Les dégâts sur mon vaisseau avait été une vraie catastrophe, mais au final grâce à un pilote TIE vraiment courageux nous avions inversé la situation. Mon prisonnier ne voulait pas parler ? Soit, le soucis ne serait bientôt plus qu'un mauvais souvenir, car j'avais fais demander par message expresse la présence d'un membre de servie spéciaux de l'Empire pour venir récupérer mon prisonnier.
Assise à mon bureau, j'avais envoyé mon message de façon crypté et unique qu'il aurait été impossible que mon prisonnier puisse le lire. Mon droïde protocolaire entra et je servie tranquillement une bonne bouteille de vin corellienne pour narguer mon prisonnier.
Bon, puisque vous ne voulez pas me répondre, ce n'est pas grave. La personne que j'ai fais demandé se fera une joie de vous faire parler sans le moindre soucis Je fixais mon prisonnier droit dans les yeux tout en portant à ma bouche mon verre pour savourer le doux nectar de ce grand crus. Quel dommage que votre planète gâche son savoir faire contre l'Empire, au lieu de pouvoir s'enrichir grâce au commerce impérial. Vin, bijoux de grand luxe, tissus de qualités et bien d'autres talents stupidement ingéré, c'est si triste Lorsque l'on m'informa de l'arrivée mes deux visiteurs, je souris avec une certaine lueur de sadisme dans le regard. La première personne était réellement attendue, mais la seconde était une surprise non négligeable et là je ne donnais pas chère de la peau de ce petit imbécile de confédéré
Messieurs, c'est un honneur de vous avoir à bord de mon vaisseau.
Je me relevais de mon fauteuil pour saluer avec tout le respect qui était du aux deux arrivant
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Mer 31 Jan 2018 - 21:09
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D’ici quelques jours, Tarkin devra de nouveau se rendre à Coruscant pour répondre à une convocation de l’Empereur, il était plus que probable que les projets d’attaque contre leurs nouveaux ennemis passent sur la table, à présent que d’autres problèmes étaient réglé. D’autant plus si cette petite Confédération se mettait à attaquer leurs troupes sans ordre ni réel but, comme cela venait d’être juste le cas… Le Gouverneur n’avait certes pas prévu de faire un arrêt dans le secteur de Naboo, néanmoins, si cela concernait un Confédéré, pourquoi ne pas faire une petite pause dans le trajet afin de s’occuper de son cas. Le rapport qu’on lui fournit lui fit légèrement hausser les sourcils, il aurait cru qu’un équipage de croiseur se défendrait pourtant bien mieux que cela face aux Confédérés, le niveau avait tendance à baisser considérablement, ces derniers temps. Sa flotte quitta l’hyperespace en arrivant près de Naboo, alors qu’on venait l’avertir que sa navette était prête. Aucune autre force Confédérée n’avait été repérée, ils avaient donc déjà passé les prisonniers par pertes et profits, voilà qui était plutôt raisonnable. Tarkin prit place à bord de sa navette, terminant avec rapidité de lire le rapport durant le trajet.
Un croiseur avait une force de frappe suffisante pour écraser quelques chasseurs inopportuns et des frégates mal armées, à moins bien sûr que l’équipage ne soit incompétent ou que ses officiers n’aient aucune expérience de ce genre de situations. Il y avait, dans leurs rangs, bien trop de peureux, bien trop de faibles n’osant pas tirer, bien trop de personnes balbutiantes qui ignoraient la véritable portée de leurs actes. Pensaient-ils donc que leurs ennemis, eux, allaient hésiter ? Qu’on pouvait se permettre de demi-mesure ? Ce serait une grossière erreur… Une autre question, tout aussi pressante, était de savoir ce que la Confédération fichait sur Naboo, y avaient-ils une base secrète, y menaient-ils des opérations régulières ou ne s’étaient-ils retrouvé dans le secteur que pour un cas en particulier ? Quant à cette navette volée, qui s’était échappée avec leur mystérieux voleur… le garde en surface avait cru clamé qu’il s‘agissait d’un Jedi, du moins un Padawan, armé d’un sabre laser et d’après la description faite, portant une tenue correspondant. Soit la Confédération avait déjà pu se faire des alliés des Jedis, soit tout ce beau monde ne s’était retrouvé ensemble qu’au mauvais endroit au mauvais moment.
Tarkin doutait que la Confédération ait déjà pu contacter l’Ordre Jedi et s’en faire un allié, il s’était encore écoulé trop peu de temps depuis la bataille d’Alderaan, leur chef y était toujours coincé et le reste avait plus urgent à se demander comment échapper aux représailles. Attaquer ainsi un ennemi plus puissant que soit sans avoir au préalable préparé des défenses suffisantes pour se protéger était d’une stupidité sans nom. Il se releva tranquillement en arrivant finalement sur le croiseur, constatant en sortant que le bureau de renseignement avait déjà été contacté, le lieutenant Lancot se trouvait également ici. Parfait, il allait donc pouvoir enquêter sur ce qui amenait la Confédération dans le secteur. Le gouverneur le salua avec politesse, avant de se rendre avec lui dans le bureau de la capitaine du croiseur. Voilà donc leur cher ami Confédéré. Le gouverneur reconnaissait que l’attaque avait été très bien menée, leurs ennemis comptaient bien plus de bons pilotes dans leurs rangs que l’Empire, hélas.
– Messieurs, c’est un honneur de vous avoir à bord de mon vaisseau.
Tarkin lui rendit son salut d’un ton égal, peu intéressé par les ronds de jambes et les manières formelles, il avait plus important à penser. La navette volée avec le Padawan à son bord avait disparu, le croiseur avait été assez endommagé pour être coincé dans le secteur durant un bon moment, seuls quelques prisonniers avaient été fait et on pouvait ajouter un cas d’insubordination dans le tas, en plus de manœuvres impériales inutiles qui avaient failli offrir une victoire à la Confédération. Il n’y avait là aucune victoire impériale, ce n’était qu’un coup de chance qui avait permis au croiser de ne pas être réduit en miettes en plein espace, cela plus les talents en pilotage de leur pilote rebelle sur les bords.
