navette m'aurait pris une bonne demi heure,. J'appuya ma tête contre la vitre de la navette et je regarda les bâtiments défilés a une vitesse folle, je n'avais pas le temps de les regardé qu'il s'enchainait rapidement, cette sensation de vitesse me rappelai la sensation de que procurait l'hyperespace. Je tenait le sac entre mes mains pour éviter les vols, qui était de plus en plus courant depuis quelques années. Une fois arriver au village je finis le chemins a pied tout en admirant l'architecture Twi'lek, les visage joyeux des petit Twi'lek. J'ai toujours été impressionné par la jovialité de ce peuple, le peut de Twi'lek que j'avais rencontré étais foncièrement gentil et bien veillant. Une fois arriver à l'atelier de la petite, mes cœurs s'emballaient, et je soupira pour essayer de me calmer, mais rien ni fessait j'avais l'impression que mes cœurs allaient explosé. Je tira la porte ce qui activa A-27 qui m'annonça a l'hôte de ses lieux.
" Maîtresse Alyia, vous avez un client ! Je suis sur que ça venue vous plairas !"
Aliya répondit d'un ton semi énervé, je savais qu'elle détestait quand A-27 l'appelait Maîtresse elle m'avais parlé de ça jeunesse, et je comprenait ça colère, mais elle devait savoir que un Droïde était programmé pour appelé les personne maitre et pour vouvoyé.
" A-27! Combien de fois je devrais te répété que je n'aime pas quand tu me vouvoies, et que tu m'appelles Maîtresse ? J'arrive de suite, merci de m'avoir prévenue! "
Au moment ou j'entendis la voie de Aliya mon pouls augmenta instantanément. Foutue Twi'lek, si elle était au courant de l'effet qu'elle peut provoquer rien que en étant naturelle elle serait dix foi plus confiante, je la vue arriver et foncer droit sur moi pour me faire un câlin. Je la rattrapa en souriant. Elle dit en se précipitant dans mes bras :
" Simi! Comment ça va mon vieux!"
Je la garda séré contre moi, cela faisait si longtemps que je ne l' avais pas vue, elle m'avais beaucoup manqué plus que je ne pourrait l'avouer ! Elle monta les yeux vers moi et sourit tendrement! Je lui répondis d'un ton semi aguicheur:
"Ca va et toi ma belle ? J'ai un petit cadeau pour m'excusé de ses deux mois sans nouvelle! J'espère qu'il te plaira ma p'tite Al ... " Je ne voulais pas la lâcher alors j'attendais tout simplement, qu'elle met fin a son câlin.

Aliya soupira aux surnoms que je lui avais donné, cette réaction me fit rire doucement, elle avait l'habitude de se comporter comme un enfant en ma présence, c'était à la fois déstabilisant et totalement raffermissant, je sais que ce comportement ne m'est pas exclusivement réservé car elle se comportait comme ça avec les personnes qu'elle aimait (comme sa sœur ou son père). La miss leva les yeux vers les miens, elle faisait bien une tête de moins que moi même sur la pointe des pieds, elle pris un ton volontairement aguicheur et exagéré mais cela semblait naturelle chez elle comme si elle avait l'habitude de "draguer", alors qu'elle se mettait à bégayer déc que une personne abordait le sujet des relations amoureuses.
" - Ca va beaucoup mieux depuis que tu es arrivé mon beau. "
Je rougissais à cette phrase, malgré le faite qu'elle manque énormément de vérité, et je fus obligé de tousser pour reprendre un peu de contenance et balayer les rougeurs naissantes de mes joues. Une paire d'yeux brillant d'une lueur étrange me fis sortir de ma concentration, je frémi de peur en croisant le regard de Aliya, parfois j'étais bien content de faire partie de ces ami.es car je ne voulais absolument pas l'avoir comme ennemis quand je voyais ce genre de regard bizarre qu'elle pouvait me sortir ! Elle se retira de notre étreinte, qui avait duré depuis un long moment, j'étais plus que dessus à se moment là mais je savais que la miss pouvais faire preuve d'une sertaine curiosité malsaine, elle me demandait sur un ton semi-excité tout en ne lâchant pas mon regard, malgré tout mes efforts pour fuir ces yeux remplis d'une lueur malsaine qui me mettais mal à l'aise, :
"-Tu as vraiment un cadeau pour moi ? T'es le meilleur Simi!
- Oui je viens de le dire Miss ! Bravo tu sais utiliser un coton tige pour te nettoyer les oreilles ! Dis je en essayant de blaguer"  
Sur ces paroles je portais mon bras gauche à mon épaule pour enlever mon sac de là, je le posait délicatement au sol pour éviter que mon cadeau ce casse avant même d'avoir été utilisé. J'ouvris mon sac sans peur que mon sabre soit decouvert par Al, il était bien planqué à l'abrit des regards dans une des poches secrète de mon sac, sac que j'avais toujours sur moi ou à côté de moi. Je me baissa et sorti du sac le cadeau de la miss, je la regardais et lui fi mon plus beau clin d'œil avant de lui déclarer :
"- J'espère que tu aimerais miss ! Je l'ai vue je me suis dit que c'était beaucoup mieux que les vielles loupe que tu te trimbale!"
Je me préparais mentalement à toute les réactions possible

"- Oui je viens de le dire Miss ! Bravo tu sais utiliser un coton tige pour te nettoyer les oreilles ! dis je en essayant de blaguer.
- Ah ah très drôle ! Dis-je sarcastiquement."
Sur ces paroles, il fit descendre son sac de son épaule gauche et le posa délicatement au sol. Je bouillonnais d'impatience de voir ce qu'il y'avais dans ce sac. Il ouvrit son sac et se baissa pour en sortir le cadeau qu'il voulait m'offrir, je clignai des yeux devant l'objet et restai sans voix. Combien avait-t-il payé pour ces lunettes ? Cela fesait des années que j'en voulais une paire, mais les exemplaires étaient bien trop chers pour moi. Il me regarda et me fit son plus beau clin d'œil avant de me déclarer :
 "- J'espère que tu aimeras, Miss ! Je l'ai vue, je me suis dit que c'était beaucoup mieux que les vieilles loupe que tu te trimbales !"
 Je me retins de lui sauter dans les bras, j'étais tellement joyeuse ! Je lui répondis avec un grand sourire :
 "- C'est le meilleur cadeau au monde, Simkah ! Tu savais que j'en cherchais une paire depuis longtemps ?"
Je pris les lunettes, commençai à les examiner ;  plus je les regardais, plus mes yeux s'écarquillaient : ce que je tenais dans les mains était plus qu'une simple paire de lunettes ! C'était la paire d'un des plus grands mécaniciens de tout la galaxie, l'un des plus célèbres, ce n'était pas qu'une réplique que l'on pouvait trouver un peu partout, non c'était LA seule et l'unique ! Le mécanicien qui les avait portées avait arrêté de travailler l'an dernier et avait vendu aux enchères ces lunettes ; je me demande aujourd'hui : "Comment ont-elles fait atterrir dans mes mains ?"
Je me tournai doucement vers mon ami, et lui dit d'un ton suspicieux :
"- Simkah... Où as-tu trouvé ces lunettes ? Je sais que l'on ne le demande pas, mais : combien cela t'a-t-il coûté, espèce de fou !"