– Nous comptons sur vous, lieutenant Lancot, pour mener les opérations de sécurisation de Naboo et les enquêtes qu’il faudra, déclara-t-il d’un ton toujours neutre. Le gamin ayant volé la navette avait déclaré se nommer Jacen Organa. Son vrai nom est Solo, il avait été tué sur Alderaan, mais avec toutes ces failles et arrivées des utilisateurs de la Force… Vous semblez désigné pour vous charger des problèmes liés aux Solo, lieutenant.
Cette dernière phrase avait été glissée non sans une certaine ironie, ceci étant, il comprenait la charge que cela pouvait être, lui-même, après tout, étant bien chargé de faire tout le nécessaire possible pour empêcher les Skywalker de commettre trop de dégâts. Il reporta ensuite le regard sur le jeune Confédéré, toujours l’air neutre.
– Vous et les vôtres avez définitivement l’art et la manière de vous retrouver là où vous ne le devriez pas. Je ne vous demanderai qu’une seule fois de nous dire tout ce que vous savez avant que nous passions à des méthodes plus expéditives.
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Ven 2 Fév 2018 - 11:49
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J'étais assis dans un bureau, menotté et face à cette fichue Twi'Lek. Je restais impassible à ses gestes. Je m'enfichais de son foutus vin corellien. Tout ce que je souhaitais c'est rentrer chez moi... Je ne savais que réellement faire désormais... J'étais seul, livré à l'Empire. Et je sais bien que si je ne révèle rien, je meurs... Un choix difficile, mais ma cause pour la Confédération était bien plus intéressante... Sachant que le plan ne sera pas effectuer comme prévu. Trench avait trop d'espoir dans les Corelliens... Je savais qu'ils ne le suivraient pas. Ils avaient envie de revoir Leukos. Mais c'était peine perdu. Je vois déja Trench s'en aller seul, avec quelques partisans et ses droïdes. Bon, au moins les autres dirigeants étaient beaucoup plus impliqué.
Je soupirais, trouvant la position très inconfortable... Un droïde protocolaire entra, suivis de deux humains, un impérial que je ne connaissais pas et .... Tarkin... Le monstre sans nom... Je commençais à me débattre sur ma chaise grognant contre le monstre sans nom ! Cet horrible personnage ayant tué nombres d'innocents ! Et ayant obligé notre très cher leader de rester bloqué sur Alderaan ! Monstre ... Je l'insultais de tout les noms le voyant. Je ne prêtais pas attention aux regards des autres personnes dans la salle. L'autre homme se nommait Aidan... Je m'en fichais, il n'avait pas d'importance pour moi. Aucune a vrai dire...
L'abomination me fixa du regard. L'art de nous retrouver là où on ne devrait pas ? Tu es sur mon vieux que tu veux jouer à ce jeu là ! L'Empire n'a rien à faire ici ! Il mérite sa fin ! Il souhaitait que je lui réponde de tout mon coeur ce que je savais. Je le dévisageais, avec un regard de défi. Allez le vieux ! Viens te battre ! Erreur de la nature ! Mais j'avais un plan... Je commençais à baisser les yeux, me mettant à sourire, avant de ricaner, pour finalement éclater de rire.
Monsieur Tarkin, votre présence m'honore ! Je savais pas que les petits amiraux comme moi était si important pour l'Empire. Le Schnock ! J'ai rien à te dire ni à vous deux ! Ce que je veux c'est que vous me laissez en paix, vous ne tirerez rien de moi, que vous le sachez tout de suite ! Puis vous pourrez toujours clamer qu'une reconversion est possible ! Je ne vous donnerais pas ce plaisir. Toi la Twi'Lek tu penses me faire changer, je le vois dans ton regard, dans tes manières, mais c'est impossible. Torturez moi ! Tuez moi ! Vous n'aurez rien ... Héhé à part votre idiotie de ne pas comprendre que je resterais fidèle à ma cause et qu'il faudra me tuer pour vous débarrasser de moi ! Abomination
Je commençais à rire aux éclats, mes émotions se mélangeant. La colère, la haine, la vengeance... J'avais un regard sombre et mon sourire n'était pas plus joyeux qu'un Hutt... Alors j'attendais sagement, fermant ma bouche, ma capsule entre les dents.
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Ven 2 Fév 2018 - 22:06
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Aidan Lancot
「 Rencontre au sommet 」
~ LANCOT ! Nouvelle affectation !
Le lieutenant pu entendre son supérieur direct émettre son cri tonitruant depuis le couloir. C’était à se demander comment une brute pareille avait pu s’élever aussi dans les renseignements, un secteur réputé pour sa finesse sa subtilité et sa… oui, son absence de pitié. Ils étaient les encagouleurs de l’empire, ceux chargés de faire disparaître discrètement les gêneurs dont la mort ne pouvait être médiatisé, voilà comment son supérieur avait gravi la sanglante hiérarchie du « bureau », il était bon à son job.
Ecartant d’un mouvement de la main le rapport de l’agent qu’il avait été obligé d’activer sur Aldéraan, son affichage pivota pour lui dévoiler sa nouvelle mission « urgente ». Nul besoin de signaler que chaque mission semblait plus urgente que la précédente actuellement, à ceci près que la première de cette étrange cascade émanait de l’instance suprême de leur beau régime.
Le rapport lui peignit rapidement une image peu fameuse de la situation. Quelqu’un avait chié dans les grandes largeurs et ce quelqu’un allait devoir rendre des comptes, mais entretemps le capitaine du croiseur incriminé s’était arrangé pour … pardon ?! Pour capturer le commandant de la flotte ennemie avant que les vaisseaux confédérés ne commencent à se tirer dessus ? Empereur tout puissant… Un duel de crétin en orbite de Naboo… Bien sûr, il fallait que ce soit Naboo… De toutes les FOUTUES planètes de l’univers il fallait que ce soit la planète d’origine de l’empereur. Planète dont il avait été sénateur plus longtemps que lui-même n’occupait son poste au renseignement… Le lieutenant ne savait pas quel être cosmique il avait énervé, mais cette avalanche de missions semblait vouloir se transformer en avalanche de merde s’il devait commettre la main erreur…
Verrouillant son interface, il attrapa son communicateur. La navette qui devait l’amener sur place l’attendait déjà au quai soucieuse de ne pas arriver en retard pour le type de mission qui ne risquait pas de lui valoir une promotion…
***
~ Empereur tout puissant…
Aidan poussa un long soupir lorsque le cockpit de la navette émergea de vitesse lumière pour lui dévoiler un panorama aussi magnifique que sinistre. Naboo resplendissait pour une bonne moitié, le soleil du secteur permettant d’apercevoir les vastes étendues forestières et les lacs profonds de la planète, un paysage bien différent de sa coruscant natale, loin du métal et des ombres de la cité-planète.
Cependant ce n’est pas tant la vue de la planète qui amena ce soupir à ses lèvres, mais plutôt la flotte en faction, gardant tout aussi bien l’orbite de la planète que le croiseur incriminé, véritable microbe face au vaisseau amiral du grand moff… En trois jours à peine il lui serait possible de croiser pour la première fois deux des plus grandes figures de l’empire. Un honneur plus que douteux dans son métier. Le domaine de son bureau c’était les ombres, les sombres coursives et les chambres d’interrogatoires, un secteur souvent bien éloigné des véritables décisionnaires. Or tout un chacun se plaisait grandement à cette distance.
~ Bien reçu effronté, nous amorçons notre approche.
Jusqu’ici Aidan n’avait écouté que d’une oreille distraite les manœuvres d’approches de ses pilotes, préférant le confort spartiate de l’habitacle à l’espace bien trop vide du compartiment passager, mais cette dernière phrase sonnait comme un glas dans son esprit.
Se composant un masque froid et professionnel, il laissa derrière lui son apathie alors que sa navette progressait vers le hangar du croiseur à l’origine de tout ceci.
***
Il devait avouer avoir été bien reçu, le personnel de bord s’était montré poli à défaut d’amical. Tout un chacun certainement empli des sombres rumeurs courant sur le Bureau. C’était un fait simple et qui ne me dérangeait guère, mon métier ne consistait ni à me montrer amical, ni à plaire. Nous étions ceux présents pour se charger du sale boulot, celui sans honneur ni gloire, mais néanmoins indispensable.
Son guide le mena rapidement à travers le dédale de coursive avant de rejoindre leur second invité de marque. Aidan ignorait s’il devait leur arrivée commune à un étrange jeu du sort où à la volonté de l’un des plus grands stratèges de l’empire, mais il ne laissa pas un instant ses doutes transparaître sur son masque professionnel alors qu’il adressait des salutations formelles et peut-être un peu raides à l’homme capable de rayer un monde de la carte stellaire d’un simple ordre.
Sans un mot, il lui emboita le pas, légèrement en retrait, marquant la prédominance du grand moff, alors que leurs guides se chargeaient de les mener vers la … La cabine du capitaine ?! Pas une geôle, non, la cabine du capitaine…
S’abstenant de marquer sa désapprobation, il suivit ce qui commençait à devenir une petite troupe pour finalement pénétrer dans la « geôle provisoire » de leur « invité de marque ». L’usage de guillemets mentales ne pouvaient amuser que lui, mais il avait appris à profiter des moindres petits traits d’humour dans son métier pour continuer à vivre, dans une horreur trop présente, on apprend l’humour noir ou on finit au bout de son propre blaster…
Coulissant dans un chuintement pneumatique, la porte dévoila une scène peu probable pour le lieutenant. Le capitaine de l’effronté, la twi-lek qui défrayait périodiquement les chroniques se trouvait assise, parfaitement relaxée derrière un bureau que le lieutenant jugea loin d’être protocolaire, un verre à la main, tandis qu’un second, encore inentamé faisait face à ce qu’Aidan jugea être Crétin n°2.
Laissant Tarkin prendre tout l’espace nécessaire à son rang, il salua discrètement le capitaine de l’effronté sans accorder un regard au captif, ils auraient l’occasion d’avoir de longues conversations en tête à tête, plus tard…
– Messieurs, c’est un honneur de vous avoir à bord de mon vaisseau.
Jusque-là tout se passait bien. Sa carrière n’était pas compromise, personne n’avait encore commencé à hurler, personne n’était mort… Pour l’instant certes, mais cela demeurait un bon début.
– Nous comptons sur vous, lieutenant Lancot, pour mener les opérations de sécurisation de Naboo et les enquêtes qu’il faudra,
Bordel de ****…. Bien sûr, il fallait que cela dégénère ! Et de par la bouche même du grand moff en plus. Le rapport ne mentionnait à l’origine que l’interrogatoire d’un prisonnier ennemi et son éventuelle escorte jusqu’aux services spécialisés situés sous le Bureau. Or voilà qu’il se retrouvait avec la double mission d’expliquer tout ce merdier et de faire en sorte que cela ne recommence plus… Avec sa poisse actuelle, Aidan devrait se diriger vers le casino le plus proche. Si ces histoires d’équilibre dans la force étaient véridiques il y jouirait d’une monumentale baraka…
Le gamin ayant volé la navette avait déclaré se nommer Jacen Organa. Son vrai nom est Solo, il avait été tué sur Alderaan, mais avec toutes ces failles et arrivées des utilisateurs de la Force… Vous semblez désigné pour vous charger des problèmes liés aux Solo, lieutenant.
Organa, Solo… Les trois derniers jours n’avaient consisté qu’en une éternelle répétition de ces deux noms. Solo dans la bouche de l’empereur, Organa dans la bouche de… Non, il préférait ne pas penser à cette bouche ci… En soi, il pourrait presque justifier auprès de l’empereur ces délais incessant dans sa principale mission comme des pistes à suivre dans sa traque du contrebandier.
Mais enfin le grand moff consentait à oublier sa présence pour se concentrer sur la cause de leur présence à tous, le captif. L’homme semblait aussi indifférent à la présence du gradé, qu’un wookie affamé le serait devant son premier repas depuis deux semaines. Il fulminait littéralement, tirant sur ses menottes, tous les muscles de son corps bâti pour la guerre tendus pour s’arracher à l’étreinte de métal et resserrer ses poignes disgracieuses autour du maigre cou de Tarkin. Il l’aurait presque fait rire avec son teint rougeaud et sa respiration sifflante avant qu’il ne commence à jouer au prisonnier politique qui ne parlerait jamais. Tous finissaient par parler, tous… La question était de savoir si le point de rupture de leur esprit se trouvait avant ou après celui de leur santé mentale…
Monsieur Tarkin, votre présence m'honore ! Je savais pas que les petits amiraux comme moi était si important pour l'Empire. Le Schnock ! J'ai rien à te dire ni à vous deux ! Ce que je veux c'est que vous me laissez en paix, vous ne tirerez rien de moi, que vous le sachez tout de suite ! Puis vous pourrez toujours clamer qu'une reconversion est possible ! Je ne vous donnerais pas ce plaisir. Toi la Twi'Lek tu penses me faire changer, je le vois dans ton regard, dans tes manières, mais c'est impossible. Torturez moi ! Tuez moi ! Vous n'aurez rien ... Héhé à part votre idiotie de ne pas comprendre que je resterais fidèle à ma cause et qu'il faudra me tuer pour vous débarrasser de moi ! Abomination
Aidan se demandait comment celui-ci craquerait. A cause des injections ? Du sort que l’on réserverait à ses genoux, coudes et autres articulations ? La perspective de ne plus jamais sentir la caresse du soleil sur sa peau ? La question tenait lieu de jeu pour les membres du service du niveau d’en dessous et se trouvait souvent l’enjeux de paris, paris auxquels Aidan s’adonnait par moment. Après tout… on socialise comme on peut chez les indésirables, non ?
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Ven 2 Fév 2018 - 23:27
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La prochaine fois, j'éviterais de faire preuve d'une certaine politesse envers deux hauts membres de l'Empire si c'est pour avoir autant de froideur. Retenant un soupir, j'observais longuement mon prisonnier qui ne semblait pas vraiment vouloir coopérer.
Bras croisé, je laissais le grand Moff Tarkin, prendre la parole et discuter avec le dernier arrivant de cette étrange rencontre. Il semblait être familier au soucis lié à la famille Solo. Intérieurement je le plaignais vraiment parce que cette famille était vraiment un nid à embrouille et plus que connu de l'Empire.
L'autre imbécile sur sa chaise, se permit à hurler comme un fou et insulter le grand Moff, mais il semblait vraiment avoir une case en moins dans la cervelle mais son soudain silence et calme, m'alerta sur quelque chose de pas très net dans cette situation.
Se pourrait-il ? Non, mais j'ai un doute déclarais-je avant de m'approcher vivement de mon prisonnier.
J'avais déjà vue ce genre de comportement une seule fois dans ma carrière et la seconde d'après l'homme était mort empoisonné. Serrant fortement sa mâchoire d'une main et le nez de l'autre, je l'obligeait à ouvrir sa bouche et ainsi récupérer une petite capsule de poison dans sa bouche, avant de me faire mordre les doigts. Je lui décochais une violente gifle pour m'avoir mordue jusqu'au sang avant de plonger mon regard noir dans le sien
Manque de chance pour toi sombre idiot, j'ai déjà vue quelqu'un faire la même chose que toi dans le passé donc j'ai compris ce que tu cachais dans ta bouche
Je me tournais vers Aidan et Tarkin, avant de poser une petite capsule sur mon bureau
Un peu plus et nous le perdions avant qu'il n'est ouvert la bouche et révélé tout les secrets qu'il cache
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Sam 3 Fév 2018 - 9:01
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Quelle pitié que la plupart de leurs ennemis n’aient jamais appris que le calme, le sang-froid et la réflexion ont bien plus de valeurs dans ce genre de situations que de s’agiter si brusquement et se mettre à hurler, comme pour enfoncer le clou du mépris qu’on accordait aux agités pareils. Empire illégitime, refus de parler, fierté mise en avant et proclamation d’un silence éternel plutôt que de trahir le moindre secret, ce petit discours virulent était le même chez presque tous les prisonniers faits ces dernières années, il avait d’abord été une spécialité rebelle avant de se démocratiser chez tous les ennemis de l’Empire, à la manière d’une nouvelle mode absurde. Le calme et l’intelligence froide restera donc à jamais un concept échappant aux rebelles et pseudos-rebelles, du style de ce brave soldat, vivant dans la galaxie. Qu’il s’agite, tant qu’il le pouvait, qu’il montre ô combien il les haïssait tous et clame sa fierté d’appartenir à sa ridicule petite faction, il comprendra bien assez vite, et seul, qu’il s’agissait là d’une énergie qu’il aurait dû conserver pour la suite. Les agents de l’Empire étaient réputés pour être capable de faire parler n’importe qui, peu de personnes étaient au courant des sombres histoires circulant sous les profondeurs du palais impérial, et s’ils devaient pour le moment éviter de tuer les Jedis à cause de ces failles et éviter qu’ils ne reviennent plus puissants encore, les êtres plus ordinaires ne disposaient pas de cette chance.
Ceci étant, la Twi’lek put prouver qu’elle avait une autre utilité que celle de de faire aussi ridiculement arraisonner un croiseur face à trois malheureux chasseurs et quelques frégates. Amusant, les Confédérés étaient définitivement plus raisonnables que beaucoup de rebelles, s’ils prévoyaient ce genre de petites combines, pour éviter les interrogatoires trop musclés. Tarkin n’en fit pas grand cas, c’était habituel, et même si ce type était mort avant d’avoir pu avouer quoi que ce soit, l’importance en restait minime. Comme il l’avait souligné lui-même, il n’était qu’un petit amiral. Par ailleurs, les « chefs » actuels de la Confédération n’avaient pas autant de force ni, tout particulièrement, d’autant d’appui de la part de leurs peuples que n’en avait eu Leukos Bonteri. Le Gouverneur Tarkin s’y connaissait, en politique et dans ces jeux de pouvoir, ce qui l’avait amené à porter un certain respect à celle portée par Bonteri. Un mélange de manipulation, de force, de finesse et de souplesse, il avait bâti un nouvelle faction qui aurait pu aller bien plus loin si elle n’avait pas été abandonnée aux mains de personnes moins compétentes et moins légitimes à ce poste. Comment disait-on, « quel dommage » ? La Confédération avait agi d’une manière parfaitement stupide et irresponsable, sur Alderaan, quel meilleur moyen de condamner ainsi tout un peuple. A la différence des Rebelles, l’Empire savait où trouver les Corelliens.
– Ne soyez pas naïf, reprit-il tranquillement. Votre vie n’a aucune valeur pour nous, pas plus que votre mort, le seul « danger », si je puis dire, principal de la Confédération a déjà disparu depuis bien longtemps, corps et bien. Leukos Bonteri était un politicien habile, je le reconnais sans peine. Un chef qui n’aurait jamais accepté d’envoyer ses troupes au suicide sur Alderaan, sans préparation, sans chance de victoire, sans moyen d’assurer par la suite la protection de son peuple. Il est navrant que vos chefs aient oublié que nous pouvons rayer votre peuple de la carte comme nous avons exterminé le peuple d’Humbarine.
Pour appuyer ses propos, il se dirigea vers le bureau et sa console de contrôle, mettant une minute avant de faire sortir de la base de données les images holographiques de la désolation à la surface de cette planète. Tout avait été rasé, détruit, la terre si gorgée de sang qu’elle ne restera encore stérile bien longtemps, les crevasses et gouffres étaient légions, des carcasses de navettes gisaient, écrasés. Et encore, tout cela n’avait été produit que par des moyens classiques, car ils n’avaient pas encore l’Étoile Noire. Un bombardement orbital, le choc des chasseurs contre ceux de leurs ennemis, le feu de leurs troupes, la mort omniprésente, le sang coulant à flot, la destruction, un monde ravagé. Un spectacle toujours aussi plaisant à orchestrer et mettre en œuvre, aucun ennemi de l’Empire ne méritait mieux que terminer ainsi. Bientôt, la Confédération en fera elle-même les frais. Le temps filait, la station avait de bonnes chances d’être prête pour la bataille dans le secteur.
– Qu’importe ce que vous cracherez ou non, soyez au moins sûr de cela. Nous ne voulons pas réduire la Confédération au silence et à l’obéissance mais bien la détruire. Vous qui me criez « monstre », vous êtes donc conscient que la pitié ne sera pas de mise. Une dernière petite phrase de défi, peut-être ?
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Sam 3 Fév 2018 - 12:17
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Je soupirais attendant mon sort, avant de mordre le doigt quand la Twi'Lek venait de me prendre ma capsule. Fichus impériaux... Le coup était trop connu... Je ne savais réellement ce que je devais faire... J'étais trop attaché à la Confédération... Mais je ne pouvais pas laisser l'Empire aller détruire nos citoyens. Le monstre sans nom me montra alors la désolation présente sur Humbarine. Quel horreur... Tout ça seulement pour s'affirmer... Je ne savais que faire encore une fois... J'étais perdus... C'est dans les dernières heures que nous sommes impuissant. Mais de cette impuissance mérite une révélation. Celle de ne pas prendre la solution la plus simple. De me battre pour mes principes ! Et aider la Confédération du mieux que je pouvais...
Je soupirais longuement à la question de Tarkin... Avant de réfléchir, laissant un silence plané dans la pièce... Je ne savais réellement quoi dire... Mais je le devais... pour ma vie ... et celle de mes camarades... Mais je me lançais.
Je me rends... Vous avez gagnez... J'ai été envoyé pour effectué des chevauchées, permettant d'affaiblir des petites bases de l'Empire, pour le déstabiliser... Trois ou quatre ont été fructueuse... Mais celle-ci non... J'ai perdu mes hommes, mes amis... Même si pour vous ce ne sont que de vulgaire machine, sans intelligence et sans réel intérêt. Vous souhaitez détruire Corellia et Onderon ? Sachez que vous détruirez des planètes vides... Toute la Confédération c'est replié sur Agamar... Ainsi qu'Ondéron ... Pour tenter de se regrouper et de défendre corps et âme ... La population y a été envoyé... Les Corelliens avec beaucoup de mal ... Certes... mais la présence militaire à aider à ce changement. La Reine Kira se trouve déjà là-bas, ainsi que le Grand Amiral Trench de la Confédération... Voilà tout ce que je sais... J'espère que j'éviterais la peine de mort ... Et ayant une possible reconversion ... Je n'ai que d'autres choix... La confédération est sur le point de mourir...
Je versais une larme, tremblant ... Je m'en voulais de ce que j'avais fait... Trahir mes compagnons, pour au final, voir leur destruction... Je baissais les yeux, regardant avec une hanse d'espoir, la Twi'Lek... Mon regard la suppliait, de m'aider... J'avais tout perdus... Et je ne souhaitais pas mourir ... Du moins pas encore... Après ce regard je soupirais encore une fois... avant d'attendre ma sentence... Navré mes amis... J'aurais aimé vous aider... Mais je n'ai pas réussis ma tâche... Que la force soit avec vous....
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Sam 3 Fév 2018 - 13:54
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Sa verve avait-elle déjà disparue ? Quelques images étaient assez pour rappeler la puissance de l’Empire ? Si oui, ce serait agréable, perdre du temps lors des interrogatoires était plutôt lassant, à vrai dire. Ces hommes et fin grinçant, se débattant, narguant leur ennemi avant de réaliser que le bluff n’était pas de rigueur. Le Gouverneur n’avait eu aucune hésitation à ordonner la destruction de cette planète, à la faire raser, à redonner qu’il n’y aucun survivant, qu’aucun civil ne soit épargné, ni les hommes, ni les femmes, ni les enfants. On pouvait la qualifier de monstre ou d’abomination, quelle importance, son seul intérêt était que la force de l’Empire reste intacte, et pour cela, s’il fallait y sacrifier un monde tout entier, il n’hésitera pas. Que des millions de personnes périssent sous un seul tir de l’Étoile Noire ne lui arrachera pas une seule arme, seulement une pleine satisfaction d’avoir démontré, une fois de plus, que l’Empire ne pouvait être attaqué impunément. Si ce petit amiral comptait s’en tenir là, soit, peut-être aura-t-il tout de même le loisir de regarder sa chère planète être anéantie, avant sa propre exécution, il était tout à fait possible de lui arranger cela.
– Je me rends... Vous avez gagné... J'ai été envoyé pour effectuer des chevauchées, permettant d'affaiblir des petites bases de l'Empire, pour le déstabiliser... Trois ou quatre ont été fructueuses... Mais celle-ci non... J'ai perdu mes hommes, mes amis... Même si pour vous ce ne sont que de vulgaires machines, sans intelligence et sans réel intérêt. Vous souhaitez détruire Corellia et Onderon ? Sachez que vous détruirez des planètes vides... Toute la Confédération s'est repliée sur Agamar... Ainsi qu'Ondéron ... Pour tenter de se regrouper et de défendre corps et âme... La population y a été envoyée... Les Corelliens avec beaucoup de mal... Certes... mais la présence militaire a aidé à ce changement. La Reine Kira se trouve déjà là-bas, ainsi que le Grand Amiral Trench de la Confédération... Voilà tout ce que je sais... J'espère que j'éviterais la peine de mort… Et ayant une possible reconversion ... Je n'ai que d'autres choix... La confédération est sur le point de mourir...
Surprenant. Quelques images et paroles suffisaient donc pour qu’il se mette à parler. L’amiral réduit à un homme en pleurs vendant les siens en espérant de ne pas mourir, quel spectacle pitoyable. Agamar, donc ? Une planète qui avait déjà servi de terre de repli pour les troupes de l’ancienne CSI, durant la Guerre des Clones, mais rien ne prouvait, dans tout cela, que ce type ait dit la vérité, que cette planète soit effectivement celle choisie. Elle sera détruite, de toute manière, tout lieu où leurs ennemis pensaient trouver refuge et repos seront anéantis comme Humbarine, l’Empire traquera ainsi ses ennemis monde par monde, avec soin et rapidité, jusqu’au moment où aucun nouvel havre ne se dévoilera à leurs pathétiques tentatives de cachettes. Par ailleurs, déplacer autant de personnes ne pouvait se faire en peu de temps, ni se faire sur une seule et unique planète… La Confédération réalisait-elle à quel point un projet de cette ampleur demandait comme ressources, vaisseaux de transports, aménagements, sécurité pour éviter les accrocs et chocs en cours de voyages ? On ne parlait pas là de quelques centaines de rebelles filant avec leur Flotte d’un monde à l’autre mais de millions de personnes, dont la majorité n’étaient pas des soldats et ne pouvaient participer à la lutte dans un combat spatial. Un autre point ridicule était de vouloir laisser des places stratégiques ou bien protégées, comme Onderon.
– Quel plan ridicule, dit-il en levant les yeux au ciel. Une seule planète ne suffira pas comme refuge pour les populations de cinq mondes, en plus d’Onderon, vous n’en dites pas assez à ce sujet. Enfin, « cinq mondes »… Non, amiral, Corellia ne sera pas vide lorsque nous arriverons et vous le savez, au fond de vous. Privés de leur véritable leader, suivront-ils un étranger qui exigera d’eux qu’ils quittent leur planète ?
Cette question n’attendait aucune réponse, tant il était évident que ce peuple n’en fera rien. Mais que Trench essaye, bien au contraire, qu’il essaye ! Ainsi, ils trouveront un monde en pleine guerre civile, qu’il ne sera que d’autant plus facile à écraser. Tarkin émit un léger ricanement en se détournant du prisonnier, effaçant les images de la dévastation d’Humbarine pour afficher à la place une carte des Mondes du Noyau. La galaxie devrait, suite à cela, parfaitement comprendre le message « Ne vous mêlez pas des combats qui ne vous regardent pas ».
– Lieutenant Lancot, je suis certain que vos futures discussions avec notre invité ici présent seront fructueuses, à propos de ce « plan ». Nous retournons à Coruscant, vous allez nous accompagner, avec le prisonnier.
Sa propre Flotte sera une escorte des plus suffisantes au cas où d’autres microbes de la Confédération avaient l’intention d’attaquer une autre fois. Quant au pitoyable équipage de ce croiseur et sa capitaine qui avait été incapable de faire face à si peu d’ennemis… Il eut un maigre sourire en effaçant la carte, puis fit signe à ses hommes d’emmener le prisonnier dans sa cellule.
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Lun 5 Mar 2018 - 19:43
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「 Rencontre au sommet 」
Que de changements en si peu de temps. Un instant leur prisonnier invectivé le grand moff, l’accusant de tous les maux de la galaxie, l’instant d’après le capitaine de l’effrontée se jetait sur lui pour lui éviter une mort douloureuse par empoisonnement… Cela avait au moins le mérite d’éloigner les soupçons de collusion avec l’ennemi qui auraient pu tourner autour de la non-humaine.
Un peu plus et nous le perdions avant qu'il n'est ouvert la bouche et révélé tout les secrets qu'il cache
Il se devait pour l’occasion d’admirer la vivacité de la jeune femme, même s’il devait également la maudire pour cela. Si l’homme était mort ici, sous sa garde, alors elle aurait été seule inquiétée pour l’affaire, lui-même aurait pu considérer le dossier comme classé, le confier aux affaires internes et enfin pouvoir se concentrer sur la mission de l’empereur… mais non, le capitaine est aussi vive d’esprit que de corps et avait pu empêcher l’individu de connaître une fin précipitée… Autant pour lui…
Contrairement au grand moff, Aidan prit le temps d’adresser un sourire reconnaissant à la jeune femme, elle venait de „sauver“ son affaire après tout… Celui-ci cependant, loin de s’attarder sur l’incident préféra continuer à asséner vérité après vérité à l’amiral capturé afin de lui faire comprendre la situation véritable dans laquelle il se trouvait.
– Ne soyez pas naïf, reprit-il sans s‘émouvoir. Votre vie n’a aucune valeur pour nous, pas plus que votre mort, le seul « danger », si je puis dire, principal de la Confédération a déjà disparu depuis bien longtemps, corps et bien. Leukos Bonteri était un politicien habile, je le reconnais sans peine. Un chef qui n’aurait jamais accepté d’envoyer ses troupes au suicide sur Alderaan, sans préparation, sans chance de victoire, sans moyen d’assurer par la suite la protection de son peuple. Il est navrant que vos chefs aient oublié que nous pouvons rayer votre peuple de la carte comme nous avons exterminé le peuple d’Humbarine.
La suite en fut visiblement trop pour l’homme aux nerfs de guimauve. Moins de dix minutes avec le deuxième homme le plus craint de l’empire avaient suffit à se commandant pour souhaiter changer de camp… Ou peut-être ?! Il avait jeté un étrange regard à la délicieuse capitaine de l’effrontée avant de céder… L’affaire du poison n’était-elle qu’un coup monté ? Quittant du regard l’homme désespéré, il tourna celui-ci vers la twi’lek revenue à sa position, disparaissant légèrement derrière les images affichées par l’amiral. Etait-elle un pari raté de la part de l’amiral Tarkin ? Ou peut-être une main tendue vers la confédération ? Le chiss était connu pour ses plans à long terme et son esprit résolument atypique… Se pourrait-il qu’il ait pu faire de sa petite créature personnelle une future transfuge ? Bien que légendaire, l’attrait de son espèce sur les humanoïdes était connu, mais il ne s’agissait pas de magie non plus, pas de quoi retourner un homme aussi rapidement… S’agissait-il d’un plan sur un plus long terme ?
Alors qu’il réfléchissait, l’homme semblait quant à lui livrait l’ensemble des plans de sa faction, leur repère et dernier espoir de repli, les factions les ayant rejoint, le but de ses manoeuvres… Mais pourquoi avoir détruit ses vaisseaux ? Pourquoi ne pas avoir cherché à fuir pour sauver ces amas de boulons qu’il considérait comme „ses hommes“ ?
Je me rends... Vous avez gagnez... J'ai été envoyé pour effectué des chevauchées, permettant d'affaiblir des petites bases de l'Empire, pour le déstabiliser... Trois ou quatre ont été fructueuse... Mais celle-ci non... J'ai perdu mes hommes, mes amis... Même si pour vous ce ne sont que de vulgaire machine, sans intelligence et sans réel intérêt. Vous souhaitez détruire Corellia et Onderon ? Sachez que vous détruirez des planètes vides... Toute la Confédération c'est replié sur Agamar... Ainsi qu'Ondéron ... Pour tenter de se regrouper et de défendre corps et âme ... La population y a été envoyé... Les Corelliens avec beaucoup de mal ... Certes... mais la présence militaire à aider à ce changement. La Reine Kira se trouve déjà là-bas, ainsi que le Grand Amiral Trench de la Confédération... Voilà tout ce que je sais... J'espère que j'éviterais la peine de mort ... Et ayant une possible reconversion ... Je n'ai que d'autres choix... La confédération est sur le point de mourir...
Quittant la délicieuse du regard, il se retourna vers l’homme pour lui adresser un sourire froid. Chercher à sauver de cette manière, trahir ses idéaux et camarades aussi vite… Il était une représentation unique que l’empire était dans le vrai. Que ce soit la confédération ou les rebelles, ils ne représentaient au final qu’une armée de faibles incapables d’assurer la paix ou de lâches prêts à tout pour conserver leur vie… Avec tout le pragmatisme du monde, il était impossible de voir un quelconque intérêt à recruter cet homme pour l’empire, il finirait ses jours dans une geole avant de rencontrer sa fin dans la loi impériale, pleutre comme il était, il n’hésiterait pas à trahir l’empire dès qu’il en aurait l’occasion…
Cependant, loin d’attendrir l’échalas de glace, la diatribe de l’amiral n’attira que le mépris de Tarkin, démontrant une nouvelle fois le manque d’esprit tactique de leurs opposants.
Une seule planète ne suffira pas comme refuge pour les populations de cinq mondes, en plus d’Onderon, vous n’en dites pas assez à ce sujet. Enfin, « cinq mondes »… Non, amiral, Corellia ne sera pas vide lorsque nous arriverons et vous le savez, au fond de vous. Privés de leur véritable leader, suivront-ils un étranger qui exigera d’eux qu’ils quittent leur planète ?
L’homme n’avait pas tort, toute cette histoire semblait à la fois peu probable et trop belle pour être vraie, ce qui risquait de ne pas manquer d’impli-…
– Lieutenant Lancot, je suis certain que vos futures discussions avec notre invité ici présent seront fructueuses, à propos de ce « plan ». Nous retournons à Coruscant, vous allez nous accompagner, avec le prisonnier.
Et bingo… Pas un mot et pourtant on s’était souvenu de sa présence. Et voilà le retour en toute discrétion… Jetant un dernier regard à l’étrange capitaine, toujours suspicieux de ses véritables allégeances, il s’inclina néanmoins pour l’homme.
~ Il en sera fait selon vos ordres monsieur, l’amiral va connaître la joie de la compagnie de nos meilleurs interrogateurs, bien que le capitaine Callista ait visiblement déjà fait pour beaucoup dans le « miracle » de lui délier la langue.
Revenant vers celle-ci, il lui offrit un sourire des plus protocolaires avant d’emboiter le pas du grand moff.
~ Devant un tel talent pour les interrogatoires, sans avoir même lever la main sur l’interrogé, il est possible qu’une longue carrière attende le capitaine dans notre domaine d’activité…
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Dim 11 Mar 2018 - 23:43
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Bras croisé dans le dos, j'écoutais la conversation qui se jouait dans mon bureau, captant de temps à autre le regard du jeune lieutenant sur moi, mais je ne fis pas attention plus que cela. A la place, je préférais me concentrer sur cette affaire.
Attaquer de la sorte à l'aveugle me semblait être trop illogique. Bien que la confédération soit connue pour faire tout et n'importe quoi sans réfléchir vraiment, je commençais à me demander si ce n'était pas une stratégie de se faire passer pour des imbéciles et au contraire être très malin.
Je rendis un sourire polie au lieutenant lorsque je vie son remerciement, mais mon cerveau tournait à milles vitesse pour analyser tout cela. Le Grand Moff avait raison, cela semblait être trop simple, mais pour ma part, je restais silencieuse fixant chaque homme présent.
Sortant de mes pensées lorsque le Lieutenant s'adressa à moi, je restais polie, mais froide dans le regard
Je n'ai rien fait de spécial, parce que soyons franc, le résultat à été obtenu trop facilement
Jetant un regard de pur dégoût vers le regard toujours suppliant du prisonnier, je plongeais mon regard dans celui du Lieutenant tout en m'approchant de lui légèrement
Merci pour ce compliment Lieutenant, mais je préfère mon vaisseau à la bureaucratie, cependant, si vous êtes d'accord, j'aimerais beaucoup vous assister dans votre travail avec cet homme. Il semblerait qu'il ne soit pas indifférent à la femme que je suis et j'ai très envie de m'amuser avec ses nerfs, mais j'ai d'autres choses à faire quant à l'incompétence de mes hommes Un sourire de pur sadisme se dessina sur mon visage pendant que je fixais le prisonnier quelques secondes avant de contacter mes hommes pour raccompagner le lieutenant et le Grand Moff Tarkin
Messieurs, j'espère que la suite saura vous apporter ce qu'il vous faut pour la victoire de l'Empire contre cette vermine de confédérés
D'une démarche souple, je m'approchais du lieutenant et baissa le son de mon modulateur vocale pour imiter un murmure
L'illusion de se rendre fut très drôle si vous voulez mon avis personnelle, il nous conduit vers une illusion, vers une arnaque si vous préféré, mais bon... Je ne suis pas la spécialiste pour récolter des informations
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Lun 12 Mar 2018 - 9:23
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「 Rencontre au sommet 」
Poussant un long soupir, le lieutenant Lancot mit un point final au rapport. La récupération du prisonnier avait été mouvementée, passant d’une tentative de suicide à une demande de défection en règle et le tout sans jamais avoir d’arguments pour soutenir ses prétentions…
Alors qu’il prenait enfin un moment de repos, l’amiral se trouvait plusieurs étages plus bas, avec le personnel spécialisé du département d’Aveux et Témoignages de Sûreté. Un amiral de la confédération ne méritait rien de mieux que la crème de la crème des interrogateurs impériaux, des techniques de pointes expérimentées sur de nombreux, nombreux, nombreux prisonniers pour arriver au sommet de cet art de la Question.
Laissant planer un sourire narquois sur son visage, l’avertissement du capitaine de l’Effronté lui revint en mémoire.
L'illusion de se rendre fut très drôle si vous voulez mon avis personnelle, il nous conduit vers une illusion, vers une arnaque si vous préféré, mais bon... Je ne suis pas la spécialiste pour récolter des informations
Il avait remercié le capitaine pour son hypothèse sur le moment avant de rattraper le grand moff qui avait déjà pris de l’avance, mais les mots choisis étaient particuliers… Une illusion n’est-ce-pas ? Il ne pouvait se sortir de la tête que la situation n’était pas logique. Il en avait fait part dans son rapport, mais n’ayant été présent et n’étant pas le seul qu’ils recevront de la journée, il doutait que ses supérieurs prendraient vraiment la peine de poursuivre plus loin ce sentiment particulier, comme un grattement qui vous parcourait l’échine.
Cependant le plus curieux de l’histoire, ce n’était pas le comportement de l’amiral, mais celui du capitaine. Vaincue par l’homme, elle n’avait pas hésité à le recevoir seul dans son bureau, lui offrir à boire… Voilà un comportement bien amical pour quelqu’un qui lui avait coûté non seulement des hommes, mais avait également ridiculisé une femme qui avait encore tout à prouver à la hiérarchie impériale… Et pourtant voilà que celui-ci après avoir agoni le grand moff d’injures, se pliait aussi sec à l’autorité impériale et nécessitait un droit de reconversion…
Le lieutenant ne se leurrait pas, il ne lui serait jamais accordé et une fois les informations confirmées, on l’enverrait croupir dans une prison impériale ou plus logiquement par un sas…
Heureusement, l’escorte de la flotte d’un grand moff avait été plus que suffisante pour lui assurer un retour aussi prompt que sans soucis, laissant derrière-lui le cas de l’amiral, il pourrait de nouveau se penchait sur la traque de la princesse Organa et du contrebandier de l’empereur…